Règles sanitaires : Des cliniques sommées de se mettre aux normes

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« Les structures sanitaires privées non conformes qui ne se mettront pas en règle après le délai donné, seront fermées », a prévenu la ministre de la Santé et du Développement social, Mme Diéminatou Sangaré.

Invitée de l’émission Mali « Kura taasira » sur la chaîne nationale du lundi soir, la ministre de la Santé et du Développement social Mme Diéminatou Sangaré a sommé les structures sanitaires privées non conformes, recensées par l’inspection de la santé de se mettre en règle. « Nous avons la liste de ces structures », selon Mme la ministre.

Sans donner de chiffre, elle affirme que l’inspection a révélé qu’« il y a beaucoup de structures privées qui exercent sans licences, en toute illégalité ». Certaines, souligne-t-elle, « ont la licence, mais font plus ce qu’on les autorise à faire ».

La ministre a rappelé que ces structures ont été sommées de se mettre en règle. Les structures qui ne se mettront pas en règle, le département va encore essayer de les rapprocher et les accompagner dans le processus, aux dires de l’invitée. Pour le cas des récalcitrants la ministre de la Santé n’est pas passée par 4 chemins : « si malgré tout ça, il y a rien. Ce sera la fermeture des structures », a-t-elle prévenu.

Et d’informer qu’il y a des tests qui sont dans le pipeline. « Il s’agit des conditions d’inscription aux ordres des professionnels de santé. On va tout juste sortir ce texte qui réglemente les choses et l’agence d’accréditation aussi va travailler dans ce sens ». A l’en croire, aujourd’hui, le département travaille en étroite collaboration avec les ordres et qu’« aucune licence n’est délivrée à une structure si elles ne respectent pas les conditions », a-t-elle rassuré. « Il faudrait que le personnel de santé à l’intérieur de la structure ait le droit d’exercer ».

Pour la ministre de la Santé et du Développement social, tous ces contrôles sont faits aujourd’hui. C’est pourquoi, dit-elle, maintenant les licences ne sont pas produites à une certaine vitesse. Le département prend le temps de tout réglementer. Elle a également annoncé l’organisation bientôt d’un atelier qui va parler de tous ces problèmes.

 

Kadiatou Mouyi Doumbia 

 

 

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    lessentiel.lu/fr/story/chu-de-reims-l-infirmiere-agressee-lundi-est-decedee-463250333065

    Une immense tristesse d’apprendre le décès de Carène, infirmière de 38 ans violemment agressée hier au CHU de Reims.

    Une secrétaire médicale a également été blessée lors de l’agression, qui s’est déroulée lundi en début d’après-midi dans l’hôpital, quand un homme de 59 ans, rémois, avec des antécédents psychiatriques, a attaqué les deux victimes muni d’un couteau.

    Le mis en cause, rapidement interpellé après avoir tenté de prendre la fuite, «semble avoir agi sans mobile apparent, d’autant qu’il n’avait pas de rendez-vous dans ce service» de «médecine et santé au travail», avant indiqué le procureur de Reims, lundi, dans un communiqué.

    «Mis en examen pour des faits de violences aggravées»
    Il «semble souffrir de troubles sévères et fait l’objet depuis plusieurs années d’une mesure de curatelle renforcée». Cet homme a été placé en garde à vue et l’enquête confiée au commissariat central de Reims. Il avait bénéficié, en juin 2022, d’un non-lieu «pour irresponsabilité pénale» après avoir été «mis en examen à Châlons-en-Champagne pour des faits de violences aggravées», avait ajouté le procureur.

    https://www.clicanoo.re/article/faits-divers/2023/05/23/linfirmiere-agressee-au-chu-de-reims-est-decedee

    Cette infirmière ou son entourage et sa collègue auraient méritées d’être décorées comme les 3 policiers qui sont mort dimanche dans une collision avec une voiture à contresens par un conducteur sous alcool et stupéfiants…

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