La question mérite d’être posée, à partir du moment où il existe bel et bien sur nos marchés des produits de consommation. Dont la qualité est douteuse, surtout au niveau du vivrier. Ce sont notamment, les légumes et fruits de consommation qui sont concernés. Dans l’espoir qu’une véritable étude serait menée, un jour dans nos marchés, par les autorités sanitaires pour permettre de cerner le bordel sur la nature des aliments qui y sont vendus, nous nous sommes intéressés au constat du doute sur la qualité.
En effet, personne ne sait exactement comment les produits sont cultivés, récoltés et conservés avant qu’ils ne soient vendus sur nos marchés. Alors que leur qualité laisse à désirer. Certains fruits ou légumes, une fois achetés, pourrissent aussi vite, même mis au frigo. Les tomates et concombres en sont les plus exposés à la pourriture. Pourquoi ce phénomène? Les spécialistes en la matière, ne nous apportent pas d’explications crédibles lorsqu’ils sont interpellés.
Aussi, les poissons sont sur la liste des produits de consommation douteuse. À propos leurs propos, l’on constate tristement l’absence des poissons naturels pêchés dans des eaux (rivières, fleuves et océans). Cependant, ils sont servis et vendus au détriment de nos poissons élevés localement dans des piscicultures. Ils sont destinés à la grande consommation, alors que personne ne sait réellement dans quelles conditions ils sont pêchés, élevés et conservés.
Que dire de la viande ? Des doigts accusateurs portent aussi sur l’origine et la qualité de la viande que nous consommons. On nous sert souvent de la viande d’ânes, en lieu t place du bœuf. Il n’ y a pas très longtemps, la Police de Kati a démantelé un réseau d’abattage clandestin d’ânes.
En attendant des vraies études sur l’origine et la qualité des produits de consommation, qui affectent sur notre santé, les autorités doivent illico presto faire montre de plus de vigilance. À cet effet, la question du dosage des intrants agricoles s’impose. Les producteurs agricoles sont-ils tous formés et surtout bien Formes pour l’usage des intrants agricoles
Les éleveurs des poissons, des animaux des volailles doivent impérativement recevoir de solides formations. De sorte à ne pas mettre en péril, la santé et la vie des consommateurs. Car, les éleveurs d’animaux des volailles sont sont aussi accusés à tort ou à raison, de mettre sur les marchés des animaux déjà morts et non abattus normalement (communément appelés : « machin mort »).
S’agissait des vendeuses des fruits, légumes et autres produits de consommation, il leur est reprochés l’usage des produits de conservation non appropriés. L’on parle du bicarbonate de carbure . Pire, certaines vendeuses utiliseraient même du formol pour longtemps conserver leurs produits au soleil sur les étagères, afin que ces produits vendus gardent l’apparence des produits frais.
En attendant des vraies études sur l’origine et la qualité des produits de consommation, qui affectent sur notre santé, les autorités sanitaires doivent illico presto faire montre de plus de vigilance. À cet effet, la question du dosage des intrants agricoles s’impose. Les producteurs agricoles sont-ils tous formés et surtout bien Formes pour l’usage des intrants agricoles. Où se cachent les nombreuses associations de défense des consommateurs ?
Monoko Toaly, Expert en Communication et Marketing Politique
Ça a l’air de n’intéresser personne. Pourquoi ne pas parler des produits conditionnés dans des boîtes où la date de péremption est volontairement maquillée? Dans un pays où l’autorité sait que le fer à béton estampillé 12 est en réalité10 et qui se garde pourtant de sévir, ne vous étonnez pas de ce qui pourrait vous arriver.
Bonjour
https://www.alouette.fr/amp/deux-sevres-4-morts-dans-l-accident-d-une-voiture-electrique-tesla
actu.fr/faits-divers/cantal-soleil-rasant-un-conducteur-qui-effectue-un-depassement-et-un-tracteur-coupe-en-deux_61723999.html
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