S’il y a un domaine dans lequel, les maliens se comportent comme des cascadeurs, c’est bien celui de la santé. Pourtant, c’est le bien le plus précieux. Même pour les microbes et les végétaux. rn
En effet, pour penser à être riche, à être député, Président de la Rue publique, ministre, Dégè ou Pédégé… il faut être en bonne santé. Mais pour être en bonne santé, il faut être propre, avoir un environnement propre, manger propre, boire propre etc.…
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Mais faites un tour dans certains quartiers de notre capitale. Vous y reviendrez malade. Comment ne pas tomber malade, lorsque les ordures retirées des caniveaux sont abandonnées au bord des mêmes caniveaux ? Ou des routes ? Comment en pas tomber malade, lorsque l’on consomme des aliments préparés dans des conditions, qui jurent avec les règles élémentaires de l’hygiène.
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Comment ne pas tomber malade, lorsqu’on détient, au Mali, le triste record de consommation de « médicaments par terre »
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L’hivernage s’apprête à s’installer. Avec son cortège de microbes, de parasites… vecteurs des maladies les plus redoutées : paludisme, choléra, maladies diarrhéiques etc.…
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Chacune de ces maladies fait plus de victimes que le Sida.
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Pourtant, nous avons les moyens de minimiser leurs effets. II suffit d’observer un minimum de règle d’hygiène Qui ne coûtent pas chères. Mais qui demandent un effort pour maintenir son cadre de vie propre.
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La propreté ? Certains y sont allergiques. Et sont mal à l’aise, dès qu’ils se retrouvent dans un environnement sain.
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Le Mollah Oumar
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