Un nouveau rapport publié par des chercheurs chinois estime que l’impact de la pandémie pourrait être pire cette année qu’en 2020.
Dans le moins bon des scénarios, le bilan mondial du Covid-19 pourrait ainsi totaliser jusqu’à 5 millions de décès en mars. Un pessimisme renforcé par les mutations du virus. Xu Jianguo sait de quoi il parle. Ce bactériologiste réputé a dirigé l’une des premières équipes d’experts envoyées à Wuhan au début de l’épidémie en Chine, il y a un an.
Ce même professeur Xu a, cette fois, coordonné les travaux de recherche des laboratoires du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, de l’Armée populaire de libération et de différents instituts de recherche militaires et civils du pays sur les maladies infectieuses, dont les résultats ont été publiés le 8 janvier dernier dans la revue Disease Surveillance.
Les modélisations de l’évolution de la pandémie, selon ces chercheurs, prévoient au bas mot 300 000 morts supplémentaires début mars et, dans le pire des scénarios, un bilan mondial atteignant 5 millions de décès d’ici là. Si cette triste prévision se confirme, cela voudrait dire un taux de mortalité non plus à 2,1%, mais à 3% comme dans la capitale du Hubei, l’hiver dernier, où les hôpitaux se sont retrouvés submergés par l’afflux des malades.
Limites de la méthode chinoise
Selon un chercheur de l’institut Pasteur de Shanghai non impliqué dans l’étude et dont les propos sont rapportés par le South China Morning Post, cela pourrait conduire à l’effondrement du système de santé mondial. Ce qui voudrait dire aussi qu’avec la mutation du coronavirus, ce dernier pourrait se cacher dans la population et réapparaître à chaque saison.
Dans ce cas, selon ces chercheurs, le confinement massif, les tests, les mesures drastiques de restrictions sanitaires et, plus généralement, la méthode chinoise, qui a permis d’endiguer l’épidémie, ne serait plus suffisants.
Arouna Traoré
La Hongrie vient d’autoriser le vaccin chinois qui n’est pas homologué par le régulateur européen.
Il y a une semaine, la Hongrie était le seul pays membre de l’UE à donner son feu vert au vaccin russe, qui n’a pas non plus reçu le feu vert de l’Agence européenne du médicament (EMA).
Budapest achetait aussitôt 2 millions de doses à Moscou. Le Premier ministre Viktor Orban, qui fustige en permanence Bruxelles pour sa stratégie inefficace, continue à se démarquer de l’Europe.
Avec notre correspondante à Budapest, Florence La Bruyère
« Je me ferai vacciner avec le vaccin chinois. Car les Chinois ont la plus longue expérience de ce virus. » C’est ce qu’a déclaré Viktor Orban ce vendredi 29 janvier à la radio. Et le Premier ministre a ajouté : « Bruxelles gère tant bien que mal la situation, nous, nous négocions avec tout le monde. »
La décision de Viktor Orban d’autoriser le vaccin chinois est avant tout politique. Jeudi, le Premier ministre signait un décret. Il homologuait tout vaccin déjà reçu par 1 million de personnes dans le monde, ce qui est le cas du produit chinois. Le lendemain, l’agence hongroise du médicament a donc dû se plier au décret et donner son feu vert.
Mais les experts hongrois sont beaucoup plus réservés. Ils ont déconseillé d’approuver les vaccins russe et chinois. Car il n’y a pas assez de données scientifiques. Le laboratoire Pfizer a fourni 25 000 pages de documentation contre 600 pages pour le producteur russe (Gamaleya) et une centaine de pages seulement pour le chinois.
Mais le régulateur hongrois n’a pas tenu compte de l’avis des experts. Quant à la Chambre nationale des médecins, elle critique le gouvernement en termes voilés. Elle conseille aux praticiens d’administrer des vaccins homologués par le régulateur européen.
https://www.rfi.fr/fr/europe/20210129-covid-19-la-hongrie-approuve-le-vaccin-chinois-et-se-d%C3%A9marque-de-nouveau-de-l-europe
QU’ EN DITES-VOUS ?
Arouna ce sont les Chinois qui ont cree leur virus et j’espere qu’ils savent de quoi ils parlent! Un pays de tous les malheurs ou les habitants mangent tout, des rats, des chiens, des fourmis, des araignees, des anes, etc…
Le 17 avril 2020, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du virus du sida, déclarait que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine.
Ce virus aurait été fabriqué en laboratoire à partir du virus du sida (VIH). « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ».
« Avec mon collègue, nous avons regardé de près la description du génome de ce virus à ARN ».
« Des chercheurs indiens avaient déjà tenté de publier les résultats d’analyses montrant que ce génome abritait des séquences d’un autre virus qui est le VIH, le virus du SIDA, mais ils ont été obligés de se rétracter, les pressions étaient trop fortes ! »
Analyse confirmée par le Professeur Tritto.
« Dans plusieurs publications, par exemple dans l’étude des chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Dehli basée sur les génomes des patients, recueillis dans des bases de données mondiales, il est démontré que le SARS-CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus du pangolin. Mais, à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. Et, ce n’est pas tout. Le génome du SARS -CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle le furin intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une Chinoise, l’autre franco-canadienne. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au SARS-Cov-2 de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule ».
QU’ EN DITES-VOUS ?
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