La riposte contre la maladie à virus Ebola est engagée à tous les niveaux. Les acteurs de médias ont été sensibilisés sur la question.
La journée d’information sur la maladie à virus Ebola à l’intention des hommes de médias est une des contributions de l’Association des éditeurs de la presse privée (Assep) et de l’Union des radios et télévisions libres du Mali (Urtel).
Cette journée a été riche en informations et a vu la participation du nouveau président de la Maison de la presse, Dramane Aliou Koné, et du ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication, Mahamadou Camara.
Et c’est le Dr. Daouda Mariko de l’hôpital Gabriel Touré qui a animé cette séance d’information. Selon lui, Ebola est de nos jours la maladie la plus meurtrière de l’histoire devenue une urgence mondiale. Dr. Minta a expliqué les différents types d’Ebola, un virus qui a été découvert en 1976 au Soudan et au Zaïre. Il a précisé que la maladie est transmissible à l’homme à travers la sueur, le sperme, le sang, entre autres.
Le ministre de la Mamadou Camara a présenté le plan de riposte du gouvernement. Avant d’appeler à ne pas céder à la panique et à la psychose. Pour le ministre, aujourd’hui, la maladie n’a pas atteint un seuil où il faut fermer les écoles ou décréter l’Etat d’urgence. Dans la lutte contre le virus, des actions de sensibilisation ont été menées en direction de toutes les couches de la société, car, dira-t-il, le pays peut y faire face.
Le président de la Maison de la presse a invité les journalistes à tirer le meilleur profil des explications du médecin pour sensibiliser les populations sur la maladie du virus Ebola. Avant d’annoncer un acte d’engagement que les acteurs des médias vont signer dans le cadre de la sensibilisation.
- M. C.
