Mali : la première campagne de vaccination 2023 contre la Covid-19 lancée ce lundi 06 mars

4

Le ministère de la Santé et du Développement social a procédé, le lundi 06 mars, à la Maison des Ainés de Bamako au lancement de la première campagne de vaccination contre la Covid-19 au titre de l’année 2023. C’était sous l’égide du Dr Hamadoun Dicko, conseiller technique au département de la santé.

Au Mali, la première campagne de vaccination 2023 contre la maladie à Coronavirus a débuté ce lundi 06 mars. L’objectif est de réduire la morbidité et la mortalité attribuable à la Covid-19. Au cours de cette année, plus de 4,88 millions de personnes âgées de 12 ans et plus seront concernés avec une cible attendue par passage de 695 749 personnes. Cela afin d’atteindre l’immunité collective.

Pour atteindre cet objectif, sept campagnes de vaccination contre la Covid-19 sur toute l’étendue du territoire. Pour cette première phase 7824 agents vaccinateurs, 8100 volontaires et 345 superviseurs seront mobilisés pendant 10 jours (du 06 au 15 mars). Le coût opérationnel pour cette première campagne s’élève à plus de 1,372 milliard de Fcfa entièrement financé par la Banque mondiale.

Selon le conseiller technique du ministère de la Santé et du Développement social, la vaccination contre la maladie à Coronavirus constitue de nos jours un moyen sûr et efficace qui mérite d’être soutenue par une communication. « La population a besoin d’être assurée, c’est pourquoi toutes les dispositions ont été prises par le département de la santé et ses partenaires en vue d’un bon déroulement de la campagne », a précisé le Dr Hamadoun Dicko.

En vue d’atteindre la population cible, des équipes de vaccinations seront envoyées dans les ans les CSRéf, les CSCom et les Hôpitaux, les hameaux, les villages, les quartiers et dans tous les lieux de grands rassemblements de la population. Il a aussi indiqué que des équipes feront du porte-à-porte afin de faire vacciner le maximum de personnes.

De son côté le Dr Seydou Goïta, coordinateur du projet REDISSE a assuré de la disponibilité des partenaires techniques et financiers à soutenir le gouvernement dans la lutte contre la maladie à Coronavirus. Apparue fin 2019, c’est le 25 mars 2020 que la maladie a fait son apparition au Mali. Le rapport de situation Covid-19 à la date du 05 mars fait état d’un cumul de 33 056 cas confirmés dont 743 décès.

 Abdrahamane SISSOKO/maliweb.net

Commentaires via Facebook :

4 COMMENTAIRES

  1. Aujourd’hui la campagne qui mérite d’être menée est celle pour la mise à jour pour l’obtention de la carte biométrique qui est très nécessaire pour la mise en route de la constitutionnalité du pays et non cette campagne pour la lutte contre la COVID-19 qui est un virus sans virulence aujourd’hui, elle est si faible qu’elle ne peut plus faire du mal à qui que ce soit. La COVID-19 est désormais notre compagnons sans aucun danger pour nous malien, elle est sans virulence et nous irons avec elle sans aucune peur comme il y a de cela deux ans. Que les autorités de ce pays mettent les bouchés doubles pour augmenter la cadence de cet enrôlement pour l’obtention de la caret biométrique qui est à la fois la carte d’électeur du citoyen malien et celle-là permettrait de faire revenir le pays sur sa voie constitutionnelle normale, ce qui sera nécessaire pour l’avancée de notre pays pour son développement. A la cadence actuelle, l’ensemble des maliens ne serons pas dotés de leur précieux sésame qu’est la carte biométrique et cela n’est acceptable. La priorité des priorité doit être ce exercice d’enrôlement des maliens pour la préparation des élections prochaines.

  2. Aujourd’hui la campagne qui mérite d’être menée est celle pour la mise à jour pour l’obtention de la carte biométrique qui est très nécessaire pour la mise en route de la constitutionnalité du pays et non cette campagne pour la lutte contre la COVID-19 qui est un virus sans virulence aujourd’hui, elle est si faible qu’elle ne peut plus faire du mal à qui que ce soit. La COVID-19 est désormais notre compagnons sans aucun danger pour nous malien, elle est sans virulence et nous irons avec elle sans aucune peur comme il y a de cela deux ans. Que les autorités de ce pays mettent les bouchés doubles pour augmenter la cadence de cet enrôlement pour l’obtention de la caret biométrique qui est à la fois la carte d’électeur du citoyen malien et celle-là permettrait de faire revenir le pays sur sa voie constitutionnelle normale, ce qui sera nécessaire pour l’avancée de notre pays pour son développement. A la cadence actuelle, l’ensemble des maliens ne serons pas dotés de leur précieux sésame qu’est la carte biométrique te cela n’est acceptable.

Comments are closed.