Dans le cadre de l’organisation de la première campagne de vaccination contre la Covid-19 au compte de l’année 2023, le ministère de la Santé et du Développement social a organisé, le vendredi 03 mars, une conférence de presse dans la salle de conférence du département. C’était sous l’égide du secrétaire général par intérim du ministère, Souleymane Traoré.
Pour protéger le maximum de populations contre la maladie à Coronavirus, le Mali a décidé de poursuivre la vaccination contre la Covid-19 en organisant sept campagnes au courant cette année 2023. La première campagne sera lancée, le lundi 06 mars, à la Maison des Aînés à Bamako, a indiqué le secrétaire général par intérim du ministère de la Santé et du Développement social, Souleymane Traoré.
L’objectif général de cette campagne de vaccination anti-Covid-19 est de réduire la morbidité et la mortalité attribuable à la maladie à Coronavirus. Plus spécifiquement, il s’agit de vacciner pour cette première phase 695 479 personnes âgées de 12 ans et plus pendant 10 jours (du 06 au 15 mars sur toute l’étendue du territoire nationale); Amener au moins 80% des personnes sensibilisées à accepter la vaccination ; Détruire 100% des déchets issus de la vaccination.
Lors des séances de vaccination, un accent particulier sera mis sur les travailleurs socio-sanitaires, les élèves et étudiants, les transporteurs, les gargotières, les agents de sécurités/vigiles, les orpailleurs, les populations déplacées internes, les rapatriés, les réfugiés, les enseignants de défenses et de sécurités, les détenus, les personnes avec comorbidités, les commerçants, les femmes enceintes et allaitantes etc.
Selon le directeur du Centre national d’immunisation, Dr Ibrahima Diarra, la campagne de vaccination va se dérouler sur toute l’étendue du territoire national. Des équipes de vaccinations seront envoyées dans les ans les CSRéf, les CSCom et les Hôpitaux, les hameaux, les villages, les quartiers et dans tous les lieux de grands rassemblements de la population. Il a aussi indiqué que des équipes feront du porte-à-porte afin de faire vacciner la population.
L’engagement de l’Ordre des Médecins
Avant de terminer, Dr Ibrahima Diarra a déclaré que l’intervalle entre les doses est fonction du type de vaccin. Pour le vaccin d’Astrazeneca/serum Institute of India l’intervalle est de 56 à 84 jours, le vaccin Moderna et Pfizer/BioNtech, l’intervalle est 28 jours sans dépasser 42 jours, pour ne citer que ceux-ci. Il est recommandé une 3e dose six mois après la 2e dose pour booster la réponse immunitaire chez les sujets (60 ans et plus) et les porteurs de comorbidités, a-t-il poursuivi.
Dr Katilé Mouminatou, président de l’Ordre des médecins a indiqué que la faîtière des médecins du Mali a, dès l’annonce de la maladie, procédé à la formation de ses membres sur l’ensemble du territoire. C’est le lieu de saluer les médecins du pays qui ont tenu avec honneur et dignité, s’est-elle félicitée. Selon Dr Katilé Mouminatou, la clé de réussite de la campagne se résume à trois niveaux : la communication, le dialogue communautaire et l’engagement communautaire. Madame le président de l’Ordre des médecins a assuré l’engagement et la détermination des médecins du pays au côté du gouvernement.
Abdrahamane SISSOKO/maliweb.net
il ne faut pas prendre l´argent des occidentaux pour l´injecter des subtances, qui sont plus nocives que utiles. Les soit-disants vaccin n´empeche pas d´avoir la maladie ni contre la transmission.
Par contre la liste des effects indesirables ne fait que croitre (dont le danger de myocardite).
Quel est le taux de mortalite de la covid-19 au Mali?
Attention aux vaccins que vous ne produisez pas. Pour des européens se dressent débout contre un vaccin d’une maladie tant controversée et nous les Africains du Mali 3 ans après nous organisons des CAMPAGNES pour nous injecter des substances dont aucun débat national n’a été organisé sur les contenus. Attention mes chers sœurs et frères. Le vaccin encore moins la maladie ne font consensus dans ce village planétaire.
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