C’est parti depuis le 1er décembre dernier pour le mois de la lutte contre le SIDA. Cette année, le mois a été divisé en quatre semaines thématiques. La première semaine qui s’étend du 1er décembre au
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C’était au Centre Aoua Keïta sous la présidence du Secrétaire général du Ministère de
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Le Ségal a expliqué que depuis 2002, pour faire face au VIH/SIDA, le Ministère de
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Selon l’EDSM IV, la séroprévalence du VIH/SIDA est de 1,5% chez les femmes et de 1% chez les hommes. Les groupes d’âges les plus infectés se situent dans la tranche d’âge de 25 à 29 ans avec une prévalence de 2,0% chez les femmes, tandis que chez les hommes âgés de 30 à 34 ans, elle est de 2,2%.
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De l’avis de M. Sangaré, les femmes et les enfants constituent les couches les plus vulnérables. Parmi les facteurs de vulnérabilité, on retient les facteurs socioculturels tels que l’excision, les mariages précoces, le lévirat, le sororat qui constituent des facteurs importants de propagation.
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Pour faire face à cette situation alarmante de la féminisation du VIH/SIDA, le département de
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Le département n’en est pas à sa première expérience dans l’organisation de cette présente rencontre. C’est d’ailleurs ce qui lui a valu un ruban d’or le 1er décembre dernier.
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Le Secrétaire général du MPFEF, Youssouf Sangaré, a tenu à remercier le Haut conseil national de lutte contre le SIDA, dont l’appui n’a jamais fait défaut au département pour l’organisation de toutes les rencontres tendant à lutter contre le SIDA.
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Abdoul Karim Maïga
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