Le mardi 29 juillet, lendemain de la fête de ramadan, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Ousmane Koné, a reçu dans la salle de réunion du département son personnel. C’était en prélude de la traditionnelle réunion de cabinet de mardi.
Mardi, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Ousmane Koné, a présenté ses meilleurs vœux à son personnel à l’occasion de la fête de ramadan.
Après les traditionnels vœux et demandes de pardon, qui sont les maîtres mots de cette fête, le chef du département de la Santé a salué le travail abattu par ses collaborateurs et les a invités à plus d’engagement pour la cause du pays. Pour le ministre, chaque travailleur doit, à son niveau, donner le meilleur de lui-même dans l’exécution du travail à lui confié.
Au nom des travailleurs, Mamadou Bassery Ballo s’est félicité du bon climat de collaboration qui règne au département de la Santé et de l’Hygiène publique.
Le climat social au sein du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique est des plus conviviaux depuis l’arrivée aux affaires du ministre Koné. Dès ses premières prises de contact avec le personnel, il avait décliné sa priorité fondamentale : réussir une mission avec l’ensemble des travailleurs.
“Ma nomination est une promotion interne. Je compte sur chacun de vous pour relever le défi. Chacun de vous sera comptable de mon bilan”, avait-il lancé aux travailleurs des hôpitaux de Kati, Gabriel Touré et au personnel de la direction nationale de la santé.
Nanti du soutien des travailleurs, le ministre Koné peut dès à présent revendiquer un bilan honorable. De la surveillance épidémique en passant par la dotation de structures sanitaires en équipements modernes et la valorisation des cadres, il a marqué le département, un terrain qu’il connaît parfaitement pour y être depuis plus de 10 ans à un niveau élevé.
Lors de la présentation des vœux à l’occasion de la fête de ramadan, les travailleurs lui ont renouvelé son contrat social.
CC/MSHP
Monsieur le Ministre, il urge de procéder systématiquement au nettoyage (personnel subalterne surtout)au sein des hôpitaux nationaux symboles de toute dérive mercantiliste.
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