Le secrétaire général : Déclaration à l’occasion du lancement de la note de synthèse sur l’impact du covid-19 sur l’Afrique

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(enregistrée le 18 mai 2020 et diffusée le 19 mai 2020)

Alors que le COVID-19 se propage sur le continent, l’Afrique a rapidement réagi face à la pandémie et, à ce jour, le nombre de cas signalés est plus faible que ce que l’on craignait. Malgré cela, l’enjeu reste de taille.

Ces dernières années, les pays Africains ont fait beaucoup pour améliorer le bien-être des peuples du continent. La croissance économique a été forte. La révolution numérique s’est installée. Une zone de libre-échange a été décidée.

Mais la pandémie menace les progrès accomplis en Afrique. Elle aggravera les inégalités existantes et accentuera la faim, la malnutrition et la vulnérabilité face à la maladie. Déjà, la demande pour les produits africains de base, le tourisme et les envois de fonds sont en baisse. L’ouverture de la zone de libre-échange a été reportée et des millions de personnes pourraient basculer dans la pauvreté extrême.

Le virus a fait plus de 2 500 morts en Afrique. La vigilance et la préparation sont essentielles.

Je félicite les pays d’Afrique, ainsi que l’Union africaine, pour ce qu’ils ont déjà entrepris.

La plupart se sont empressés d’agir pour renforcer la coordination régionale, déployer des travailleurs sanitaires et établir des quarantaines, des confinements et la fermeture des frontières.

Ils puisent également dans l’expérience acquise dans la lutte contre le Sida et l’Ébola pour réfuter les rumeurs et surmonter la méfiance à l’égard des autorités, des forces de sécurité et du personnel sanitaire.

J’exprime ma solidarité la plus totale avec les peuples et les gouvernements africains dans leur lutte contre le COVID-19.

Les organismes des Nations Unies, les équipes pays, les opérations de maintien de la paix et les acteurs humanitaires apportent tout leur soutien à ces efforts.

Les vols de solidarité de l’ONU ont permis d’acheminer des millions de kits de dépistage, de masques et d’autres équipements, à travers pratiquement tout le continent.

La note de synthèse que nous diffusons aujourd’hui met en évidence une série de problèmes urgents.

Nous demandons une mobilisation internationale pour renforcer les systèmes sanitaires en Afrique, maintenir les chaînes d’approvisionnement alimentaire, éviter une crise financière, soutenir l’éducation, protéger les emplois, maintenir les ménages et les entreprises à flot et protéger le continent contre les pertes de revenus et de recettes d’exportation.

Les pays d’Afrique doivent bénéficier du même accès rapide, équitable et abordable à tout vaccin et traitement à venir, qui doivent être considérés comme des biens publics mondiaux.

J’ai demandé un plan de relance mondiale qui représente au moins 10 % du produit intérieur brut global. Pour l’Afrique, cela signifie plus de 200 milliards de dollars de soutien additionnel de la part de la communauté internationale.

Je continue également de plaider en faveur d’un cadre global de la dette, à commencer par un gel généralisé de la dette des pays qui ne peuvent pas en assurer le service, suivi d’un allègement ciblé de la dette et d’une approche globale des questions structurelles de l’architecture internationale de la dette, afin de prévenir les défauts de paiement.

Il sera également essentiel que les pays d’Afrique poursuivent leur action pour faire taire les armes et faire face à l’extrémisme violent, et je me félicite du soutien à travers le continent pour mon appel à un cessez-le-feu mondial. Les processus politiques et les élections représentent dans les mois à venir autant d’occasions de franchir des étapes importantes sur le plan de la stabilité et de la paix.

Les femmes seront indispensables à tous les niveaux de notre réponse face à la pandémie. Les plans de relance doivent en priorité mettre de l’argent à leur disposition et renforcer leur protection sociale.

Nous devons donner aux jeunes Africains les moyens d’agir. Les droits humains de chacun doivent être respectés.

Au fur et à mesure que la pandémie progresse, il faudra prendre des décisions difficiles, et il est essentiel de conserver la confiance et la participation des citoyens tout au long du processus.

La pandémie en Afrique n’en est qu’à ses débuts, et les perturbations pourraient s’intensifier rapidement. Il faut impérativement faire preuve de solidarité mondiale avec l’Afrique – dès aujourd’hui et pour mieux se redresser.

Il est indispensable de mettre fin à la pandémie en Afrique, pour y mettre fin dans le monde entier.

Je vous remercie.

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2 COMMENTAIRES

  1. MANGWANA KANYON COMPAORÉ, MAITRE FÉTICHEUR Á M'PETIONA, COMMUNE RURALE DE SOMASSO, CERCLE DE BLA, RÉGION DE SÉGOU, MALI JAMANA KOLO

    —- Le danger mortel des masques – par le Dr Russell Blaylock —-

    – « En portant un masque, les virus exhalés ne pourront pas s’échapper et se concentreront dans les voies nasales, pénétreront dans les nerfs olfactifs et voyageront dans le cerveau. »

    – « Les chercheurs ont constaté qu’environ un tiers des travailleurs ont développé des maux de tête avec l’utilisation du masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui ont été aggravés par le port du masque, et 60% avaient besoin de médicaments contre la douleur pour le soulager.
    En ce qui concerne la cause des maux de tête, alors que les sangles et la pression du masque peuvent être causales, la majeure partie des preuves indique l’hypoxie et/ou l’hypercapnie comme cause.
    C’est-à-dire une réduction de l’oxygénation du sang (hypoxie) ou une élévation du C02 sanguin (hypercapnie). »

    « On sait que le masque N95, s’il est porté pendant des heures, peut réduire l’oxygénation du sang jusqu’à 20%, ce qui peut entraîner une perte de conscience, comme cela est arrivé au malheureux conduisant seul dans sa voiture portant un masque N95, le faisant s’évanouir, écraser sa voiture et subir des blessures. Je suis sûr que nous avons plusieurs cas de personnes âgées ou de toute personne ayant une mauvaise fonction pulmonaire qui s’évanouissent, tombent et se blessent à la tête. Bien sûr, cela peut entraîner la mort. »

    « Une étude plus récente portant sur 159 professionnels de la santé âgés de 21 à 35 ans a révélé que 81 % d’entre eux avaient développé des céphalées en portant un masque facial. Certains avaient des maux de tête préexistants par concentrations les plus élevées de virus. Et cela conduit à une tempête mortelle de cytokines chez un certain nombre de patients sélectionnés. »

    « Cela devient encore plus effrayant. De nouvelles preuves suggèrent que dans certains cas, le virus peut pénétrer dans le cerveau. Dans la plupart des cas, il pénètre dans le cerveau par les nerfs olfactifs, qui se connectent directement à la zone du cerveau traitant de la mémoire récente et de la consolidation de la mémoire. En portant un masque, les virus exhalés ne pourront pas s’échapper et se concentreront dans les voies nasales, pénétreront dans les nerfs olfactifs et voyageront dans le cerveau. »

    « Malheureusement, personne ne dit aux personnes âgées fragiles et aux personnes souffrant de maladies pulmonaires, telles que la MPOC (Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique), l’emphysème ou la fibrose pulmonaire, de ces dangers lorsqu’ils portent un masque facial de quelque sorte que ce soit, ce qui peut entraîner une grave détérioration de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou même l’ablation d’un poumon entier. »

    « L’importance de ces résultats est qu’une baisse des niveaux d’oxygène (hypoxie) est associée à une altération de l’immunité. Des études ont montré que l’hypoxie peut inhiber le type de principales cellules immunitaires utilisées pour lutter contre les infections virales appelées lymphocytes T CD4 +. Cela se produit parce que l’hypoxie augmente le niveau d’un composé appelé facteur inductible d’hypoxie-1 (HIF-1), qui inhibe les lymphocytes T et stimule une puissante cellule inhibitrice immunitaire appelée Tregs. Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris celle du COVID-19 et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. En substance, votre masque peut très bien vous exposer à un risque accru d’infections et, si cela advient, avoir un résultat bien pire. »

    « Les personnes atteintes de cancer, en particulier si le cancer s’est propagé, seront exposées à un risque supplémentaire d’hypoxie prolongée, car le cancer se développe plus largement au sein d’un micro-environnement pauvre en oxygène. Un faible taux d’oxygène favorise également l’inflammation qui peut favoriser la croissance, l’invasion et la propagation des cancers. Des épisodes répétés d’hypoxie ont été proposés comme facteur important de l’athérosclérose et augmentent donc toutes les maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires. »

    « Il y a un autre danger à porter ces masques au quotidien, surtout s’ils sont portés pendant plusieurs heures. Lorsqu’une personne est infectée par un virus respiratoire, elle expulse une partie du virus à chaque respiration. Si elle porte un masque, en particulier un masque N95 ou un autre masque bien ajusté, elle réinsufflera constamment les virus, augmentant la concentration du virus dans les poumons et les voies nasales… »

    https://fr.sott.net/article/35635-Le-danger-mortel-des-masques-par-le-Dr-Russell-Blaylock

    Russell L. Blaylock (né le 15 novembre 1945) est un auteur et un neurochirurgien américain à la retraite. Blaylock a introduit un nouveau traitement pour un sous-ensemble de tumeurs cérébrales, ainsi que l’amélioration de certaines opérations de traitement de l’eau dans le cerveau.

    Blaylock a été professeur adjoint de neurochirurgie clinique au centre médical de l’université du Mississippi et est actuellement professeur invité au département de biologie du Belhaven College. Il est l’auteur de plusieurs livres et articles, dont Excitotoxins : The Taste That Kills (1994), Health and Nutrition Secrets That Can Save Your Life (2002) et Natural Strategies for Cancer Patients (2003), et rédige une lettre d’information mensuelle, le Blaylock Wellness Report.

    NE LAISSONS PAS LA POLITIQUE GERER LE COVID-19, CAR ILS N’ EN SAVENT RIEN…!!!

    SISSAN KONNI, BÉ BI I BÁH BOLO…!

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