Le Palais de la culture de Bamako a abrité la cérémonie de lancement de la 13e édition de la campagne nationale de la planification familiale. Une campagne, d’un mois, ouverte par la Première dame, Keita Aminata Maïga, ce jeudi matin. En présence des représentants de l’USAID et du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).
L’épouse du président de la République connaît les dangers liés à la non-maîtrise de la démographie dans un pays. De surcroît, dans un pays en voie développement comme le nôtre. C’est pourquoi devant des milliers de jeunes, la présidente de l’ONG AGIR, forte de son expérience, a fait des recommandations pertinentes.
Entre autres recommandations de Keita Aminata Maïga, on peut citer: le retour des infirmeries avec les normes d’hygiène et de qualité requises dans les espaces scolaires; l’intégration des notions de santé sexuelle dans les programmes scolaires; plus de convivialité de la part des professionnels de santé et un bon accueil de l’adolescente venue s’enquérir des moyens de contraception auprès d’eux.
Au dire de la Première dame, «l’heure est à l’action!». C’est pourquoi, elle félicite le département en charge de la Santé et de l’Hygiène publique pour une telle initiative. Qui s’inscrit, selon elle, dans «la politique d’une maîtrise de notre démographie, facteur indispensable à l’émergence économique de tout pays».
Le thème de cette 13e édition de la campagne nationale de la planification familiale est: «une jeunesse responsable et engagée en faveur de la planification familiale, un moyen pour atteindre le dividende démographique». Le choix de ce thème, affirme le ministre de la Santé, n’est pas fortuit. Au Mali, estime le Pr Samba Sow, les 10-24 ans représentent près du 1/3 de la population totale. «La santé de la reproduction des adolescents et des jeunes est caractérisée par une sexualité précoce avec comme corollaire une fréquence des grosses précoces».
La campagne nationale de planification dure un mois. Pendant ce temps, les méthodes contraceptives seront gratuites dans tous les centres de santé sur toute l’étendue de territoire national.
Mamadou TOGOLA
Les Gouvernements Africains s’evertuent a planifier le developpement demographique de leurs pays sans prevoir le taux de mortalite ,sans parvenir a declencher une croissance auto-entretenue dans l’economie nationale.C’est une veritable navigation sans phare,une aventure dans l’inconnu.Personne ne nie l’importance de la planification demographique.Mais ,elle fait partie de la planification generale.Les Chinois ont determine leur politique d’un enfant par famille lorsqu’ils ont reussi a atteindre leurs projections sectorielles elevees dans les differents domaines ,en particulier ,l’industrie qui influe sur la productivite des autres secteurs.Mais ,les pays Africains ,s’ils s’aventurent a reduire le taux democratique des familles rurales ,la famine va s’aggraver car la productivite de l’agraculture de subsistance est encore tres basse.Les regions africaines doivent planifier l’emergence economique,
L’ecole doit fournir une main d’oeuvre amelioree par commencer par l’agriculture,La phamacopee africaine modernisee doit viser a lutter contre les maladies endemiques;malaria,fievre thyphoide,diahree infectuese,tuberculose,sida.La nutrition doit contribuer a lutter contre les maladies causees par la faiblesse du systeme immunitaire.On ne procede pas a une reduction de taux de natalite dans un pays en stagnation structurelle,ou les gens ont faim,ou la mort frappe sans avertissement.
On va tout voir dans ce pays tant qu’on vivra longtemps. Si ce n’est pas le mari, c’est madame, ou bien le fils. EH ALLAH. La famille d’abord, ayez pitié du Mali. On a vu beaucoup de présidents passés dans ce pays.
L’espacement de naissance n’est pas et ne serra jamais un moyen de développement économique et social, c’est faux Madame Aminata Maïga. Au contraire, la ressource humaine constitue la première richesse d’un pays qui aspire au développement. De grâce, cessez de mentir à votre peuple sous l’injonction de la France.
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