Le premier septembre 2021, le Mali a reçu 40 mille doses de vaccins ou « Essai Solidarité sur les vaccins ». Il s’agit d’une vaste étude de recherche internationale qui vise à identifier les vaccins plus prometteurs, sûrs et efficaces contre la COVID-19. L’arrivée de ces vaccins en cette période de campagne de vaccination contre la COVID-19 a suscité beaucoup réactions à tort ou à raison. Pour en savoir plus sur ces vaccins, les cibles et les conditions de vaccination, nous avons rencontré le Pr Samba Ousmane SOW, le Directeur général de l’INSP et qui est fortement impliqué dans cette recherche.
- En quoi consistent les essais solidarité?
Pr Samba Ousmane SOW, le Directeur Général INSP :
Les essais solidarité consistent à évaluer plus de vaccins prometteurs pour que le monde puisse élargir son paquet de vaccins disponible pour être rapidement pré-positionné dans la lutte contre la COVID-19.
- Pourquoi le choix du Mali en ce moment précis pour ces essais ?
Pr Samba Ousmane SOW :
Le Mali a été sélectionné, parmi plusieurs pays membres de l’OMS à cause de la capacité des équipes de recherche et les résultats d’autres recherches menées au Mali notamment sur le MenAfrivac, Ebola….et la volonté politique de trouver une solution commune pour la gestion de la COVID-19. Le Mali ne produit pas de vaccins pour le moment mais en participant à cette étude, le Mali aura la chance d’être parmi les pays bénéficiaires de ces vaccins dès leur pré-qualification par l’OMS.
- 40 000 doses pour notre pays seulement, nos compatriotes sont-ils devenus des cobayes ?
Pr Samba Ousmane SOW :
Les personnes qui participent à des études sont appelées des participants ou des sujets à l’étude. Le terme ‘Cobaye’ n’est pas adapté à la recherche. 40 000 personnes sur plus de 20 millions de maliens (0.2%), c’est comme prendre une goutte d’eau dans le fleuve. Mais ce chiffre ajouté à celui des autres pays sélectionnés sera suffisant pour démontrer et confirmer que ces vaccins sont efficaces et qu’ils peuvent être utilisés dans le monde entier.
- A quelles cibles et dans quelles conditions ces vaccins seront-ils administrés ?
Pr Samba Ousmane SOW :
La cible est de 16 ans et plus à condition de ne pas encore avoir été vacciné contre la COVID-19 et de ne pas avoir été infecté par cette maladie sur la base d’un résultat confirmé au laboratoire.
- Etes-vous en phase avec les autorités sanitaires du pays pour ces essais ?
Pr Samba Ousmane SOW :
Toutes les autorisations ont été obtenues des autorités du Mali comme pour les autres vaccins ou médicaments utilisés au Mali.
- Quels messages pour rassurer nos compatriotes ?
Pr Samba Ousmane SOW :
Ces vaccins sont sûrs et efficaces parce qu’ils ont la capacité de stimuler la production d’anticorps (les défenses du corps).
Les vaccins que nos enfants et petits-enfants reçoivent dans les centres de santé en routine sont tous passés par ces étapes avant leur mise sur le marché.
Propos recueillis par Beydi Koné du CNIECS
J’ai été vraiment impressionnée par la façon dont le Pr SOW et son équipe ont maitrisé la propagation du virus Ébola au Mali sous IBK.
Cependant, je suis complètement en désaccord avec ses propos tenus dans cet interview visiblement arrangé.
Car ses propos sont contradictoires et non scientiques. D’une part, il dit que les vaccins sont à TESTER/VALIDER, et d’autres part il dit ces vaccins sont sécuritaires.
Comment peut-il être certain qu’un vaccin non homologué par l’OMS soit sécuritaire?
Une loi visant à mettre à jour les règlements financiers US a été considérablement amendée par la Chambre des représentants, le 17 décembre 2019.
Incidemment, elle a assimilé l’ARN messager à un vaccin (Sec 605 Biological Product Definition).
Elle a été adoptée comme tel et promulguées le 20 décembre 2019 (H.R.1865 – Further Consolidated Appropriations Act, 2020).
Quelques jours plus tard, la Chine était confrontée à une épidémie de Covid 19.
Dans les mois qui suivirent de grands laboratoires eurent l’idée d’utiliser l’ARN messager comme un équivalent des vaccins pour combattre la Covid ; un usage nouveau auquel personne n’avait songé auparavant… à l’exception du Congrès US…!!!!!!!!!
QUELLE MAGIE..!!!!
QUELLE MAGIE..!!!!
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Nous n’avons pas confiance à ce Pr qui semble un grand joueur de cinémas et de fourberies, des personnes comme celle-là n’inspirent aucune confiance. Dès qu’un homme de science se retrouve à de tel poste, il cesse d’être sérieux, nous sommes très convaincus de cette assertion. Nous restons certains que ce Pr ne deviendra qu’un tigre en papier étant à ce poste, c’est foutu pour notre pays qui vient de perdre un homme de science, cela ne nous étonnent pas, car nous avons eu le temps de le connaitre depuis sa nomination dans la lutte contre le virus Ebola en 2018, il a joué beaucoup de cinémas et de fourberies au cours l’exercice de cette mission. Pauvre Professeur, l’argent ne pardonne pas les hommes de science, il les détruit pour de bon.
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