Ousmane Karim Coulibaly a bénéficié de la confiance des plus hautes autorités du pays pour présider aux destinées de l’Institut national de Prévoyance sociale (INPS), à la faveur du Conseil des Ministres du 20 octobre 2021. Pour redonner à l’Institut ses lettres de noblesse, l’homme du sérail qu’est Monsieur Ousmane Karim Coulibaly a vite annoncé les couleurs, lors de la cérémonie de passation de service, le 25 novembre 2021.
En terrain connu, M. Coulibaly a vite compris que sa mission fondamentale consiste à restaurer l’image de marque des prestations sociales au Mali. Lui qui a gravi tous les échelons avant d’être aujourd’hui Directeur de cette institution. Il possède l’expérience nécessaire pour tirer l’INPS vers le haut, au grand bonheur des salariés, des retraités, des migrants et des travailleurs indépendants maliens.
Méthodique et surtout très confiant en l’avenir, le Directeur général de l’INPS, a décidé de s’investir, corps et âme, pour ramener sa structure à pleinement jouer le rôle d’organe stabilisateur social par excellence avec les ressources nécessaires pour être le contre poids de la précarité sociale des ménages des travailleurs. Ce, ayant compris que l’image de ce grand patrimoine national se trouve, quelque peu écornée auprès de l’opinion.
En effet, les caractéristiques d’entreprise citoyenne de l’INPS ne sont plus à démontrer, au regard de ses différentes prestations et service à la solde des maliennes et maliens. Nonobstant, ces résultats probants, l’Institut est souvent victime de procès en sorcellerie, victime des ambitions personnelles et du manque de cohésion au travail.
Toutes choses qui ont fait prendre à la nouvelle gouvernance, la mesure des enjeux, des adversités et des fractures à souder. Pour lui, l’accueil personnalisé, la préservation des acquis de la gestion en passant par le service correct et régulier des droits méritent tous les sacrifices et toutes les énergies de sa part.
En homme humble et averti, celui qui n’a de maison que l’INPS a compris que le parcours de l’Institut a été toujours émaillé de défis, notamment le défi de la cohésion sociale au sein du personnel, de la disponibilité financière avec des problèmes de densité de cotisation, de la péréquation entre cotisations et prestations sociales, mécanisme permettant de faire une bonne redistribution des ressources financières sous formes de prestations sociales et à coût réel, de la dégradation du ratio de dépendance démographique, rapport actif – retraité. S’y ajoute, le défi de la maitrise des dépenses techniques.
Pour une meilleure visibilité et lisibilité du service, le DG de l’INPS accorde une importance de premier choix à la communication dont, n’a-t-il pas caché, chacun mesure le pouvoir sur les activités quotidiennes de l’Institut. Il promet que « cette communication sera modernisée et permanente pour être à hauteur de nos ambitions. Les projets y afférents seront prochainement portés à la connaissance de tous ».
Selon lui, « chaque famille malienne doit sentir l’INPS chez elle et, ce sera notre fierté ».
Pour ne rien rater, le nouveau patron de l’INPS a mis le personnel au cœur de tout. Avant de confier que des réflexions seront menées pour la motivation du personnel afin de garantir un service de qualité conforme à nos ambitions.
Source : INPS
Correspondance particulière