Face à la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans certains pays d’Afrique et de la sous-région, l’ambassade des Etats-Unis a décidé d’organiser une causerie-débats sur cette maladie pour informer les hommes de médias, les mesures préventives de la première puissance, mais aussi les comportements des journalistes face l’épidémie.
Deux experts en communication de Médecins sans frontières des Etats-Unis d’Amérique ont animé hier une causerie-débats sur la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans notre pays.
Observée depuis plusieurs mois dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, notamment en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée-Conakry et présentement dans notre pays, la maladie a déjà fait plusieurs milliers de morts. Même des agents de santé ont eu à la contracter ou l’ont exporté dans certains pays d’Europe et aux Etats-Unis, explique Ilan Moss, directeur de la communication de DNDI North America.
Le directeur de la communication a fait savoir que face à l’urgence, les journalistes doivent jouer un rôle de premier plan dans la prévention de la maladie. “La déontologie exige aux journalistes la vérification des faits et la précision pour juste informer. L’appel des hommes de médias peut aider les autorités pour épargner les populations maliennes de cette terrible maladie. Il s’agit, entre autres, des informations à la radio, à la télévision… les mesures et les comportements à suivre au quotidien pour éviter cette maladie”, a-t-il annoncé.
S’agissant des mesures préventives des USA, il a affirmé que le gouvernement américain consolide son plateau sanitaire. “Le gouvernement a pris la tête d’une coalition internationale pour maîtriser le virus à sa source en Afrique de l’Ouest. Plus de 170 experts médicaux sont dépêchés pour l’heure en Afrique de l’Ouest, soignants et spécialistes chargés des secours en cas de catastrophe issus de plusieurs agences et départements américains dont certains font partie de l’équipe d’intervention rapide de l’USAID”, a-t-souligné.
Selon Ilan Moss et Saran Delvin, le constat est amer. Et, disent-ils, il faut un dispositif sérieux mis en place par les pays du champ. C’est pourquoi le gouvernement américain s’engage à intervenir auprès de qui de droit pour qu’un dispositif à la dimension de la menace soit mis en place.
Bréhima Sogoba
Face à la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans certains pays d’Afrique et de la sous-région, l’ambassade des Etats-Unis a décidé d’organiser une causerie-débats sur cette maladie pour informer les hommes de médias, les mesures préventives de la première puissance, mais aussi les comportements des journalistes face l’épidémie.
Deux experts en communication de Médecins sans frontières des Etats-Unis d’Amérique ont animé hier une causerie-débats sur la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans notre pays.
Observée depuis plusieurs mois dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, notamment en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée-Conakry et présentement dans notre pays, la maladie a déjà fait plusieurs milliers de morts. Même des agents de santé ont eu à la contracter ou l’ont exporté dans certains pays d’Europe et aux Etats-Unis, explique Ilan Moss, directeur de la communication de DNDI North America.
Le directeur de la communication a fait savoir que face à l’urgence, les journalistes doivent jouer un rôle de premier plan dans la prévention de la maladie. “La déontologie exige aux journalistes la vérification des faits et la précision pour juste informer. L’appel des hommes de médias peut aider les autorités pour épargner les populations maliennes de cette terrible maladie. Il s’agit, entre autres, des informations à la radio, à la télévision… les mesures et les comportements à suivre au quotidien pour éviter cette maladie”, a-t-il annoncé.
S’agissant des mesures préventives des USA, il a affirmé que le gouvernement américain consolide son plateau sanitaire. “Le gouvernement a pris la tête d’une coalition internationale pour maîtriser le virus à sa source en Afrique de l’Ouest. Plus de 170 experts médicaux sont dépêchés pour l’heure en Afrique de l’Ouest, soignants et spécialistes chargés des secours en cas de catastrophe issus de plusieurs agences et départements américains dont certains font partie de l’équipe d’intervention rapide de l’USAID”, a-t-souligné.
Selon Ilan Moss et Saran Delvin, le constat est amer. Et, disent-ils, il faut un dispositif sérieux mis en place par les pays du champ. C’est pourquoi le gouvernement américain s’engage à intervenir auprès de qui de droit pour qu’un dispositif à la dimension de la menace soit mis en place.
Bréhima Sogoba
2e DECES DU A EBOLA AU MALI
Plus de 80 personnes-contacts sous surveillance
Notre pays a connu mardi soir son second cas d’Ebola avec le décès d’un infirmier de 25 ans en service à la Clinique Pasteur. Cela a obligé les autorités sanitaires à placer sous surveillance plus de 80 personnes-contact. C’est l’alerte maximale contre le virus Ebola.
Le secrétaire général du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, Pr. Ousmane Doumbia, a animé hier une conférence de presse pour évoquer le nouveau cas de virus Ebola détecté dans notre pays, le mardi 11 novembre 2014, précisément à la Clinique Pasteur où un infirmier a succombé à la FHVE. Il avait à ses côtés le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le coordonnateur du plan d’urgence de l’épidémie, Pr. Samba Sow.
Un communiqué du MSHP indique que l’infirmier aurait été en contact, entre le 25 et le 27 octobre, avec un malade venu de Kourémalé (côté guinéen), admis à la Clinique Pasteur pour insuffisances rénales. Il s’agit d’un imam, âgé de 66 ans environ.
Mais, selon le représentant de l’OMS au Mali, Ibrahima Socé-Fall, citant des informations de l’OMS-Guinée, cette personne serait décédée d’Ebola. C’est donc la cause du décès de l’infirmier de la Clinique Pasteur qui s’occupait effectivement des soins du patient guinéen.
Après la confirmation du cas de l’infirmier et son décès, des dispositions ont été prises par les autorités sanitaires. Le personnel de la Clinique Pasteur a été placé en observation. Les personnes-contacts, les parents du défunt, ainsi que la famille tutrice du Guinéen à Djicoroni-Para, l’imam qui a procédé à la toilette mortuaire ont été mis en quarantaine et la Clinique fermée aux consultations jusqu’à nouvel ordre.
Les enquêtes se poursuivent pour identifier d’autres personnes contacts, les patients qui ont séjourné ces derniers temps à Pasteur. Ils sont déjà plus de 80 personnes en observation. Les lieux ont été également pulvérisés pour minimiser le risque de contamination, a assuré le secrétaire général, appuyé par Pr. Samba Sow.
Pr. Doumbia a ajouté que toutes les dispositions seront prises pour contenir la maladie comme cela avait été le cas avec la première victime à Kayes. Cependant, il a invité à la vigilance et au respect strict des mesures édictées par les autorités sanitaires pour éviter toute propagation du virus Ebola.
Le représentant de l’OMS a mis l’accent sur la sensibilisation et la communication autour de cette maladie. Plusieurs questions allaient dans le sens de la culpabilité de la Clinique Pasteur qui aurait tu l’information sur la maladie de son agent décédé. Il a fallu que sa famille éplorée en avise les autorités sanitaires.
Le secrétaire général a indiqué que cette affaire sera tirée au clair pour situer les responsabilités des uns et des autres.
Ousmane Daou
Il ne faut pas jouer avec le feu comment aujourd’hui un malade de n’importe quelle maladie arrive de guinee ou meme au nord du mali sans lui faire des test d’ebola en premier lieu. Le directeur de Pasteur et leur docteurs tous doivent demissioner et aussi il savent que le docteur est decede d’ebola et ils cachent peur d’etre fermer. Non a la gourmendisme renvoyer ces connard qui vendent la population a cause de largent.
les douaniers qui ont fait venir le marabout à la clinique pasteur doivent être identifié et les isoler même s’ils ont de l’argent pour ne pas contaminer ceux qui les côtoient et le reste de la population
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