Il est midi en ce 22 janvier 2015. Nous sommes à la Clinique Pasteur de Bamako. Le visiteur est d’abord frappé le fait que devant l’établissement n’a guerre longtemps, il était difficile se trouver un petit coin dans le parking. Il n’y a à peu près que cinq véhicules. Tout est calme et silencieux. A l’intérieur de la structure, les couloirs sont vides. Quelques employés visiblement n’ayant rien à faire… s’occupaient devant quelques ordinateurs. Très facilement nous avons accès au bureau du directeur. Mr Dramane Maiga visiblement triste et désespéré nous explique : « nous avons adressé une demande de réouverture au ministère de la santé depuis le mois de décembre. Mais ladite demande est restée sans suite. Il nous a même été indiqué de ne faire aucune déclaration avant que la réouverture ne nous soit accorder. Actuellement nos téléphones n’arrêtent pas de sonner, les patients veulent se faire soigner et les agents de santé n’ont qu’une envie, c’est de répondre à cette demande. Et c’est au directeur de dire que comme la Clinique est toujours fermée sur décision du ministre de la santé, les agents de santé et les malades doivent prendre leur mal en patience.
Djibril Kayentao
Mr KAYENTAO, quelque soit votre volonté vous ne réussirez pas à transformer l'accusé en victime. Le promoteur a joué avec les vies humaines contre de l'argent et il paye cash le prix qui s'il en reste là n'est pas cher payé.Il mérite pire que la fermeture temporaire de sa clinique, la prison pour homicide involontaire.
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