Certaines personnes, en optant pour la médisance et des attaques au bas de la ceinture, oublient que d’autres les connaissent. Comme le dirait l’autre, celui qui a le pantalon troué ne doit pas monter sur l’arbre de la transparence. Les meilleures illustrations se retrouvent au CHU- Gabriel TOURE, ou certains sous le sceau du syndicat (un seul sur trois) s’attaquent à leur hiérarchie soit par la presse, soit par la diffamation. Ayant s’attaquer au relayeur que sommes-nous de la presse, nous allons dans cette série d’articles que nous comptons publier parler d’abord de quatre de ces agents fossoyeurs de cette structure.
L’un est pharmacien, diplômé de l’Ecole de Médecine. Après cette formation, l’homme intègre la fonction publique. Pharmacien régional à Koulikoro, il n’eut son salut qu’à l’intervention de plusieurs de ses ainés. Muté à Bamako, au CHU-Gabriel TOURE, la Directrice de l’époque s’empressa de s’en débarrasser en lui octroyant une bourse d’étude à l’étranger. Après 9 mois, il revient au Point G. Que dire de ces fourberies dans cette pharmacie, peut-il faire le point de la gestion des pharmacies d’urgences ?
Le Point G, à lui seul n’a-t-il pas acheté 83 armoires et 36 réfrigérateurs sans compter les médicaments. Il doit savoir ce qui a été acquis pour Gabriel TOURE et autres. Un de ses chefs d’alors, concluait en ces termes ‘’ Projet des armoires d’urgences : projet personnalisé. Une proposition serait de faire l’état des lieux, de transférer les stocks (disponibles ou non) et de faire du projet une activité intégrée à la pharmacie ‘’. Alors, à quand le payement des 650 000FCFA du CHU-Point G ? Ce pharmacien n’est-il pas bien le Dr. Losseni BENGALY ? Nous reviendrons sur son soit disant statut de Maître assistant, de son passage à Genève car nous avons un confrère qui est en mission actuellement là-bas qui est en train de chercher toute la vérité sur le sujet.
‘’Seul Spécialiste ‘’ de la production de la solution Hydro alcoolique. Cette activité aussi personnalisée est gérée par le seul individu, même l’OMS a été écartée pour ’’ faciliter’’ les décaissements. Au CHU-Point G cette activité menée par les étudiants. Pour cet individu, nous garderons la suite.
Le second, un standardiste, Djimé KANTE radié de la coopérative JAMANA et du syndicat, il se fait passer aujourd’hui pour une victime. Après lui avoir fermé la pharmacie pour trafic de médicaments, il s’empara du problème du reversement des contractuels dans la fonction publique. Pour lui, le combat devenait un fond de commerce, il fallait lui trouver de l’argent pour faire le tour du Mali afin de sensibiliser les militants, ridicule non ! A la société Equipbail-Mali, c’est l’indignation car ils attendent encore leur argent soit 850 000FCFA pour la location vente de moto. Qu’il sache que tout se sait au Mali.
Le troisième est un chimiste. Après une gaffe, selon de nombreuses sources, à la pharmacie, il est transféré à la comptabilité, par manque de personnel. Actuellement, la comptabilité du CHU-GT regorge des comptables. Mais comme il est devenu le point de tenter les opérations financières : motos, moutons, ristournes et primes de garde il ne veut plus quitter la comptabilité. Ce n’est autre qu’Alfousseyni COULIBALY, un chimiste qui ne veut finalement rien que la comptabilité. Mais comme à Gabriel TOURE, des ingénieurs étaient sous ordre des techniciens.
Le quatrième est un certain Mohamed KEITA, figure parmi les recrues du bon Daba DIAWARA. Il aurait manipulé de faux documents pour se retrouver en qualité d’aide électricien à la maintenance. Soupçonné d’avoir fait le double de la clé du magasin du chef du service social pour enlever une quantité importante de céréales, les enquêtes seraient en cours. En attendant, ils peuvent tous méditer sur cette assertion bambara «A tô ni ma tô ni à tonin kôrô ikélén bè à tiè», c’est-à-dire celui qui s’en-tête à ne pas écouter sera un jour devant le fait accompli. Alors qu’ils sachent que les autorités ne sont pas dupes pour tomber dans l’indifférence. D’autant plus que ces femmes et hommes qui viennent de prendre les rênes du pouvoir sont en mission mais pas en mission pour régler des comptes personnels et politiques. C’est la seule vraie raison de toute agitation. Ce qui ne passera pas. A bon entendeur, salut !
A SUIVRE …
Moussa SOW
Stagiaire
Hey Mr le journaliste, le directeur de l hopital et sa femme Fifi Doukoure t ont donner combien pour que tu ecris cet article…espece de clown…
Cet article n’a pas de sens, ce journaliste ou est tu as appris à lire et écrire , tu est la honte des journalistes au Mali, on ta payé combien ce Directeur et sa putaine de femme de merdre; tu me fait pitié aie du respect pour les Maliens, petit blakoro que tu est.
J’ai honte, je suis meurtri, j’ai très honte de ce journaliste de bas niveau, homme de main, dévot, servile, sans cause et qui ne connait rien des règles du métier qui plus est un stagiaire culotté. Le parti pris est tellement flagrant qu’il faut être le plus dupe pour croire ces ragots et dénigrements. Tu sembles ne rien savoir de ce qui se passe en réalité dans cet hôpital qui va si mal, même pas pour le personnel mais nos pauvres parents qui viennent se confier malgré eux aux conditions les plus exécrables de soins dans une structure dite de dernier niveau. Soigner tout simplement dans cette structure est dangereux non seulement pour le personnel mais aussi pour le malade car le minimum nécessaire n’y est pas( médicaments, labo, radio, opération, etc). Pas plus tard que 10 jours j’ai accompagné un malade dans cet hôpital et j’ai tout payé ailleurs (radio, médicaments, analyse de sang) car non faisables dans l’hôpital selon les techniciens. Naturellement au Mali le syndicalisme est vu comme une espèce de défiance aux autorités mais il faut exhiber tout malaise pour qu’il soit connu et soigné. Tu ne nous a pas dit les vraies raisons comme annoncer Monsieur “SOT”!
Journaliste d investigation. Mais ce que tu ne dis pas et pourtant qui est le titre de ton article, c’est a dire les vraies raisons de a grève.
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