Les hôpitaux demeurent le seul refuge pour les malades. Bientôt un mois, deux grandes structures sanitaires du Mali à savoir l’hôpital du Point G et l’hôpital Gabriel TOURE sont presqu’en arrêt de travail pour les consultations médicales et les interventions chirurgicales programmées. Le hic est que les patients dans leur majorité sont orientés vers les structures sanitaires privées. Ces établissements sanitaires privés ont poussé comme des champignons. De nos jours, les 73% de ces structures sanitaires privées ne répondent pas aux normes. Elles appartiennent aux praticiens des structures publiques ou en association avec des partenaires. Les malades sont consultés dans le public et réorientés dans les cliniques. Les examens cliniques et paracliniques réalisables au sein des structures publiques sont orientés ailleurs. Sur chaque examen réalisé dans les cliniques privées, les praticiens hospitaliers touchent une partie de l’argent d’où le nom ristourne avec ces cliniques privées. Dans ces cas de figure, le patient paie plus que dans les structures publiques. De nos jours, c’est devenu un business très juteux pour certains praticiens hospitaliers. Et pourtant l’état investi des moyens financiers et techniques dans les structures de santé pour une meilleure prise en charge des patients.
Pourquoi l’état reste silencieux face à ces pratiques?
Il est temps d’agir pour mettre fin à cette pratique commerciale qui déshonore la profession médicale.
Bokoum Abdoul Momini /maliweb.net
C’est dommage pour notre pays, car tous les secteurs du développement sont gangrénés et suffisamment métastasés et pour mettre les choses au pas, il faut de simple changements non difficiles. Mais tout le monde joue le cinéma et des fourberies autour des choses simple, quelle ignominie? Ce pays a besoin de grand nettoyage et c’est tout. Ce qui reste certain, nous devrons cesser que nous le voulez ou non d’être méchants et non coopératifs entre nous car c’est seulement comme çà que nous bâtirons ce pays. Personne ne pense à personne; personne ne veut aider personne; personne ne songe à personne, personne n’aime personne sans intérêt, personne n’a de l’amour pour personne, personne n’a de la compassion pour personne, comment construire un tel pays avec succès? Nous sommes dans une grande tornade qui risque de nous emporter tous un jour. Ce qui est très inquiétant; c’est que notre situation se dégrade toujours un peu plus à tous les niveaux de la vie de notre société. Pour qu’une nation puisse être appelée nation, il faut absolument l’amour, l’entraide, la compassion entre les personnes, la sincérité au sein des membres de la société, toutes ces valeurs sont actuellement détruites et enterrées dans notre pays, nous sommes dans quelle société aujourd’hui? Tout le monde ne parle qu’argent et argent et c’est tout, c’est vraiment dommage.
Cela s’appelle la corruption systémique !!! Un mal qui ronge le Mali au détriment des maliens
En 2015 , un audit à révélé que les matériels d’imageries avait été acheté au prix fort (corruption administrative) puis détournés vers des structures privées (vols des médecins) Résultats les anciens étaient hors d’usages et les structures privées ont été livrées de neuf gratuitement .
Corruptions 100% malienne et un savoir faire 100% malien
Cela s appelle la religion, on croit à l argent dieu, on fait tout pour soi seulement, on pratique l hypocrisie, c est à l hopital comme à la mosquée, c est le chirurgien comme l imam, c est clinic privée comme la mosquée. En islam ou autres croyance abrahamiques l argent c est dieu, l enfer c est l autre, la solidarité c est en fait l hypocrisie. ON NOUS A POURTANT DIT QUE LE MALI EST UN PAYS MUSULMAN,
NOS ANCÊTRES ONT TOUJOURS SOIGNÉ POUR UNE NOIX COLA, DEUX POULETS QUE L ON EGORGEAIT IMMEDIATEMENT POUR NOURRIR LES NÉCESSITEUX, DONC ON N ACCUMULE PAS ON NE S ENRICHIE PAS.
KAN, LA CORRUPTION SYSTEMIQUE VIENT DE LA CROYANCE SYSTEMIQUE, QUAND TOUS CROIENT EN “UN DIEU” L IMPOSSIBLE, ALORS L HYPOCRISIE DEVIENT LA RELIGION AVEC LES CORRUPTIONS .
NOUS DEPENSERONT 50 MILLIARDS POUR ALLER NOUS PAVANER À LA MEQUE CETTE ANNÉE, NON KAN, QU EN DIS TU?
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