La croissance du taux de contaminations et de décès liés au coronavirus lors du dernier trimestre de l’année 2020 avait entrainé une restriction voire l’annulation des activités de sports et de culture. Mais depuis mi-janvier un allègement des mesures a été annoncé aux acteurs, ce qui a donné un sourire du ‘’coin des lèvres’’ au monde des compétitions et des spectacles.
La pandémie du Covid-19 n’a épargné aucun secteur de la vie socio-économico-politique à travers le monde. Les chiffres de décroissance sont alarmants. La situation des acteurs, au plan économique et social, est inquiétante. La maladie à coronavirus a plongé Les Etats dans un dilemme pitoyable : entre la santé et la survie des populations, que faut-il choisir ? Etat d’urgence sanitaire, couve feu sont autant de mesure qui à la longue ont agacé les populations parce qu’elles avaient faim. ‘’Mieux mourir de coronavirus que de faim’’ laisse entendre des manifestants notamment en Afrique. Cette même Afrique qui a variablement senti les méfaits de cette maladie pour des raisons à la fois géographique et physiologique. Mais pour prévenir, les autorités comme celle du Mali avaient l’obligation de protéger sa population, même contre son gré.
Dans nos Etats, l’essentiel de la population vit au quotidien ou de leur revenu mensuel. Mais l’interdépendance des activités et des pays font que des secteurs comme le sport et la culture étaient frappés de plein fouet.
Le sport et le monde qui l’entoure, la culture et activités annexes broyaient du noir : absence de compétitions et ses retombés économiques, arrêt et annulation des spectacles de tout genre et leur rétribution subséquente.
Depuis plusieurs jours, une décision du gouvernement qui a suscité un communiqué du ministère de la culture, de l’artisanat et du tourisme, est venue alléger ces restrictions, elle a prôné la réouverture des salles de spectacle et des lieux de loisirs, la tenue des compétitions dans le strict respect des mesures barrières. Un ballon d’oxygène qui a fait sourire du coin des lèvres les acteurs de ces domaines. Car ce sont des activités à grand publique mais limité ce publique à 50 personnes, n’est pas une joie totale.
Partout, dans tous les discours, la fin rationnelle ou empirique de cette maladie est souhaitée pour une vie normale. Avec ou sans vaccin (vaccin qui ne fait pas encore l’unanimité), toutes les prières sont pour une année 2021 sans Covid-19. La baisse du taux de contaminations est amorcée…
DTS