Ces journées, qui ont débuté mardi, se sont poursuivies alors que certains avocats annonçaient leur intention de porter plainte contre l’Etat pour séquestration du journaliste Boukary Daou, directeur de publication du journal Le Républicain.
« Nous on veut la libération de notre confrère, carrément. La principale revendication, c’est la libération de Boukary Daou » a dit le directeur de la Maison de la presse, Makan Koné.
Pour Alexis Kalembry, directeur de publication du journal Les Echos, ce mouvement de la presse est parti de la mauvaise volonté des autorités à écouter les journalistes.
« Il n’y a aucune plainte formelle contre lui » rappelle M. Kalembry. Si des faits concrets peuvent être retenus contre M. Daou, qu’on les fasse connaitre, a poursuivi le journaliste. « Les lois sont claires en la matière. Mais comme les choses se font actuellement, ce n’est pas la bonne procédure en république, en démocratie » ajoute-t-il. « Et malheureusement, nous n’avons rencontré aucune oreille attentive à ce jour ». Approchée par les journalistes qui cherchent à défendre leur confrère, la classe politique malienne a opté pour le mutisme, probablement par peur, estiment les média maliens.
La presse malienne est très montée depuis l’attaque du 2 mars contre Dramane Traoré, animateur de Radio Kayira à Niono, qui a été agressé à domicile et grièvement blessé. Et elle a dénoncé l’interpellation de M. Daou, quelques heures après la publication d’une lettre ouverte rédigée par un soldat malien, reprochant au président de la République du Mali les avantages accordés au capitaine Amadou Haya Sanogo, à l’origine du coup d’État du 22 mars 2012. Le capitaine a été nommé en février président d’un comité militaire chargé de réformer l’armée malienne.
Jeudi, les média maliens imputaient au capitaine Sanogo le refus de libérer M. Daou. Les journalistes maliens redoutent également pour l’état de santé du directeur de publication du journal Le Républicain qui selon eux, aurait été victime de violences en détention.
A noter que la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) a apporté son soutien aux journalistes maliens dans leur campagne pour obtenir la libération de M. Daou.
L’ONG de défense de la presse Reporters sans frontières a elle aussi salué l’opération « presse morte » lancée par les journalistes maliens en réaction à la détention du journaliste.
cette histoire de journées “presse morte” était une prévisible erreur car, aux grands maux il faut les grands moyens. puisque c’est la publication de la lettre ouverte qui pose problème visiblement plus à Kati qu’à Koulouba, alors ne ce serait-ce que par une véritable solidarité (comme c’est bien souvent le cas ailleurs) pour le journaliste séquestré pour l’avoir fait, il fallait en faire autant dans toutes les rédactions jusqu’à la relaxe du confrère. mais la presse malienne a préféré adopter une posture perdante qui en dit long sur sa déconfiture et même un peu sur son manque de crédibilité au sein de l’opinion… et c’est à ses dépens, hélas !
MENTION SPECIALE A OUMAR (1 COMMENTAIRE) DONT LE POST CINGLANT “Tu la fremé sal batar Mango……” A LITTERALEMENT ANEANTI NOTRE FRERE TIENIMANGO!!! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
C’était la 1ère fois aujourd’hui que OUMAR avait le moindre influx dans son seul et unique neurône, et ça a donné ça: (1 post ‘”Tu la fremé sal batar Mango……”
Bel effort! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
BEN77
Toi qui es sensé être sensé, je ne comprends pas que le fait ENORME qu’une SECURITE D’ETAT (je dis bien une SECURITE D’ETAT!!!) coffre et détienne sans le moindre chef d’accusation un journaliste (je dis bien un JOURNALISTE!!!) ne t’interpelle pas!
As-tu jamais vu cette même S.E arrêter qui que que soit d’autre que ceux qui gênent l’autre parasite de Kati??? MAIS QUE FAUT-IL DONC POUR QUE VOUS COMPRENIEZ CE QUE TOUT LE MONDE COMPREND DEPUIS LE 22 MARS????
Vous ne voyez donc pas que ce qui reste du Mali est encore plié au bon vouloir et aux caprices personnels de cette mauviette-détourneur-de-fonds-publics-Lâche-Fuyard??????
Comme les campagnes gratuites de vaccinations, il me parait urgent d’organiser ici des campagnes de distributions gratuites de cerveaux! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 :cr
Monsieur X (puisse que vous n’avez pas de pseudo), d’abord un rectificatif sur le plan purement vocabulaire. L’expression « sensé être sensé» n’existe pas ou disons, ne veut rien dire ; moi j’ai dit : « censés être sensés » en parlant des avocats.
Pour revenir à notre sujet, je voudrais que vous sachez que le Mali est actuellement sous le régime d’état d’urgence. Je crois que beaucoup ignorent cet état de fait qui en fait change tout. Donc les services de sécurité n’ont aucunement besoin d’un chef d’accusation quelconque pour arrêter un journaliste ou même un juge. C’est la loi qui le dit ; et malheureusement on est désagréablement surpris que même des cadres l’ignorent. Le journal peut même être fermé définitivement ou suspendu pour une période déterminée si son action tend à influer négativement sur le déroulement des opérations en cours au Nord-Mali.
Je vous demande aussi de jeter un coup d’œil sur les missions et attributions de la SE du Mali ou d’un quelconque autre pays.
Je ne sais pas pourquoi des gens pourtant censés être sensés s’agitent inutilement pour ce problème d’arrestation du journaliste Daou. Tout est pourtant conforme à la loi.
L’Article 50 de notre constitution dit : « Lorsque les Institutions de la République, l’indépendance de la Nation l’intégrité du territoire national, l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier les pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exceptionnelles exigées par ces circonstances après consultation du Premier Ministre, des Présidents de l’Assemblée Nationale et du Haut Conseil des Collectivités ainsi que de la Cour Constitutionnelle.
Il en informe la Nation par un message.
L’application de ces pouvoirs exceptionnels par le Président de la République ne doit en aucun
cas compromettre la souveraineté nationale ni l’intégrité territoriale.
Les pouvoirs exceptionnels doivent viser à assurer la continuité de l’Etat et le rétablissement dans les brefs délais du fonctionnement régulier des institutions conformément à la Constitution.
L’Assemblée Nationale se réunit de plein droit et ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.»
Parmi les mesures exceptionnelles dont il s’agit, ont peut citer l’état d’urgence.
L’état d’urgence, a été décrété au Mali depuis le 12 janvier 2013, et a été prorogé pour trois mois supplémentaires, afin d’assurer «le bon déroulement des opérations militaires en cours pour la libération des régions occupées du pays. Le gouvernement avait déclaré que: «Le bon déroulement des opérations militaires en cours pour la libération des régions occupées de notre pays et la nécessité d’instaurer et de maintenir un climat social serein dans tout le pays commandent la prorogation de l’état d’urgence sur l’étendue du territoire national » (à suivre)
(suite et fin)
Pour éclairer votre lanterne, je vous donne quelques explications.
1- En droit , l’état d’urgence est régime provisoire qui accroît les pouvoirs de police des autorités civiles en cas d’atteinte grave à l’ordre public ou de catastrophe naturelle.
2- L’état d’urgence a pour effet d’élargir les pouvoirs de police administrative, en l’occurrence la réglementation de la circulation et du séjour, les mesures d’éloignement, le droit de réquisition, de fermeture de lieux ouverts au public, l’assignation de résidence.
3- En outre, la loi déclarant l’état d’urgence peut prévoir des pouvoirs de police renforcés en matière de perquisitions et de contrôle des moyens d’expression de la pensée.
Cette mesure a été prise justement par le gouvernement pour éviter les bévues pareilles à celle commise par votre journaliste Daou. Son cas est d’autant plus grave que non seulement c’est un faux document, mais aussi ce document vise à démoraliser les troupes sur le terrain. Et tout cela pendant un état d’urgence. Il pouvait rester encore un mois ou plus à la SE sans aucune entorse à la loi ; et personne ne pouvait se plaindre ; sauf bien sûr les ignorants qui ne savent pas de quoi il s’agit.
Voilà, sans épuiser le sujet, je pense que vous avez compris l’essentiel. J’espère que d’autres comme vous comprendront par la même occasion.
Que Dieu nous éclaire.
Je crois que les journalistes s’agitent pour rien. Ils disent que la classe politique malienne a opté pour le mutisme, probablement par peur, estiment les média maliens. Non! ce n’est pas du tout par peur ou autre, seulement ces gens sont bien éclairés et savent qu’aucune entorse n’est faite à la loi. C’est vous qui êtes entrain de vous agiter inutilement comme ce chauffeur de taxi qui se dit abusivement sanctionné alors qu’il roulait bien à droite. Mais il oublie qu’il était en excès de vitesse.
Mais je ne comprends pas du tout l’attitude des avocats qui, pourtant savent de quoi il s’agit.
Haaa! j’oubliai, quelqu’un à côté me dit qu’ils veulent seulement leur argent. Même si tu commets un homicide volontaire, l’avocat te fera comprendre que tu peux être acquitté ou bénéficier de circonstances atténuantes; pourvu qu’il gagne ses honoraires.
Au Mali les CAPITAINES (pas ceux des eaux douces, mais DE L’ARMÉE) seraient ils des pleutres??
Il parait que Sir Daou n’a fait que oublier la MISSIVE d’un certain CAPITAINE Touré sans cou.lle (s’il existe)…
Ce capitaine (s’il existe) avait donné une semaine de délai pour que l’autre, celui des déserteurs, (lui, il existe et épouvante la fripouille de presse) REND LE MAGOT sinon que lui aussi IL VIENDRA FAIRE LA LOI dans une AUTRE GRANDE VILLE (pas deux capitaines dans un bateau, il y en a UN déjà à Bamako 🙁 🙁 ) où les hommes SE RASENT 3 FOIS PAR JOUR 😀 😀 😀 …
L’ultimatum est expiré, le capitaine n’a pas laissé sa position et GRAVE il n’a pas daigner porter SECOURS A SIR DAOU pourtant son messager (son soldat)….
De la plume à l’épée
Mais que dit le Peuple ? Que les écrits de ce « journaliste » soient fondés ou pas, ce qui ne signifie guère dédouaner une irresponsabilité, je trouve sidérant qu’en cette période tragique qui remet en cause l’existence même d’un Etat ou de qu’il lui reste, de tels avantages, qui sont une gifle à la pauvreté nationale notamment dans les milieux ruraux, soient accordés à un seul individu, notamment à un « militaire », qui devrait démontrer ses aptitudes de stratège au front au lieu de terroriser en permanence les institutions d’un état moribond. Comparaison n’est pas raison. Il ne s’agit point de dire que d’autres l’ont fait avant moi pour justifier un acte obscène, qui n’est ni le premier et ne sera point le dernier, au risque de vouer à l’échec les objectifs d’une mission pour laquelle l’on se sent investi comme par un acte divin. Cette mission, somme toute vouée à l’échec, n’est ni plus ni moins qu’une mise en quarantaine en attendant l’éclairci, c’est-à-dire la libération totale du territoire des islamo-fascistes et des apatrides de tout acabit. L’honnêteté, la bravoure et le patriotisme d’un homme requièrent toujours de donner l’exemple : marché la tête haute avec dignité.
Quant à cet amateur aventurier de la plume, on est enclin de dire que le journalisme est un beau métier. Mais si l’on se réfère aux articles publiés sur la « toile », notamment sur des sujets qui nous affligent le plus souvent au plus profond de notre âme, il est triste de constater que la presse écrite malienne ne dispose pas de vrais journalistes. Au maximum cinq plumes font vibrer en permanence l’amour du pays. Le niveau d’écriture (absence de sources et d’analyse structurée, fautes inadmissibles) est l’exact reflet des carences cumulées de notre système d’enseignement (fondamental, secondaire, supérieur) qui figure aujourd’hui parmi les plus bas de la sous-région. L’écriture est une arme aussi redoutable qu’une épée à fortiori en temps de guerre, bien que certains de nos « kelemonzon » sont encore endormis et figés dans le fantasme des guerres tribales qui se réglaient, entre autres, à coup de flèches empoisonnées. Oui à la liberté d’expression mais d’information. Non à la liberté de diffamation sans preuves consistantes. Non à la liberté d’insulte et de lynchage physique ou médiatique qui ne fait pas partie intégrante des valeurs africaines. Simbon
Vous vous trompez lourdement . Cette affaire de salaire remonte bien avant la lettre ouverte. Simplement , ni le capitaine Sanogo, ni ses amis ne veulent pas que des soldats, voire des militaires protestent. Souvenez vous, que c’est d’une mutinerie qui est parti le putsch. J’aurai bien voulu connaître votre opinion au moment les deux unités de l’armée fessaient le rodéo à Bamako sous le regard d’amis et de frères africains venus nous aider . Vous avez manqué une chose, celui de vous taire, voire dire que vous êtes un proputsch.
Quel est le lien entre ces commentaires et l’image du capitaine.le faut journaliste reproche au président Dioucounda et non à sanogo donc professionnalisme c’est l’image du journaliste arrêté ou celui du président qui devrait être affiché. mais bon tout le monde sait ce que vous visé chez le capitaine. A force de vouloir à tout prix ternir l’image de capitaine vous allez lui rende plus populaire tout en perdant votre crédibilité auprès de vos lecteur et toute la population malienne car nous les lecteur ne buvons pas l’eau par nos narines. vous la presse vous criez pour rien demandez tout simplement à votre collec arrêté de prouver que cette lettre ouverte qui acquise le président ne vienne pas de lui et il est libre.
il faut vraiment eliminer ce fils de pute…
Tu la fremé sal batar Mango……
il faut tué cout à cout se capitaine!!!
va le tuer si c’est comme ça qu’on tue .
celui qui vous a ouvert les yeux 😉
quel jalousie jusqu’à vouloir tuer
VERIDIQUE
“Comment Hollande peut-il faire tant, deployer tant de moyens financiers et humains, avec le nombre de morts de soldat français qu’on connait, et laisser un simple cpt parvenu, fut-il à la tete d’un millier de militaires mal formés et indisciplinés (pour ne citer que ça), foutre tout son effort de libération du Mali en l’air?”
Parfaitement exact!! Cependant, mon frère, la France commence peut-être à se lasser de se faire cracher à la g… par tous les pays d’Afrique, et se faire traiter de néocololinateur, etc, etc, etc… Elle ne doit pas avoir envie de se faire taxer d’ingérance une fois de plus!…
Et puis, franchement, est-ce son rôle? Si nous sommes assez minables pour nous faire botter les fesses par le premier ivrogne venu (lis-donc tous les débiles qui applaudissent!…), en quoi ce devrait être le problème de la France?
“Chaque journal aurait dû reproduire le même article avec la lettre du capitaine Touré.”
ON EST LA A SE FAIRE GRIMPER LA TENSION, ALORS QUE FRERE JUSTE NOUS RENVOIE TOUS DANS NOS BERCEAUX!!!
C’EST CA, CE QU’IL FAUT FAIRE!!! CA ET RIEN D’AUTRE!!! QUE CHE POURRONT PLUS TROUVER DE FAUX-FUYANTS!!!! IL FAUDRA BIEN Qu’ILS SE SOUMETTENT OU… SE DEMETTENT!!!!!!!
C’EST FRERE JUSTE QUI A 3000 FOIS RAISON! C’EST CA QU’IL FAUT FAIRE ET PAS AUTRE CHOSE!!!
RESPECT, JUSTE!
La SE DS LE TROU EN FACE DU VRAI ENEMI. MAI’S S IL S AGIT DU PAISIBLE CITOYENS ON PARLE DE SECURITE D ETAT.
LE MNLA FAIT Les RECREATIONS PAR LA FAUTE DE GOURNEMENT AU MALI, DE MALHONNETE REUNI, SI ON AVAIT UNE ARME DIGNE DE CE NON , VOUS CROYER QUE LE MNLA ALLAIT AVOIR Ce TEMPS DE RECREATION ?Non, SI ON AVAIT UNE ARME COMME LE TCHAD ON ALLAIT PAS APPELER LA FRANCE. DONC QUE LA FRANCE SOUTIENT LE MNLA C EST LA FAUTE A NOS DIRIGEANTS DEPUIS 1960 A NOS JOURS , SI NOS DIRRIGEANTS AU LIEU DE DE VOLER L ARGENT DE L’ETAT AVAIT PENSER A ACHETTER LES ARMES , A FORMER UNE ARMEE MALIWNNE DIGNE DE CE NON , TOUT CE QUI S’EST PASSER ET CONTINUE A SE PASSER AU NORD N ALLAIT PAS. SE PASSER. ET MEME MAINTENANT LE PIRE EST QUE AU,LIEU DE PENSER TOUJOURS A EQUIPER ET A FORMER CETTE ARMER , UN DIONCOUNDA DONNE 5MILONS PAR MOIS A UN GROUPE DE BANDIT DU SUD , DES GENS QUI LEUR PLACE C EST DS LA PRIOSN CENTRALE AVEC PRISON A VIE
@ Juste, je suis parfaitement d’accord avec votre strategie de protestation contre l’ arrestation de Daou. Tous les journaux de la place devraient reproduire le meme article pour que tous se retrouvent aux arrets. Dans ce cas la mort de la presse sera effective, et le gouvernement apprendra lui meme de son incapacite.
Ces soldats sans honneur ont fuit devant le MNLA pour venir s’attaquer au pouvoir civil, depuis lors, la presse est sous repression. Quelle honte? Cette fois-ci la complicite du gouvernement est aussi part du probleme. Car avec le support de toute la communaute internationale, et des vaillants et patriotes militaires maliens, pourquoi se laisser faire par ces voyoux de Kati. Qu’ils aillent aux diables, ils ne doivent avoir autorite sur aucun citoyen. S’ils sont dignes du nom miitaires de l’armee malienne, ils doivent etre au front au lieu de Bamako sous pretexte de reforme d’une armee qu’eux meme detruisent tous les jours.
la France et le Tchad devraient immediatement quitter le Mali si le gouvernement sanogo (Dioncounda et Django ne sont que de simples figurants à multiplier par zer0) ne libère pas immediatement Dao et s’il ne s’engage pas à respecter le minimum de liberté pour la presse et le citoyen. Moi je ne comprends pas la politique de la France. Comment Hollande peut-il faire tant, deployer tant de moyens financiers et humains, avec le nombre de morts de soldat français qu’on connait, et laisser un simple cpt parvenu, fut-il à la tete d’un millier de militaires mal formés et indisciplinés (pour ne citer que ça), foutre tout son effort de libération du Mali en l’air? 🙄 🙄 Car , c’est une erreur abominable de croire que Sanogo et sa bande valent mieux que les bandits au nord. Sanogo est pour la republique, les institutions et l’etat de droit ce qu’est le MNLA pour l’intégrité territoriale du Mali, et ce qu’est AQMI, Ançardine et le Mujao pour le Jihad et les prises d’otages au Mali
@VERIDIQUE
La France doit taper le poing sur la table en mettant ce Bégochi de Dioncounda , si le journaliste n’est libéré dans les 48 heures, elle révisera sa position au Mali. Je vous donne raison.
Véridique,Je suis d’accord avec toi mais la France ne peut pas faire d’ingérence dans les affaires d’un autre état même si celui-ci lui est redevable de beaucoup. Politiquement cela ne se fait pas et c’est bien dommage.
Misérables journalistes du Mali évitez d’etre des cibles pour le peuple qui se soulevera pour nous se débarasser de tous ceux qui sont responsables de la situation actuelle. Vous savez que vous avez été dans le faux pourquoi la démocratie malienne n’a été qu’une démocratie de facade. On sait que vous vivez dans la misère mais ce ne doit une raison valable our engendrer le trouble. Par commencer trouvez vous des moyens pour aller au nord et sachez qu’au meme titre que les militaires vous avez votre place au nord. Si vous aviez bien jouer votre role iln’y aurait pas de Capi Sanogo.
Il est temps pour le gouvernement malien de prendre des actions concretes dans le sens de liberer Mr Daou qui n’a fait que son travail.
Une democratie sans liberte d’expression ne repond pas du tout aux criteres de la democratie. Tout le monde sait cela.
La strategie adoptee par le capitaine Sanogo est tres bien comprise: Il etait oppose a une intervention des forces etrangeres, cela fut une realite malgre son refus. Maintenant il veut tout entreprendre pour salir l’image du Mali, dans ce cas les allies seront decourages et finiront par nous laisser patoger dans nos problemes.Le monsieur n’a entrepris que des actes ignobles depuis le 22 Mars 2012.
Un sale coup qu’il justifia par l’incompetence des leaders d’atant pour permettre aux membres de l’ex. CNRDRE de prendre tout le pays en ottage.Si reellement ces gars avaient une consideration pour leur serment de militaire, ils allaient tous etre au front maintenant, au lieu de rendre la vie a un pauvre journaliste;En vertue de quelle loi
Presse morte en solidarité pour leur confrère arrêté par Sanogo !!!
Ce n’est pas la meilleure solution. Chaque journal aurait dû reproduire le même article avec la lettre du capitaine Touré. Tous les confrères dir pub de Daou se seraient retrouvés en prison avec lui. Une belle façon de tenir tête à ce capi trouillard. Aurait-il eut le cran de les faire tous arrêter ????? Je ne crois pas mais par contre il aurait été obligé de relâcher Daou
Je suis attéré . Qu’est ce qui se passe au sein du gouvernement ? Comment le capitaine Sanogo peut il intimidé, voire ordonne la non libération du journaliste B.Daou qui se trouve dans les locaux du SE mal en point dû aux exactions qu’il a subi ? Il est avéré aujourd’hui que le président Diouncounda est atteint du syndrome de Stockholm . Le baston qu’il a subit sur ordre du capitaine l’a tellement traumatisé qu’il ne peut s’opposer à lui. Cette affaire devient de plus en plus sérieuse et risque de fragilisé la transition, voire à une révolte en période de guerre. Diable, le capitaine Sanogo profite d’un manque d’un leadership parmi la classe politique. Alors, que la situation est très favorable de le mettre au pied du mûr et le rendre tout petit dans ses godasses. Car il est dans le collimateur de la CPI.
Peut etre qu’ils l’ont bien botte…donc si il sort maintenant ca va causer plus de probleme….
Juste une possibilite….avec LA SECURITE DES LACHES…QUI SAIT????
Moussa Ag,….
c’est vrai Nash, je suis de ton avis, l’absence de leadership politique fait le lit de sanogo.
Beaucoup de gribouilleurs dans la presse malienne mais ce n’est pas pour autant que l’on cautionnera son musèlement par des apatrides ayant fui leur devoir et qui devaient pour ce fait passer devant le cours martial, si les choses étaient à leur place.
Le lessivage de la médiocrité continue car cette presse qui n’a aucune crédibilité est entrain de se suicider toute seule et en direct.En tout cas avec tout ce qu’elle nous sert comme intoxications et manipulations,je lui souhaite une belle mort.Au suivant:
1)Nos politiciens
2)Nos militaires fuyards.
Vivement que l’auto purge se poursuit pour un Maliba meilleur.
Désolé MAFOI, on est tous d’accord je pense sur la nullité hélas de notre presse, mais RIEN ne justifie ce type d’arrestation!!!!
Ne nous trompons pas de débat!! Il n’appartient pas à une S.E de se faire juge de ce qui est “publiable” ou pas, et je te rappelle qu’il y a quand même un homme au trou depuis plusieurs jours pour le simple fait d’avoir déplu au macaque!!!
La qualité de la presse en général ou même de cette publication en particulier sont des questions tout à fait annexe, et pour tout dire, TRES secondaires!!! LE PROBLEME EST INFINIMENT PLUS GRAVE:
Il peut se résumer à SOMMES NOUS PRETS A MARCHER A LA BAGUETTE DEVANT LES SOULARDS DE KATI, OU BIEN NOUS RESTE-T-IL QUELQUE PART UN RESTE DE DIGNITE??????????????
Je suis sincèrement désolé pour ce qui se passe actuellement dans notre chère patrie
Vivement les élections présidentielle et législatives en juillet 2013 pour se débarrasser de Bégochi, de Diango et du capitaine Sanogo. Je lui donne pas un avenir meilleur après la transition.
Que fait “bégochi” pour résoudre ce problème ? Tout le monde à les yeux braqué sur cette affaire, qui d’entre bégochi (Dioncounda) et le zozo (Sanogo) sortira vainqueur . Jusqu’ici, le zozo marque des points. Vraiment , rien ne va plus au Mali. Pas de président , pas de premier ministre, pas de gouvernement , mais, il y a un capitaine tout puissant et plein de pouvoirs.
“Presse morte au Mali” = a moins de nuisance mediatique.
“« Presse morte au Mali » = a moins de nuisance mediatique.”
REMARQUE PETILLANTE D’INTELLIGENCE MON FRERE!!!
Et au même titre, une fois décapité, on est moins sujet aux migraines! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag prefere les migraines….. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,…qui content de voir que le frere pisseur est sorti de sa detention par LA SECURITE DES LACHES…et recidive immediatement…..
😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Salut frere Lynx22, ca fait un bail. Je suis toujours content de te lire sur le forum.
Consenant nos presses Elles trouvent toujours les consequences de leurs actes. Tout le temps elle nous parachutent des intox, nous donnent des fausses informations ou accusent l’un tel ou l’autre en ne faisant que de la partisannerie. Je suis desole pour l’arrestation arbitraire de Mr. Daou comme beaucoup d’autres si ils faisaient cclairement leurs boulot. J’espere que tout le monde mettra un peu d’eau dans son tchapalo 😆 .
ALKEROU-DE-BROUETTE!!!
JE TE L’AI DEJA DIT 1000 FOIS: SOIGNE UN PEU L’ORTHOGRAPHE DANS TES POSTS!!! 👿 👿
ICI, PAR EXEMPLE, TON 2EME PREND UN “S” A LA FIN PUISQUE C’EST AU PLURIEL!!!
QUAND A TON DERNIER , C’EST à ACCENT AIGU A LA FIN ET NON PAS “AIT”!!! PARTICIPE PASSE, MON VIEUX, PARTICIPE PASSE!!! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
virez la photo de ce singe qui fait honte à tous les unformes des soldats du monde entier 👿 👿
J’ai toujours dit qu’avec l’absence des chiffons sur maliweb qu’on aura les choses plus serieuses, plus potables!
Presse morte au Mali mais pas en France, voilà ce que l’on peut lire aujourd’hui sur la presse Française concernant l’intervention de son armée le 11 janvier:
François Hollande décide d’intervenir le 10 janvier, après que les trois groupes, organisés non en une grande colonne comme on l’a dit mais en de multiples groupes d’une vingtaine de pick-up répartis sur 200 kilomètres, ont chassé l’armée régulière de la ville de Konna et franchi la frontière symbolique entre le nord et le sud du Mali. Les djihadistes veulent-ils descendre jusqu’à Bamako, situé à 650 kilomètres de là, et s’emparer de la capitale, comme l’affirmeront les officiels français ? Pas sûr. ” Par les écoutes, nous savions qu’ils voulaient prendre Sévaré, une ville très importante, notamment à cause de son aéroport, dit un officiel. Mais nous n’avions pas d’éléments probants concernant Bamako. ” ” En fait, même si nous ne pouvions l’exclure totalement, raconte un autre, nous ne croyions pas qu’ils voulaient s’enfoncer
Suite:
dans le Sud, en terres bambaras totalement hostiles. En fait, nous ne pensions pas qu’ils voulaient prendre eux-mêmes le pouvoir sur l’ensemble du pays, mais plutôt par procuration. ”
Les 8, 9 et 10 janvier, en effet, les services de renseignement relèvent un fait troublant : les groupes terroristes, et particulièrement Ansar Dine, sont en contact permanent avec les leaders des manifestants qui, à Bamako, exigent, depuis quelques jours, le départ du président Traoré. ” Notre analyse, dit un officiel, était que les djihadistes et les manifestants, contrôlés en fait par le capitaine Sanogo, s’étaient mis d’accord pour mener une action conjointe : les premiers prenaient Sévaré tandis que les seconds dénonçaient l’incapacité du pouvoir en place à empêcher la chute d’une ville si importante. “Résultat : le président par intérim, Dioncounda Traoré, chutait ” dans les quarante-huit heures “, et un nouveau pouvoir s’installait à Bamako. De mèche avec les terroristes, les putschistes
suite:
De mèche avec les terroristes, les putschistes n’auraient pas autorisé le déploiement de la Misma et encore moins une intervention militaire française. Toute la stratégie de Paris s’effondrait. Et le Mali devenait, de fait, un sanctuaire pour les djihadistes.
Vincent Jauvert avec Sarah Halifa-Legrand
Où est Mariko?
Bandekon
“et un nouveau pouvoir s’installait à Bamako. De mèche avec les terroristes, les putschistes”
C’est parfaitement LIMPIDE!!! C’est l’arrivée brutale et imprévisible des français qui a tout foutu en l’air pour sanogo et ses larbins! Ca s’est joué à quelques heures! Les Sanogo/Mariko et consort devaient déjà se voir sur le trône! Ils ont dû en être MALADES!
Sécurité d’Etat… Raison d’Etat… Des mots devant lesquels toute bouche se ferme!…
A tous ceux qui se félicitent de voir un journaliste arrêté et DETENU par la S.E , de deux choses l’une : Ou bien eux et moi ne vivons pas sur la même planète, ou bien eux et moi n’avons pas lu les mêmes livres d’histoire !
Les S.E, c’est toujours dans les républiques Gondwanesques et bananières à souhait qu’elles sont les plus « performantes » et les plus « actives »… C’est grâce à des S.E exemplaires que 50 000 Guinéens crevèrent comme des chiens au camp Boireau sous Sekou Touré, que des dizaines de milliers de tchadiens moururent sous Hissene Habré, ou que des centaines de milliers de Russes fûrent envoyés par le KGB dans les camps de Sibérie, etc, etc… Guinée de Touré, Tchad de Habré, ex-URSS, Irak de Saddam, Chili de Pinochet, Cuba de Castro… Les exemples de grands spécialistes de « stabilité intérieure », et de S.E ne manquent pas ! Et leurs prisons respectives sont toujours pleines !
Pour moi, un Malien se félicitant qu’au MALI la S.E puisse enfermer un journaliste, équivaut à un ESCLAVE se réjouissant du nouveau fouet de son maître ! … Surtout qu’en l’occurrence, ceux qui se réjouissent oublient (ou veulent oublier) que c’est justement CETTE MEME S.E qui :
– Qui « n’a pas su » empêcher de simple voyous de rue d’envahir notre palais présidentiel, et n’a « pas su » non plus les empêcher de tenter d’y assassiner le Président !… Elle n’a d’ailleurs « pas su » ensuite retrouver les coupables, alors qu’ils étaient tous filmés à visage découverts…
– Qui « n’a jamais su » non plus retrouver ni les coupable des tabassages nocturnes, ni la moindre trace des dix-neufs (19 !!!!!) bérets rouges mystérieusement volatilisés de kati !…
– Cette même S.E n’a « pas su » non plus empêcher que des bérets verts armés descendent à l’aube sur Djikoroni, et tirent à balles réelles durant près de 3 heures en pleine capitale !!!
– Cette même S.E n’a pas non plus bronché quand des badauds ont brulé des pneus et semé la terreur dans Bko , alors que le pays était au bord de tomber aux mains de l’ennemi, et que la Stabilité Intérieure était vitale !…..
Aujourd’hui, CETTE MEME S.E, toujours sourde, aveugle, muette quand Kati menace gravement la stabilité du Mali, devient subitement efficace et réactive dès lors qu’une publication fait indirectement « pipi sur les rangers de sanogo » ! Applaudissez : Aujourd’hui c’est un journaliste, demain c’est vous-même qui serez contraints de baisser la voix pour aborder certains sujets dans votre propre grin !… Depuis le 22 mars 2012, nous sommes hélas devenus des Gondwanais par la force des choses, mais certains d’entre vous semblent être des Gondwanais PAR VOCATION !!! Ceux qui aujourd’hui se félicitent des « bruits de bottes » dans Bamako, ont sans doute une nature profonde de… cireurs de chaussures !
Sans commentaire. Vous avez tout dit et très clairement. Mais sachez malheureusement que le Mali, notre pays, est “pleins d’ignares intellectuels”, c’est pas du français mais cette expression est plus proche de la réalité de nos gens dites intellectuelles
alors l’intello ou étais tu quand on arretait les politiciens comme mariko, iba… ta langue n’etait pas assez developper pour decrier soyons seerieux on ne peut pas menacer la sureté de l’état etant nous sommes dans un etat d’urgence qu’est ce tu crois
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