La démocratie est une voiture à quatre roues indépendantes mais non séparées : le législatif, l’exécutif, le judiciaire et la presse. Notre propos d’aujourd’hui s’adresse à la Presse, quatrième pouvoir, organisme qui dans un Etat démocratique, s’occupe de l’information. A ce titre la presse joue un grand rôle dans la formation et l’orientation de l’opinion.
Le peuple a le droit à l’information, la presse a le devoir de la lui livrer. Dès lors, au vu de l’énorme responsabilité qu’elle exerce, la presse a droit à la Liberté. C’est le combat sacro-saint pour la liberté d’opinion, la liberté de penser, de dire, d’écrire, de publier, de diffuser et d’éditer. Comme tout droit, la liberté d’opinion s’assume. Le code de la presse dans son auguste sagesse, a établi la déontologie qui gouverne la presse. On ne peut pas et on ne doit pas écrire, exprimer ce qu’on veut mais on a la liberté de ne s’exprimer que sur ce que l’on veut à condition d’en assumer la responsabilité. Le journaliste est le témoin de son temps, l’intermédiaire entre les évènements, les faits et son audience.
L’obligation lui est donc faite de s’écarter de la diffamation, de colporter des mensonges et de propager de fausses informations. La loi lui enjoint d’être objectif au respect de la déontologie, de l’étique, de l’amour du métier, l’un des plus beaux et des plus exaltants, enrobé de connaissances semi-encyclopédiques et d’une intelligence toujours en éveil. Ce qui permet au Directeur de Rédaction de préférer son fauteuil à un trône. Faiseur de roi ? Peut-être ! De nos jours, l’importance de la presse n’est plus à démontrer dans l’arène politique où le comportement l’emporte sur l’action. La presse crée les mythes, elle peut aussi détruire des réputations et des carrières. Instrument de censure et d’éveil des consciences parce qu’il se heurte aux grandes ambitions et aux grands intérêts. Le journaliste court de grands dangers : « Reporter sans Frontières » n’a de cesse de déplorer hélas, la liste trop longue de journalistes mystérieusement disparus, tués sur les fronts, assassinés pour empêcher de dévoiler des vérités condamnables sous tous les cieux.
Diversités Caractéristiques.
Grosso modo, on distingue la presse d’opinion, d’informations générales, de faits divers, des journaux économiques, scientifiques, des quotidiens et des périodiques (hebdo – mensuelles, etc.). De plus en plus, on assiste à la naissance de publications spécialisées ayant le grand défaut d’un populisme atroce, dévoilant avec qui et comment on « couche ». L’Internet apporte son concours à la disparition de la presse d’antan. La soi-disant grande presse internationale est désormais la propriété des grands capitaux : le Times de Londres, le Monde de Paris, le New-York Times, etc., défendent ongles et becs, les intérêts des multinationales dans le monde.
A qui la faute ?
La sève et le sang de la presse sont sans conteste, la publicité. Les annonceurs ont brisé les reins des journaux d’opinion. “L’Humanité”, le grand journal de Jean Jaurès, survit à force d’acrobatie et de la générosité de la souscription des membres du Parti Communiste défunt. Nous sommes loin du journalisme d’Albert Londres, de Politzer. La recherche et la publication de l’information réelle et vraie surtout importante est devenue de plus en plus difficile sinon impossible. Le coût exorbitant de l’entreprise de presse, la matière plus que périssable de l’information qui tombe par goutte à la minute sinon à la seconde dans un tourbillon de vélocité infernale, rend toute objectivité hypothétique parce que les mains invisibles n’ont de cesse de tout manipuler !
Le prix de la liberté de la presse
Le grand problème de la liberté de la presse qu’il ne convient pas d’occulter, de passer sous silence, c’est les moyens énormes qu’il faut utiliser pour la création d’une entreprise de presse. L’euphorie de la démocratisation de l’Afrique noire a entraîné la multiplicité des feuilles se disant journaux. Le tiers-monde en général n’a pas les moyens de sa politique. Vérité de la Palisse, des quotidiens se créent avec un capital de 5 à 10 millions, animés par des journalistes payés à moins de 100 000 FCFA.
Ailleurs, chez nos maîtres à penser, un grand reporter, un correspondant et/ou un envoyé spécial, ne perçoivent pas moins de 5 à 10 millions de rémunération mensuelle. Cette comparaison exclut le match ! Le journaliste qui n’en a pas assez pour joindre les deux bouts, devient naturellement victime des tentations, ennemis mortels de l’objectivité, de l’intégrité, de toute morale professionnelle.
La liberté de la presse ne peut se concevoir sans les conditions acceptables de la survie. Être libre et s’exprimer librement est un luxe que tout le monde ne peut s’offrir. Une presse libre et indépendante exige des moyens qui dépassent aujourd’hui l’ordinaire.
Le temps use le mensonge et polit la vérité (Göeth).
*Dravela rue 364 porte 150 Somikeit2@yahoo.fr
Moi, je propose qu’on INTERDISE DE PUBLICATION les journalistes débutants tels que Adam Thiam, Adama Drame, Boukary Daou ou Saouti Haidara, et QU’ON RENDE OBLIGATOIRES les articles magistraux du grand Chahana Takiou! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Ibk n’a qu’à promulguer une loi visant à condamner à des peines d’emprisonnement tout Hassidi qui n’aurait pas lu les oeuvres complètes de Chahana, et à condamner à mort tout hassidi qui aurait lu les articles des autres! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Houbien? 😛
La presse doit revoir sanctionner les mauvais journaliste qui ne fonctionnent pas pour l’amour de ce noble job, mais pour une volonté de l’utiliser pour se faire de l’argent en passent tout leurs temps à critiquer le gouvernement pour le plaisir des politique et interpréter mal les informations.
La presse doit être organisée cette presse malienne ne l’es pas,
la presse doit accompagner son gouvernement afin de conscientiser et d’apaisée le cœur de sa population, cette presse ne l’es pas
la presse doit apporter des informations claire et sans aucune mensonges
La presse malienne à besoin d’être refait.
Oui le peuple a droit à l’information, mais il faut le dire cette presse malienne est devenue une presse à intérêt personnel, une presse dans laquelle la corruption prend son plus haut degrés une presse des journalistes nul sans aucune formation.
Souvent nous pouvons assister que des journalistes critiquent et parlent mal de nos autorités, cela n’est pas normal. La presse se doit d’accompagner l’autorité, pas pour des intérêts de se remplir les poches, mais de de participer à la stabilité de sa nation.
N’importe quoi cette presse qui est politique. Au Mali la pluparts des journalistes interviennent selon la demande d’un homme politique qui leurs demande de critiquer ou de mentir sur quelqu’un.
Un jour ses journalistes sont de l’opposition, un autre se des majoritaires et un autre aussi se sont ceux qui créer des conflits dans la société pour des causes de remplir leurs poches avec des sommes qui leurs sont donner par l’opposition et autres pour raconter des futilités.
La presse malienne est maintenant devenue un marché, ses journalistes sont souvent payé par l’opposition ou des hommes politiques pour critiquer ou raconter des mensonges sur une grande personnalité du pays…
La presse malienne se couvre derrière la liberté d’expression pour dire du n’importe quoi sur nos dirigeants, cette presse insulte nos président, nos chefs et apportent souvent des n’informations qui n’ont rien à avoir avec une réalité, des informations qui sont tout simplement des imaginations.
Au temps ATT la presse vendait leurs silences au gouvernement et maintenant que le régime IBK refuse d’acheter le silence de la presse, cette presse se tourne envers l’opposition pour critiquer le gouvernement au lieu de faire dignement son travail.
Il est important que cette presse revoie ses hommes, sur les sites d’information. On peut assister à un fait que les informations ne sont ni corriger et ni revue, ses information sont balancer comme telle sans correction et sans piser le moindre danger au niveau de la population.
Moi tous ce qui m’énerve de la presse est que quand les journalistes maliens ne prennent pas les choses au sérieux, ils insultent et manque du respect à nos autorités.
Mon frère, tu parles seulement D’IBK. Les journalistes maliens ne sont en réalité qu’une miniature. Ils ne sont pas tous des journalistes. C’est plus les désœuvrés qui forment la crème des journalistes au MALI. C’est pour quoi ça donne ce que ça donne.
– Il n’y a pas de journaliste de santé 😯 😯 😯 😯 😯
– Il n’y a pas de journaliste économistes 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
– Il n’y a pas de journaliste d’histoire 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
Tous veulent faire la politique et ils nous servent des balivernes tous les jours de la semaine, sauf le dimanche.
Les journalistes ne savent toujours pas le dicton qui dit : « Qui sème le vent, récolte la tempête ». 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛
Au temps d’ATT et celui du capitaine SANOGO, certains acteurs peuvent nous en témoigner, la liberté de la presse était une Danré rare. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Maintenant, n’importe qui dit n’importe quoi. Même les journaleux trouvent de quoi reprocher IBK. Revenez sur terre, 8) 8) 8) 8) 8) , cet article est une merde. Vous vous trompez de combat 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
Je pense qu’il est maintenant temps de recadrer certaines choses dans ce pays. Surtout en ce qui concerne la presse écrite. Elle délire tellement que les maliens se perdent parfois. 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Soyons, honnête en ce temps du régime IBK, les journalistes se lâchent. Ils insultent, inventent, dénigrent, ils incitent même à la violence et au non-respect des institutions. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Vos opinions, mettez les un peu là ou vous pouvez imaginer. C’est la fin de l’année, vous êtes certainement très fatigué. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
Mr. Keita Soumaila, Tous vos propos, nous les connaissons seulement faites vos boulots avec professionnalisme, respect et intégrité même si vous êtes partisans ou partisanes de tel ou telle escrot de politicard.
😉 .
A bas les journalistes de merde
A bas les journalistes affamé
A bas les journalistes reporter de rumeur
La liberté d’expression fait partie de la démocratie, mais il faut reconnaitre que les journalistes maliens ont manqués cet aspect. Ils pensent que la liberté d’expression est synonyme de mystification.
Comme on le dit bien « respect toi, les autres te respecteront ». Les manifestants négatifs des internautes vis-à-vis des hommes de médias n’est pas le fruit du hasard. Au moment où le peule s’attend dans l’allégresse le verdict des sujets sensibles nationaux et internationaux. Les journalistes se donnent à critiquer nos gouvernants.
Si les journalistes sont mal vus au Mali aujourd’hui, ce n’est nullement la faute personne. De toutes les façons, il revient aux Concernés de changer d’attitude. La renaissance de la presse malienne est dans la main.
C’est vrai que les journalistes sont les témoins du temps, si vous arrivez à comprendre cela. Vous devez aussi comprendre que cela vous amène à ne pas faire de la mystification votre arme de combat. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
Le jubilatoire du non-respect des journalistes au Mali relève de leurs propres personnes. Comme un coup de hache qui vient trancher sur la polémique.
Les journalistes sont censés apportés la bonne information à la population. Ils sont les messagers et de la population et des dirigeants. Ils appelés aussi à être les conseiller des dirigeants enfin de conduire le pays à bon port. Toutefois, c’est tout à fait le contraire au Mali.
En France, le concept de liberté d’expression germa sous l’Ancien Régime. Il fut l’une des premières conquêtes de la Révolution française. Aujourd’hui, la liberté d’expression de ses opinions est une des premières libertés politiques et plus généralement des libertés fondamentales. Mais force est de reconnaitre que les hommes de médias maliens sont passés à côté de cet aspect. Ils ont tendance à confondre la fiction et la liberté d’expression. Raison pour laquelle beaucoup d’internautes vous juges mal.
Dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la liberté est le premier des quatre droits de l’homme. Au Mali, peu de gens comprennent le sens de cette expression. Notamment nos hommes de médias, ceux-là mêmes qui sont censés apporté l’information fiable et réel à la population. C’est décevant !!!!
Lisez cet extrait retiré dans le dictionnaire Wikipedia s’il vous plait.
La naissance du concept de « liberté d’expression »[modifier | modifier le code]
Un certain nombre d’événements firent germer l’idée de liberté d’expression. Cette histoire s’inscrit dans le développement des libertés, qui est posé notamment par le développement du christianisme au sein de l’Empire romain et les droits que des empereurs, notamment Constantin, leur accordèrent.
C’est à la Renaissance qu’apparut une première plaidoirie en faveur de la liberté d’expression au sein même du christianisme : Sébastien Castellion, humaniste réformé originaire du Bugey, s’opposa en 1544 à Calvin et aux Genevois sur la question de l’interprétation de la Bible, leur reprochant d’avoir exécuté Michel Servet qui niait le dogme de la Trinité1. Par la suite, on peut trouver dans les divers accords pour donner aux protestants la liberté de culte et de conscience en France, notamment dans l’édit de Nantes, à la fin du xvie siècle, des éléments qui contribuèrent à ouvrir plus tard cette idée. La période des « Lumières », à partir du milieu du xviie siècle et au xviiie siècle, germa dans toute l’Europe et contribua fortement à son avènement. Il s’agissait d’obtenir une attitude de tolérance d’un pouvoir politique et/ou religieux à priori absolu.
Le mouvement des Lumières déboucha sur la Révolution française de 1789 qui cristallisa dans toute l’Europe la notion de Liberté d’expression à travers la première Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Après la Révolution française, la liberté d’expression devint le véhicule d’autres conquêtes de la liberté au sein de l’humanité, notamment la liberté de la presse, le pluralisme politique l’abolition de l’esclavage et la lutte contre le racisme. Les grandes organisations internationales, telles que l’ONU, l’Union européenne et le développement des mouvements associatifs et syndicaux contribuent fortement à son enracinement parmi les peuples.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Libert%C3%A9_d%27expression
Le jubilatoire du non-respect des journalistes au Mali relève de leurs propres personnes. Comme un coup de hache qui vient trancher sur la polémique.
Ces journalistes sont un vrai tas de merdes dans ce pays, des journalistes qui ne sont même pas capable de nous donner de bonnes informations en temps réel, ils ne savent que dire du mal du régime et de son entourage !!!
La liberté d’expression est différente du libertinage d’expression. Nous sommes pour un contrôle strict aux articles des journalistes maliens avant leur publication
La liberté d’expression est un droit de la personne humaine. La question de savoir si cette information mérite considération et si réellement cette liberté est en train d’être exercée dans les conditions prévues par la loi.
Nous devons être un exemple comme TAKIOU dévoué pour la bonne cause de son pays. Le nord souffre et le pays est très sensible et nous devons ensemble travailler dans ce sens de clamer liberté d’expression et d’opinion.
Nous avons besoin de journaux responsables pour défendre la cause des maliens plutot que de nous poussez à la révolte que nous voulons pas
Nous voulons préserver la cohésion sociale dans notre pays alors IBK n’accepterez que vous mettez en péril celle ci.
Ne savez qu’on a besoin de développement et vous cherchez à salir IBK pour que le peuple voit en vous les ultimes sauveurs.
Vous pensez que la liberté d’expression s’applique à vous seulement dans ce pays. On est tous témoin ici que vous n’étiez pas capable de dire des imbécillités sur le régime de peur être arrêter et mis au cachot.
Mais aujourd’hui vous faites tout ce que vous voulez jusqu’aller insulter la première autorité de notre pays, cela est inadmissible. Que devons nous retenir de vous
Mr tu es un journaliste, mon œil tu désinforme au lieu d’informer. Si vous incitez à la haine quoi de plus normal.
Vous ne reconnaissez le vrai rôle d’un journaliste or nous voulons avancer dans ce pays donc il est normal de nous en passer de vous.
c’est de l’exploitation caractérisée. C’est pourquoi ils font plus l’effort mais plutôt a la solde de l’opposition qui leur donne leur pot de vin pour salir l’image du président
Vous devez vous en prendre à vos employeurs. C’est une raison de votre déroute ou désinformation de la population. Je pense que cela n’est pas une liberté d’expression bafouée
Des journalistes mal intentionnés qui se permettent de mentir sur le régime en place pour des miettes. L’information n’est plus devenue leur soucie primordiale. La presse malienne de nos jours est devenue plus diabolique et plus apatride que l’opposition. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡
Hélas quel dommage le Mali est obligé de faire face à ce problème de journaliste incompétent de toute sorte. C’est le peuple qui devra payer les pots cassés. 💡 💡 💡 💡 💡 💡
Le mensonge est devenu l’instrument d’attirance par les journalistes maliens. La presse malienne est basée sur le mensonge. Les journalistes sont tous corrompus par l’opposition, ils se fiche de l’impacte de leurs affirmation.
Le jour où les journalistes malienne arrêterons de mentir, la population dans ce cas prendra le temps de les écoutés. Nous n’avions pas le temps d’écouter ces balivernes.
La vérité est le totem de la presse malienne. La presse malienne est téléguidée que pour porter atteinte au régime d’IBK. Elle n’informe plus mais elle désinforme, elle devenu une arme contre la stabilité politique du pays. 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡
Les critiques toujours des critiques, rien que des critiques et encore des critiques à l’encontre de l’État. La presse malienne, depuis fort longtemps a stoppé son rôle primordiale qui reste celui de l’information, elle a maintenant pour rôle de perturber la conscience publique et stabilité politique.
Les journalistes maliens doivent jouer la carte de l’apaisement, elle doit rassemblée la population, les acteurs politiques, la société civile et tant d’autre autour d’un même but, celui de sauver le Mali. La presse peut jouer un très grand rôle dans la stabilité du pays.
Je pense que le gouvernement malien doit essayer de mettre de l’ordre dans le milieux journalitique. Les média maliens jouent plus le rôle de l’opposition que l’opposition elle même.
La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et sa dignité, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡
Si j’étais le président de la république « Hommage aux grandes personnalités innocentes qui ont été victimes des diffamations ou des mensonges des journalistes des médias privés inconscients de leur métier ». Je décréterais une décision de faire arrêter tous les journalistes qui diffameront ou mentiront sans preuves sur les grandes personnalités à cause de l’argent soit par manipulation de l’opposition.
Au Mali nous n’avons plus un média privé mais un média pyromane. Ce sont les médias privés qui sont les sources de désinformation actuellement. Ils transforment totalement les réalités en mensonges et vice-versa.
Si j’étais le président de la république, je décréterais que tous les journaux ou informations soient sous contrôle d’abord avant sa publication ou bien que chacun justifie ou apporter des preuves concrètes à l’appui de son information.
Monsieur le journaliste tu as dit un peu la vérité oui c’est normal que le quatrième pouvoir soit doté des conditions valables pour qu’il joue son rôle pleinement. Mais ce que tu as peut être oublié ou refusé de le dire ce sont les hommes de la presse privée qui sont actuellement les sources des rumeurs au Mali.
La tâche de la presse c’est d’informer l’opinion nationale, mais vous les journalistes n’ont d’autres projets à faire que s’attaquer au régime seulement pour qu’on vous donne quelque chose pour que vous vous fermez. Mais désolé pour toi.
Il y’a certaines façons d’informer la population qui sont susceptibles de pousser la population à la révolte ou un trouble d’esprit chez beaucoup de personnes. Il faut tenir compte que certains problèmes peuvent être gérés sans qu’on ait trop loin avec comme nos journalistes le font.
Nous devons beaucoup faire attention avec nos propos, parce que nous savons tous que nos journalistes sont comme des transformateurs, ils transforment totalement les dits des gens pour se faire de l’argent seulement et ils s’en fichent de ce que cela va dégénérer.
Mon frère Alakadion, ne m’en veux pas pour cette sortie. Tu sais les journalistes maliens pour la plupart n’ont reçu aucune formation de journaliste. Sortis généralement de l’Ena ou autres facultés, on s’improvise journaliste pour éviter le chômage. Mais le pire, c’est qu’ils ne connaissent pas la méthodologie et surtout la déontologie à tel point qu’ils s’oublient à raconter des conneries. Que Dieu nous sauve !!!
Moi étant président du Mali je mettrais tous les journalistes des médias privés sous contrôle et investigation et je diminuerais la somme qu’IBK a fixé pour vous. Les médias privés du Mali sont les pyromanes et les sources de désinformation au Mali.
Moi président du Mali, j’arrêterais tous les auteurs des informations susceptibles d’incitation populaire ou aux insurrections populaires.
Ibrahim Boubacar Keïta n’a pas le temps de s’occuper des journaux privés Si vous savez que vous n’êtes plus crédibles sur la scène médiatique pas la peine de tromper l’apparence e la population. Des fariboles seulement. 😀 😀 😀 😛 😛 😛
La liberté d’expression a été mal comprise par vous, les journalistes maliens. Je ne pense que le procureur soit bien comporté vis à vis des religieux. Il ne devrait pas se prendre ainsi à l’imam Dicko. Et ce sont les journalistes qui sont en train de donner de l’ampleur à la situation. 😀 😀 😯 😯
La liberté d’expression est différente du libertinage d’expression. Nous sommes pour un contrôle strict aux articles des journalistes maliens avant leur publication. 😯 😯 😛 😛 😛
Les journalistes maliens sont des malhonnête qualifiés de la cité. S’il y a de péril sur la liberté d’expression c’est sûrement de vous qu’il vient. 🙄 🙄 🙄 Les religieux ne sont vos ennemis et prenez pas ces derniers comme vos ennemis 😆 😆 . 😛 😛 😛 😀 😀 😀
je vous invite à ne pas pousser les citoyens à l’amalgame. Il n’y a pas de péril sur la liberté d’expression. 😯 😯 😯 😀 😀 👿 👿
La liberté d’expression est un droit de la personne humaine. La question de savoir si cette information mérite considération et si réellement cette liberté est en train d’être exercée dans les conditions prévues par la loi. 😯 😯 😳 😳
En toute sincérité, chers journaliste, si le régime en place à votre temps. Si c’est pour attirer l’attention de la population vers vos conneries, laissez tomber. Soyez tranquille, le président de la république n’a aucune idée de vos journaux. Peu importe ce que vous dites des religieux. Cela n’engage que vous. C’est sûrs que vous êtes en train de déclencher une guerre aux religieux. 😀 😀 😀 😛 😛 😛
Je ne connais aucun journal de la presse malienne ayant fait l’objet de censure par le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta. Si votre journal est lui même conscient de ses actes diffamatoires à l’endroit des chefs religieux, je ne vois pas pourquoi avoir peur des conséquences. Mais jusqu’à preuve de contraire aucun décret ou arrêté à plus forte raison une décision juridique n’ont vu le jour pour censurer la presse. ❓ ❓ 😛 😛 😛
Certains maliens ont fait de la liberté d’expression, le droit de diffamer, de mentir, de critiquer sans fondement ou d’adresser des injures à l’encontre des leaders religieux et politiques. Mahamooud Dicko ne devrait pas être assujetti aux critiques du procureur et vous les journalistes. 😯 😯 😯 😛 😛 😛
Qu’est-ce que vous entendez pas la liberté d’expression, chers journalistes diffamateurs?
Le fait d’insulter fait-il partie de la liberté d’expression?
La diffamation fait-elle partie de la liberté d’expression?
Le mensonge fait-il partie de la liberté d’expression?
De n’importe quoi seulement. 😀 😀 😀
La question de la presse en Afrique est dû sans équivoque aux états africains, car c’est l’état qui doit réguler, orienter, organiser et personne ne fera ça à sa place. Il faut que nos gouvernants se rendent compte de ce état des faits sinon, ils aurons raté et tout raté. Comment voulez-vous qu’un secteur du développement du pays prenne la place de l’état alors qu’il n’a ni les moyens, ni les compétence, ni la mission de cet exercice difficile. Nos gouvernants doivent rapidement ouvrir les yeux car il ” donner à César ce qui est à César et au Peuple ce qui est au Peuple”. Personne ne peut prendre la place de l’autre. Qu’Allah protège l’Afrique en lui donnant des dirigeants qui comprennent comment diriger.
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