C’est un bon départ. Je lis régulièrement ton journal parce que j’y suis abonné et je le trouve intéressant, avec une variété de rubriques. D’une manière générale, les articles sont bien écrits.
Takiou, je dois reconnaitre que, dans l’ensemble, ton journal est bien tenu et j’ai bien apprécié ta position dans la crise du Nord et dans l’affaire Pierre Camatte. J’ai également apprécié la contribution de Sormoye Boussanga, cet autre ancien de l’AEEM, qui a pris le contre-pied de ton analyse concernant l’ancien otage français. J’ai aimé ce débat. Je pense que 22 Septembre donne des informations crédibles, suscite le débat sur les grandes préoccupations de l’heure et prend position souvent. Ce qui fait qu’on ne te reconnait pas, parce que tantôt rigoureux et tantôt laudatif. Mais, à chaque fois que je t’interpelle sur les compliments, tu m’avances des arguments convaincants, comme ce fut le cas récemment pour l’article consacré à Dioncounda Traoré.
Avec un peu de recul et plus de rigueur, ton journal pourra aller très loin. Bon anniversaire et beaucoup de courage.
Tiégoum B. Maïga, La Nouvelle République
«Du talent et de l’agressivité»
Pour reprendre les mots du fondateur et Directeur de Publication du journal, Chahana Takiou, 22 Septembre compte désormais parmi les journaux de référence dans le paysage médiatique du pays. Et dire qu’il n’a qu’une année d’existence! Quand on se remémore un tant soit peu les conditions qui ont présidé à sa création (séparation brusque, déchirement profond etc.), on ne peut que saluer le remarquable travail accompli par l’équipe du journal.
L’équipe rédactionnelle montre, parution après parution, qu’elle a du talent, qu’elle est dynamique, qu’elle est agressive, dans le sens positif du terme, qu’elle a souci de livrer des informations de qualité. Et même de première main souvent.
Face à la concurrence, et certainement dans sa volonté de s’ancrer le plus rapidement possible, le journal a donné l’impression souvent de flirter avec le sensationnel. On peut déplorer aussi le manque de profondeur dans le traitement de certaines informations.
Le Directeur du journal, malgré son jeune âge, est un vieux briscard. Son courage lui permet de tenir une ligne rédactionnelle parfaitement claire. Chahana est très passionné par son travail, il est imprévisible et laisse parfois l’impression qu’il tombe dans la provocation. Mais je crois sincèrement que c’est son style, et c’est ce qui fait son charme. Le monde des médias et le monde des décideurs se rappelleront longtemps la traditionnelle conférence de presse du président de
Le photomontage de Freddy Matar Sylla est un pur régal. D’une manière générale, le journal est bien équilibré, avec des papiers bien écrits, courts et sans coquilles, une bonne place aux images, etc. Je souhaite longue vie au journal, ce qui suppose un renforcement de son pouvoir économique et une plus grande présence, sur toute l’étendue du territoire.
Vivement le Cinquantenaire de 22 Septembre
Adam Thiam (chroniqueur au journal Le Républicain)
«Je ne donnais pas cher de la survie du nouveau journal»
J’ai d’abord été surpris de voir ce titre dans les kiosques, parce que le fondateur s’identifiait à un titre bien connu de la place. Je ne donnais pas cher de la survie du nouveau journal. De plus, je doutais qu’il puisse relever le défi et même un peu de sa forme. Je suis très heureux aujourd’hui d’avoir eu tort de l’avoir pensé. Parce que, non seulement le titre 22 Septembre est hautement évocateur pour chaque Malien, mai aussi car le bihebdo est devenu celui des grands scoops de la place. Ses articles sont à la fois agréables à lire et conformes aux normes journalistiques, qui manquent à beaucoup de nos confrères. J’espère que le prochain cinquantenaire sera celui du journal, qui est notre journal à tous en effet, parce qu’il est celui de l’indépendance du Mali. Voilà! Félicitations!
Alexis Kalambry, Les Echos
«Un journal de combat»
Il n’y a rien à dire: à première vue, 22 Septembre est un journal de combat, un journal engagé. Il est à la fois à l’image de son Directeur de Publication, fougueux, et de son équipe, qui ne sait pas faire dans la langue de bois. 22 Septembre est également le fils aîné de son géniteur et a donc de qui (et de quoi) tenir!
En dehors de cet aspect, qui conditionne tout le reste, à un an de vie déjà, ce journal compte au Mali et a relevé ses défis: paraître régulièrement, disposer d’une rédaction, d’une équipe rémunérée et d’un parc informatique, tout le contraire de bien de titres qui ont pignon sur rue, et qui tiennent encore dans le sac de leur promoteur! Bon vent
Sambi Touré, Info-Matin
«Quel chemin parcouru déjà!»
Un an seulement! Mais déjà quel chemin parcouru! Nous sommes de ceux qui n’ont jamais douté de l’issue du challenge. Parce que nous sommes de ceux qui savent que, loin des apparences, le défi était à la mesure, non de l’orgueil, mais de la dignité poignardée, et que, par conséquent, la réussite devenait non une fierté vantarde, mais une question d’honneur.
Préférer rester dans l’ombre d’un grand plutôt que d’être petit n’a jamais signifié pour le promoteur de 22 Septembre ne pas pouvoir être grand.
En effet, face au destin qui nous désarme, il faut savoir, coûte que coûte, garder toute sa dignité et, malgré ce qu’il nous en coûte, s’en aller sans se retourner. Parce que «le courage est le prix de la dignité». Gandhi disait «dès que quelqu’un comprend qu’il est contraire à sa dignité d’homme d’obéir à l’injustice, aucune tyrannie ne peut l’asservir».
En bons Maliens, Chahana et son équipe proclameront donc leur Indépendance, sous le titre 22 SEPTEMBRE… Parce que l’épreuve du courage n’est pas de mourir ou de végéter, mais de vivre et de prospérer, 22 SEPTEMBRE s’est rapidement imposé, en moins d’une année, comme une référence dans le landerneau médiatique malien. Pari perdu pour ceux qui n’ont pas osé prendre le pari sur la «fougue» et le «tempérament» du promoteur du bi-hebdomadaire. Car, après tout, il y a des hommes qui ont leur tempérament, mais aussi leur place. Chacun est désormais édifié sur celle de Chahana et de son équipe.
Au bout d’un an, ils ont déjà prouvé que leur courage n’était pas seulement dans l’emportement irraisonné d’un moment, mais dans le bon sens et le réalisme. Leur parcours est appréciable. Mais il leur faut encore plus de persévérance pour porter plus haut le flambeau de 22 SEPTEMBRE. Car, sur un coup de tête, on ne peut accomplir une action d’éclat, le vrai courage exigeant de la patience et du renoncement.
Puisse Allahou soubahana wat’Allah faire que le flambeau de 22 SEPTEMBRE continue d’illuminer de son courage et de sa dignité notre paysage médiatique et d’aveugler tous ceux qui sont les ennemis de la liberté et de l’indépendance de la presse.
Dr. Choguel K. Maïga
«22 Septembre a relevé un triple défi»
Le journal 22 Septembre a réussi, en un an, à s’imposer dans l’espace médiatique malien comme un journal de référence.
Il a relevé un triple défi: réussir, en même temps, le pari de la crédibilité, de l’information et des analyses y contenues, de la régularité de la parution et de la continuité.
Maître Mountaga Tall, Président du CNID-FYT
«Courage, professionnalisme et indépendance»
Courage, professionnalisme et indépendance. Voici, de mon point de vue, les trois qualités essentielles qui ont permis au Journal 22 Septembre de se hisser, en une petite année, au firmament de la presse écrite au Mali.
Le courage se manifeste par une quête permanente de l’information, aussi bien à Bamako que dans le Mali profond, voire au-delà de nos frontières. En témoignent les nombreux scoops sur la situation qui prévalait, il y a peu, dans le Septentrion malien, alors soumis à une insécurité résiduelle.
Le professionnalisme fût cette détermination à recouper l’information avant de la «balancer». Je témoigne ici de quelques coups de fils reçus de la Rédaction du journal pour s’assurer si telle information sur le CNID était fondée ou non. La sacralité des faits était ainsi respectée, même si, après, l’analyse ne faisait aucune concession.
Enfin, l’indépendance reste cette absence d’alignement sur des lobbies ou des intérêts déterminés. Les prises de position et les analyses sont fondées sur les faits.Un regret et un souhait: vivement 22 Septembre bi-hebdo transformé en quotidien
Oumar Ibrahima Touré, ministre de
«Ne nous donnez pas l’impression de vouloir nuire coûte que coûte»
Je suis très heureux d’être considéré comme l’un des plus fidèles lecteurs du bihebdomadaire 22 Septembre. J’apprécie beaucoup le journal et, chaque fois que j’entre en possession d’un exemplaire, je m’empresse de jeter un coup d’œil sur la page 7. Là où vous faites les Images du Jour. Je trouve le journal très bien et je crois qu’il a réussi, en un an, à se faire une place respectable dans le monde de la presse. J’apprécie votre ligne éditoriale qui, quand même souvent, flirte avec l’acharnement. C’est d’ailleurs sur ce point que voudrais vous demander de cesser les attaques, surtout contre le Premier ministre. Il est bon de critiquer pour faire bouger les choses, mais il ne faut pas donner l’impression de vouloir, coûte que coûte, nuire à la personne même.
L’autre chose que je souhaite est que les sujets soient plus fouillés, plus élaborés. C’est vrai qu’on ne trouve pas suffisamment du temps pour lire de longs articles. Il faut, cependant, qu’on retrouve dans vos articles une large information. Je vous souhaite bon vent et vous avez tous mes encouragements.
Abdoul Salam Ag Assalat, président de l’Assemblée Régionale de Kidal
«Vous n’hésitez pas à aller sur le terrain»
Les mots me manquent presque pour exprimer ce que je pense de votre journal. De notre journal, j’oserai dire. A peine est-il né qu’il répond déjà aux aspirations de la population malienne. Les Maliens ont besoin de vérité. Et c’est ce qu’on trouve dans 22 Septembre. Le nom que vous avez choisi est tout un symbole. J’admire votre courage, votre audace, votre liberté d’expression, qui touche les sujets les plus sensibles de notre société. J’apprécie surtout que le journal s’occupe de problèmes qui me touchent personnellement. Je suis de Kidal et j’affirme que le bihebdomadaire 22 Septembre, malgré son jeune âge, est l’un des rares journaux qui n’hésitent pas à aller sur le terrain pour voir la réalité. Je voudrais tout simplement vous demander d’augmenter votre pagination. Vos articles sont tellement plaisants à lire que je dévore le journal en moins d’une demi-heure.
En un an, vous avez battu des records. Chapeau! Je vous soutiens plus que jamais!
Alhamdou Ag Ilyène, Consul du Mali au Soudan
«Plus de retenue, sans aucune faiblesse»
Chers responsables du bi- hebdomadaire 22 Septembre, permettez-moi de vous adresser mes sincères félicitations et tous mes encouragements pour les efforts que vous ne cessez de déployer pour la saine information du public.
Je note avec grand plaisir que vous faites partie des organes de presse qui suivent sur le terrain, et en temps réel, le dossier sensible du Nord-Mali, notamment dans sa composante kidaloise. Vos articles sur la situation d’insécurité, ainsi que ceux consacrés à la calamiteuse sécheresse de cette année, ont été, de par votre présence sur les lieux, de très bonne qualité. Je constate aussi que vous faites preuve d’une grande indépendance, car vous n’êtes pas entravés par vos relations personnelles. J’ai pu constater que vous aviez de bonnes relations avec certaines personnes à l’égard desquelles vous ne faites preuve d’aucune complaisance. Je me permets cependant de vous notifier ma désapprobation pour les attaques personnelles, souvent outrageantes, dont vous affligez certaines personnes, soit dans l’exercice de leurs fonctions, soit au titre de leurs activités privées. Je vous invite donc, pour parfaire votre travail, à plus de retenue, mais sans aucune faiblesse, en ayant en tête le bénéfice du doute ou la présomption d’innocence à l’égard des responsables ou personnes incriminés. Bon anniversaire. Longue et heureuse vie à votre journal, pour une saine information, source de liberté.
Souleymane Drabo, L’Essor
«22 Septembre s’est rapidement imposé»
Pour un journal né dans un certain nombre de turbulences, 22 Septembre s’est rapidement imposé, grâce à la personnalité de son Directeur et à son carnet d’adresse. Ceci a largement payé pour un bon démarrage. 22 Septembre continue à s’imposer sur le marché. S’imposer sur la durée c’est avoir une équipe. Je pense que le journal 22 Septembre a relevé ce défi. Scoops, bonnes informations, 22 Septembre a bien avancé, sur la bonne voie. Je souhaite qu’il persiste dans cette voie.
Colonel Idrissa Traoré, Directeur de la presse des armées (DIRPA)
«Tempérez vos ardeurs!»
22 Septembre est un journal qui veut aller loin. Mon conseil: tempérez vos ardeurs, soyez un peu plus courtois dans la manière de dire certaine choses. C’est un journal qui a de l’avenir, mais mettez-y de la modération et plus d’humilité.
Commandant Diaran Koné, DIRPA
«Pas assez d’analyses»
22 Septembre gagnerait à être plus sage. On a comme l’impression qu’il a la verve de la jeunesse. Comme le journal est très jeune, il est en quête de démarcation. C’est vrai que 22 Septembre traite de l’actualité chaude, mais vous ne faites pas assez d’analyses. Le courage est à saluer, même s’il faut se tempérer. De façon spécifique, 22 Septembre a certaines informations sur le Nord, Mais encore faut-il que 22 Septembre, qui est tout d’abord le Mali et aussi une symbolique de taille, donne un certain traitement à certaines informations. Certes, le fait est sacré, mais 22 Septembre gagnerait à y joindre des commentaires. 22 Septembre est un journal dynamique, qui alerte. Je souhaite bon vent à 22 Septembre.
Souleymane Cissé, cinéaste
«22 Septembre doit aller de l’avant»
22 Septembre doit mériter son nom. Je ne peux qu’encourager cette diversité de la presse. Son contenu est consistant, et je pense que 22 Septembre doit aller de l’avant, pour la diversification du paysage médiatique malien.
Cissé Tina Abdou Salèye, Chargée de communication du Bureau national de
«Des analyses politiques pertinentes»
En si peu de temps, je pense que le journal 22 Septembre a su s’imposer dans le monde de la presse écrite malienne. Cela grâce à la qualité de ses journalistes, à qui je présente toutes mes félicitations. Les analyses politiques sont très pertinentes et j’encourage la rédaction à poursuivre sur cette voix. En tant que femme, je vous suggère d’avoir une rubrique dédiée spécialement à la femme, afin que nous puissions nous exprimer. Joyeux anniversaire et bon courage à vous.
Mamadou Dipa Fané, ancien Ministre et Assistant à la Commission d’Organisation du Cinquantenaire
«Une dénomination assez heureuse»
Je pense qu’en cette année du Cinquantenaire, la dénomination du journal est assez heureuse. En ce sens, le contenu du journal, à mon avis, devrait refléter un tant soit peu les valeurs sociétales du Mali et, puisque nous sommes 50 ans après, refléter les valeurs de refondation de notre société et ainsi transmettre aux jeunes générations ce que les pères de l’Indépendance souhaitaient. Une insertion dans le journal, relative à la connaissance du Mali et de ses institutions, aux dates-clés du Mali, avec des chapitres relatifs à la moralisation, à la morale, à l’éthique, serait la bienvenue.
Le journal 22 Septembre est parfois courageux et téméraire, en abordant, peut-être de façon vigoureuse et fougueuse, fougue due sans doute à la jeunesse et à la passion pour le Mali, des sujets polémiques, mais actuels, nécessitant des débats approfondis pour la confortation de notre jeune démocratie. Une page m’a particulièrement séduit. Il s’agit de l’avant-dernière page où les images du jour retracent bien à propos l’évolution sociopolitique de notre pays. Dieu! Qu’il serait heureux que des historiens, un jour, pour la postérité, fassent de ces images un livre, en vue de la bonne et utile compréhension de notre temps et de notre histoire. Bon vent à 22 Septembre et à toute son équipe !
Maître Mamadou Ismaila Konaté, Avocat à la Cour
«Un style loin d’être dormant ou rampant»
C’est à l’occasion d’une revue de presse furtive que j’ai eu connaissance de l’existence d’un journal nouveau, qui venait enrichir le paysage médiatique de notre pays, déjà riche de plusieurs titres.
Lorsque j’ai jeté un premier coup d’œil sur le titre du journal, 22 Septembre, une date mémorable dans l’histoire de notre pays, j’ai compris qu’il s’agissait là d’une initiative nouvelle, sans doute originale et vraisemblablement appelée à occuper de l’espace et donner de la voix.
Lorsque j’ai su que ce nouveau canard était né de l’initiative d’une personne que je connaissais pour sa passion pour ce métier, son engagement sans limite et sa détermination à informer, je me suis rappelé et dit que Chahana Takiou venait de se trouver le chemin qui le mènerait sur cette arène, à laquelle il lui était légitime et loisible de rêver.
J’ai souvent lu les articles écrits dans 22 Septembre. Ils tranchent par l’engagement et la volonté de bousculer qui animent ceux qui en sont les auteurs. Le style journalistique, à 22 Septembre, est loin d’être «dormant» ou «rampant», non, loin s’en faut.
Ce journal et les journalistes qui l’animent peuvent déranger, et c’est normal, bousculer, et c’est ce que l’on attend d’eux, dire aussi fort et aussi haut ce que d’autres ruminent simplement.
La vocation d’un journal et des journalistes n’est-elle pas de déplaire, lorsqu’ s’agit d’informer sur la base de faits justes, vrais, étayés, tout en ayant de la suite dans les idées et dans le suivi des idées?
Cette vocation est comprise de 22 septembre. Bon anniversaire et bon vent!
«Longue vie à L’Image du Jour!»
Je pense que, pour son premier anniversaire, 22 Septembre est un journal qui doit être encouragé à en faire plus. 22 Septembre est un nom historique, une date historique, et il serait intéressant de réserver une place à tous les acteurs qui ont contribué à mener le Mali à l’Indépendance. Il faudrait aussi des rubriques qui traitent des femmes évoluant dans le monde de la culture, de la politique, des affaires, etc…. Des rubriques qui parlent de leurs success stories, de leurs parcours. Il faut donner aussi plus de place aux enfants, qui sont souvent victimes d’exploitation ou de maltraitance. L’image du jour est la rubrique qui m’a le plus impressionnée. Car, avec elle seule, nous avons l’actualité malienne, l’humour et surtout un message caché. Le conseil que je souhaiterais donner ? Un journaliste, qu’il soit de la télé ou de la presse écrite, en plus d’être bien formé doit avoir la capacité de restituer l’information juste. Vérifier la fiabilité des informations reçues est très important. Un bon journaliste doit être objectif. Que cette première bougie nous en apporte d’autres, avec plus d’informations, avec beaucoup plus de rigueur dans la recherche des infos. Et, surtout, longue vie à la rubrique Image du jour!
«Vous lire prochainement en ligne»
«L’apparition de votre journal sur le marché malien a apporté un plus, sur le plan de la critique et de l’analyse, avec une mention spéciale à l’Image du Jour de Freddy. 22 Septembre constitue aujourd’hui une référence dans la presse malienne. Avec le développement du e-journalisme, nous serons contents de vous lire prochainement en ligne, avec un traitement multimédia et interactif de toute l’actualité nationale et internationale. Bon vent!»
«Plus de sujets économiques»
22 Septembre est un journal qui se bat pour se faire une place sur l’échiquier des journaux de la place. Le travail est en train de porter ses fruits. Je souhaite cependant voir un traitement plus poussé des questions économiques, lesquelles sont aussi importantes que les questions politiques pour le développement d’un pays. 22 Septembre est un journal qui a su s’imposer par sa ligne rédactionnelle. Je salue la capacité de ses animateurs d’avoir créé une spécificité. Mais j’insiste sur le traitement des sujets économiques.