Parlons des journalistes Maliens. Ils sont majoritairement de bonne formation, de bonne école.
Une minorité cependant, constitue la gangrène, minant toute la profession.
Mon propos est le combat contre la médiocrité. Je trouve qu’il y a une singulière tartufferie à se cacher derrière la défense de la liberté de presse dès que le grand public prétend s’interroger sur les écrits de ces “journaleux”.
Messieurs : êtes-vous au dessus des lois ? Vous le croyez ! Mais, êtes-vous surtout au dessus des codes, de la décence et de l’éthique collective ?
D’où tenez-vous ces privilèges ?
Le métier noble exercé par ceux qui n’y sont pas préparés ou qui le sont pour distiller la haine dans le corps social déborde souvent de ses définitions originelles.
Pour qu’elle reste égale à elle-même, il faut que la corporation veille sur un code de conduite accepté de tous.
Les brebis galeuses, errantes, mal formées et pleines de haine seront indexées, dénoncées et sanctionnées sans indulgence.
Il faut que les journalistes maliens aient le courage de faire leur propre procès, en se plaçant au-dessus de ce procès.
L’auteur dit que : “la préoccupation la plus délicate, la plus constante du métier est de savoir ce qu’il faut censurer ou pas”.
La leçon est, qu’il ne faut aucunement dire n’importe quoi à n’importe qui, n’importe quand. Surtout, le mensonge ne doit pas être érigé en système d’information pour créer le sensationnel et abuser de la bonne foi du peuple.
Il est temps que la fonction de journaliste soit organisée dans notre pays à l’instar des autres corps sociaux comme les médecins, les pharmaciens, l’ordre des magistrats et autres avocats.
Ne doivent être inscrits à l’ordre, que ceux qui ont fait une formation appropriée. Ainsi, débroussaillé, débarrassé de ses mauvaises herbes, fertilisé, ce champ pourra générer la 4è sève nourricière, sève élaborée du 4e pouvoir de notre jeune démocratie.
Fragiliser, rendre intensément vulnérable les premiers responsables du pays est devenu un marché prolifique, un immense gâteau que les loups-narlistes ne cessent de se disputer.
Mesurer les conséquences possibles de tous leurs actes ne fait plus partie de la déontologie de ces gens.
Oui, messieurs les “Loups-larnistes”, il est grand temps que les boutiques se vident, que les “boutiques-radios pleines de haine se referment” pour que le peuple malien continue sa marche glorieuse sur le boulevard universel du progrès, pour que les vrais fossoyeurs de notre économie, ceux qui ont pillé les richesses de ce pays soient démasqués et dépossédés de leurs biens mal acquis.
I.C
JE SUIS HEUREUX DE CONSTATER QUE LE TERME QUE J’AI PROPOSÉ POUR CES TYPES DE JOURNALISTE EST ENTRAIN DE FAIRE SON BOUT DE CHEMIN. MERCI À VOUS DE LE FAIRE CONNAÎTRE.
Sincèrement, j’apprécie à sa juste valeur cet article. La désinformation dévenue monnaie courante de certains faux journalistes doit être considerée comme un crime et jugée comme tel.
C’est une pratique qui dévalorise la profession et porte gravement atteinte à l’image de toute la presse malienne.
Vraiment, il est grand temps pour la presse malienne de s’y pencher en envisageant une solution idoine. La Maison de la Presse du Mali est largement interpellée à cet effet.
Verifiez si Dicko de <> a un diplôme. D’ailleurs tous les articles venant de ce journal sont de la pure propagande et décousus. Maliweb devrait éviter ses articles
je parle de dicko de ‘Mali demain’
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