Du fait que le Mali sort de cette mauvaise passe et son Trésor public se porte comme un charme, les pisseurs de copie s’attendaient à un retour à la normale, voire palper plus que d’habitude. C’est qu’ils ne savaient pas qu’ils ont affaire avec Picsous qui, pour se dédouaner, dit tout bas, avoir racler le fonds d’aide à la presse pour organiser les festivités du 22 Septembre. Tout compte fait, la fête de l’indépendante célébrée dans l’austérité engendre un manque à gagner de 110 millions Fcfa pour la presse. Pour ce faire, les patrons de presse, sous la coupole de l’Assep et de la Maison de la presse, entendent renoncer à l’aumône de Picsous.
La Rédaction