La presse indépendante au Mali, quotidiens et radios privées, entend observer mardi une grève de 24 heures doublée d’une marche pour protester contre la multiplication des agressions dont sont victimes les journalistes dans l’exercice de leur profession, ont annoncé vendredi des organisations de médias.
Ces actions visent à « condamner » les actes d’intimidation, d’enlèvement et d’agression et à interpeller le gouvernement sur ses responsabilités de protection des journalistes, ont indiqué six associations et organisations professionnelles à l’issue d’une réunion à Bamako.
La rencontre a réuni à la Maison de la presse, l’Association des éditeurs de la presse privée (ASSEP), l’Union des journalistes du Mali (UNAJOM), l’Organisation des jeunes reporters du Mali (OJRM), l’Union des radiotélévisions libres du Mali (URTEL) et le Groupement patronal de la presse écrite.
Un participant à la rencontre, le président de l’OJRM, M. Kassim Traoré, a précisé qu’aucun quotidien national ne paraitra mardi 17 juillet pendant que toutes les treize radios privées de la capitale observeront une pause durant la journée.
Il en sera de même pour la centaine de radios privées émettant en modulation de fréquence à l’intérieur du pays. Dans le même temps, une marche de protestation rassemblant à Bamako des hommes de médias et des personnes éprises de liberté de presse sera conduite sur la primature.
Le 12 juillet, un doyen et fondateur du journal « L’indépendant », El Hadj Saouti Labass Haïdara, 62 ans, a été enlevé et roué de coups de crosse et de gourdin par des hommes armés qui l’ont ensuite abandonné, selon la télévision nationale, avec un avant-bras fracturé et de multiples contusions.
Cette agression a suivi celle de Abdrahamane Keïta du journal « Aurore » qui, le 2 juillet, a été lui aussi enlevé par des hommes encagoulés qui l’ont, selon ses propres dires, battu à mort après lui avoir signifié que les journalistes les « emmerdaient ».
Les deux agressions ont soulevé une vague d’indignations dont celle de l’Observatoire des Droits humains et de la Paix (ODHP) qui, dans une déclaration, a enjoint samedi au gouvernement d’identifier et de « punir » les auteurs de ces actes « d’atteinte grave à l’intégrité physique des personnes » et de violation des « libertés de pensée, d’expression et d’opinion ».
De son côté, le gouvernement avait réagi en condamnant vendredi ce qu’il a appellé des « actes inacceptables dans une démocratie ».
Tout en présentant ses regrets à la presse, le gouvernement l’a invitée à poursuivre « son engagement en faveur de la paix et d’une transition apaisée ».
apanews /2012-07-14 12:14:58
Hééééééééééé Ayé sabali ce scandal est une machination des politiques malintensionnés du mali pour discréditer le gouvernement de cheik modibo diarra,soyons clairevoyant sachons faire la part des choses,mr haidara je vous souhaite un prompt établissement.Cmd un poulain des états unis,Dioncounda protégé de la france voici des intérets diamétrallement opposés nos hommes des médias doivent serieusement informer le peuple malien,un peuple qui s’est toujours rebeller pour la cause de sa dignité,alors vous voulez qu’on fasse l’mpossible pour continuer à entretenir des mensoges qui tuent une nation?Dioncounda agresser,le noble saouti tabasser,croyez- vous que tous ces ates reflètent l’incompétence du gouvernement? non au contraire c’est une manoeuvre des politichiens démoniaques du mali, ne prenons pas la vie de notre cher pays à la légère!Que sauve le MALI.
Je souhaite un bon Rétablissement à Mr Haidara
Mais il faut que la presse sache que relater les faits demande beaucoup de rigueur et recherche ….les anciens doivent apprendre aux jeunes que le fait de raconter des “niaiseries” exposent toute la presse ….. Les propos de “grin”doivent être banis du langage journalistique bref c’est à l’image du peuple:ÉDUCATION JUSTICE SANTÉ
je recommande aux enfants PRUDENCE ET HUMILITÉ DE LA PARTA DE TT UN CHACUN
MERCI POUR LA JOURNÉE DU 17/07/2012
merci frère ag pour cette notion de vision éclairée. JE CROIS QUE plusieurs internautes ignore le sens de la nation de de la valeur humaine, chose qui les incitent à tabler sur certains propos insensés. Sinon, j’estime que la liberté sans celle de l’expression est loin d’être une liberté. les millions de maliens aspirent à certaines formes d’activité et parle de démocratie, parceque la presse malienne a joué un rôle cardinal dans l’éveil de conscience dans cette démocratie. soyon conséquent. entre nous respectons la valeur professionnelle de la presse et des journaliste. ce qui est sure, aujourd’hui, ce sont les journalistes qui sont concernés, demain peut être c’est l’opérateur téléphonique ou encore le chauffeur de taxi et de sotrama. ensemble nous devons lutter contre ce phénomène qui s’installe progressivement au Mali. de grâce
moussa est la au secours la dictatureest la oumar et mountaga ces vous qui l avez enfermer vous serz sont premier repas
Ne chercher pas loin et ne vous tracassez pas vos tetes pour rien a la recherche des auteurs,SANOGO et sa bande de bordel sont les responsables,ils ont decide’ de detruire ce pays.
Disons nous la vérité! il n y a pas de jour qui passe sans qu’on ne se pleint des article sur ce site!
Les journalistes maliens sont à l’images de la classe politique: Aucun effort pour le sursaut national. DAns une situation exceptionnelle comme le mali aujourd’hui, les journalistes doivent eviter les partie prit et relater les fait et surtout cultuver la concorde nationale.
Chacun pourra en juger!
tout personne qui soutient des actes de ce genre n’est pas le digne fis de son père sinon il n’est pas de la lignée des nobles maliens
le mali est un pays de paix et de culture
les maudits en auront pour leur compte ce n’est qu’une question de temps
merci cher journaliste
vivement l’action du 17 juillet le mali civilisé et éternel vous soutient et sera à votre coté
C’est ce type de commentaire qui a conduit à cet acte. Dommage que tu n’en aie pas conscience. Eviter les discourtoisies!
Toi tu le passerais à tabac juste pour ce qu’il a dit???!
il faut taper ces journalistes menteurs,sans deotologie.
dans ce pays on parle de journaliste mais en realiste ces des chercheurs de condiment.
Biensur qu’il faut supporter ces actes de barbaries. Mais il est essentiel que les journalistes suivent leurs codes de deontologie. Beaucoup d’articles ont ete postes sur ce site et apres ont ete retire a cause en parite de l’intervention des internautes et les fans de ce siteweb. Se permettre de raconter du n’importe quoi, des stipidites sur des personnes basees sur la haine et le mensonge et la propagande peut peuvent pas continuer au non de la liberte de presse. Je suis tres desole pour Mr. Haidara et toutes mes symthies a lui et sa famille ainsi qu’a tous les autres victimes.
Revoyons certaines choses et lacunes ensemble pour ameliorer notre societe.
je vous soutien à mort contre tout les prédateurs
Bonjour,
La liberté de la presse, sans exagérations, est très importante, elle équivaut à celle de la nation.
Les journalistes doivent jouer un rôle de premier plan en conscientisant sans dérapage et en communiquant sérieusement pour éveiller les Maliens sur ce qu’il ne faut pas faire et sur ce qu’il faut faire pour sortir de la crise Malienne.
Chers frères et sœurs, faut-il rester dans l’indifférence face à ce journaliste gravement blessé.
Il est important que ce journaliste soit sauvé par les Maliens car le monde entier regarde cette non assistance des Maliens à un frère en danger.
Le Mali est connu pour sa solidarité et son humanisme, ces aspects doivent être prouvés en sauvant ce journaliste.
Le gouvernement de transition ne doit pas rester insensible à ce cas très grave.
En cette période très difficile, les Maliens doivent être unis et solidaires pour vaincre leurs problèmes et la crise.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
bonsoir,
MR AGRHISSA.
C’est ton jeune frère Moussa.merci pour la réaction.
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