Menace sur la liberté de la presse au Mali : Quand des cybers jeunes payés par le régime attaquent et avilissent la Presse et l’Opposition sur les réseaux sociaux

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Mali : La presse vilipendée sur les réseaux sociauxL’une des valeurs fondamentales de la Démocratie est la liberté d’expression. Ce bel acquis de notre combat commun est en train d’être galvaudé par ceux-là même qui en on tiré profit pendant la période de la vache maigre. Le Mali qui a jusque-là était un modèle dans la sous-région en matière de liberté de la presse va-t-il ternir cette bonne image ? IBK qui a bénéficié des largesses de la presse pendant sa traversée du désert politique va-t-il cautionner les aberrations de son entourage immédiat ? N’est-il pas en train de se tromper d’adversaires et de combat ?

 

“Je préfère une presse sans gouvernement à un gouvernement sans presse”, disait Thomas Jefferson, 3ème  président des États-Unis. IBK le pense-t-il aussi ? En tous cas, la Presse est à la Démocratie ce qu’est la racine à l’arbre, à savoir son principal  pilier. Son sacerdoce n’est pas  de plaire ou de déplaire, mais de tremper la plume dans la plaie béante  pour  dire la vérité en tout lieu et toutes circonstances. Sa première vocation est donc d’analyser, de recouper, d’informer puis de former et d’éduquer et souvent de distraire. Elle dénonce les tares et critique les mauvaises pratiques de nos gouvernants pour que la gouvernance s’améliore au bénéfice du plus grand nombre. Cette mission sacerdotale est malheureusement en train d’être saboté par des individus qui seraient dans l’entourage immédiat du Président de la République en manque d’initiative et d’inspiration et qui s’adonnent à des pratiques d’une autre époque. En quoi consistent-elles réellement ? Ces pratiques consistent à recruter des cybers jeunes dont les discernements ne sont pas toujours avisés à qui on confie la mission grincheuse d’insulter tout journaliste ou leader de l’Opposition qui ramerait à contre-courant du pouvoir sur les réseaux sociaux. Malheureusement ces cybers jeunes n’ont ni le niveau requis ni la retenue policée pour mener à bien leur basse besogne. Ils n’avancent jamais des arguments convaincants pour apporter la contradiction aux allégations et autres preuves avancées par les journaux et les leaders de l’Opposition. La question qu’on est en droit de se poser est celle de savoir comment celui qui a bénéficié de l’accompagnement et du soutien indéfectible  de la Presse pendant qu’il était dans l’Opposition peut-il  accepter de telles pratiques ? Monsieur le Président de la République ne vous trompez pas de combats et d’adversaires. Les plumes qui vous châtient le plus ne sont pas de ceux qui vous aiment le moins. Vos ennemis sont ces ministres qui vous trompent et travaillent le moins. A défaut de visions et d’engagements pour le pays, ils pillent la République. Vos ennemis ce sont vos collaborateurs immédiats qui ne peuvent jamais vous dire les choses telles qu’elles sont et telles que les maliens les ressentent. Plaise à Dieu que vous refusiez de vous laisser appeler TONTON ou PAPA en plein Conseil des ministres. Vous êtes « Monsieur le Président ». Vos ennemis sont ces journaux qui vous encensent plus qu’ils ne vous informent au moment où la République est au bord de l’implosion. Vos ennemis sont ces flagorneurs qui n’ont d’autres objectifs que de se sucrer sur le dos de la République. Le Président de la République du Mali est trop grand et au-dessus de la mêlée pour cautionner de telles pratiques de la part d’un de ses proches collaborateurs. Puisse-t-il rappeler à ses collaborateurs que personne ne saurait défendre IBK en insultant la Presse et les hommes de médias. Parce que le premier malien aujourd’hui qu’est IBK est celui-là même qui a initié l’Espace d’Interpellation Démocratique (EID) qui fait tant la marque et la fierté du Mali à l’extérieur. Vivement donc le recadrage par IBK pour l’honneur et le bonheur des maliens.

Youssouf Sissoko        

 

Commentaires via Facebook :

85 COMMENTAIRES

  1. Ibk n’a jamais respecté les maliens il dilapide l’argent des citoyens pour ses besoins personnels
    Surtout tout l’argent qu’il débourse les la connexion des pintades est énorme

  2. Il est du devoir de chaque malien d’apporter sa contribution, de participer au minimum dans les différentes actualités parlant sur ce pays. Et quand les maliens font cela, ce journaliste bette se met en tête que c’est de la part de Koulouba, n’importe quoi…

  3. Mr. le journaliste je ne peux pas comprendre comment vous pouviez prendre la décision de toute une nation comme étant un ordre dans un pays aussi démocrate que le Mali.
    Les maliens sont lourdement motivé derrière IBK et cela a été confirmé depuis leurs massive sortis de 2013 pour soutenir cet homme. Tu penses que quoi Mr. le journalcon, qu’après avoir choisie ce président massivement ses maliens ne vont pas le suivre, que ses maliens ne vont pas le soutenir que ses maliens ne continuerons pas de prendre sa défense ?
    Tu te trompes en croyant cela, nous continuerons à suivre et à soutenir le président quel qu’en soit le résultat, t’en pis pour toi si tu croix que c’est koulouba qui engage des personnes pour cela, mais je veux te rappeler que ce sont des insultes qui sont bien pour les journalistes traître…

  4. Au lieu de vous en prendre aux commentaires des uns et des autres d’être trop en faveur du président de la république, aillez honte de vous même d’abord de par ce que vous faites dans ce pays, de ce que vous semez par vos malversations !!!

  5. On a comme l’impression que ce journaliste prend sa situation pour une généralité. Nous savons tous qu’il y a des journaleux dans ce pays qui perçoivent les miettes pour insulter le régime en place. Au lieu de vous attaquer aux avis des maliens conscients, j’espérais vous entendre dire que vous mettez en question votre esprit patriotique et celui de vos collègues qui n’ont d’inspiration que quand il s’agit du dénigrement. 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    Monsieur Youssouf, en vous lisant, on ressent du mépris et même des insultes vis-à-vis de ses maliens qui ne voient pas les choses comme vous. Si vous étiez honnête, ce qui n’est visiblement pas le cas, vous diriez aux électeurs combien de fois les journalistes de circonstance de notre pays font dans la diffamation à outrance. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Les internautes n’ont pas besoin de faire les hautes études que vous n’avez pas vous-même faite pour exprimer un point de vu contraire au votre. 😯 😯 😯

    Aujourd’hui, quand un journaliste veut se faire connaitre dans le milieu, il se spécialise dans l’injure à l’endroit de l’autorité. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 :(…..

    Nous voulons bien croire que les internautes manquent d’éducation ou de niveau. Mais en semblant de journaliste que vous êtes monsieur Youssouf, reconnaissez que les journalistes maliens manquent de patriotisme, ils ne respectent pas les institutions et encore moins les autorités. C’est votre ****e des quartiers que vous laissez transcrire sur les *** 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛

    Votre leçon est fausse, parce que vous êtes vous-même *** personnage. 👿 👿

  6. Monsieur ****** Ne mentez pas aux lecteurs qui vous lisent. Je poste des commentaires sur ce forum depuis 9 mois parce que je pense que j’ai le droit d’exprimer mon opinion sur un plat forum public. Les internautes me traites de pintades, je n’ai jamais rien dit. Je ne suis pas allé me plaindre dans un tribunal. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Les gens m’ont traité de PINTADE, d’envoyer de Koulouba, ils ont *. Alors allez-vous faire fouttr*****e avec votre article ridicule. Faite descendre le ciel si vous voulez, mais arrêtez de distraire les maliens. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:….

    Je ne connais pas le président, je ne connais pas ses collaborateurs, je ne connais personne de son entourage. Je n’ai pas besoin de le rencontrer pour parler en bien de lui. Respecter le président revient à respecter la majorité des maliens. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  7. Je pense qu’on ne doit pas créer des polémiques autour des affaires ou il n’existe pas. Je ne vois pas de raison de se plaindre dans cet affaire sauf si tu en veux au régime en place.

  8. La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et***é, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes.

  9. Mr. le journaliste il est aussi important de comprendre que le métier du journaliste n’est pas de mettre de l’huile sur le feu. Nous constatons que les journalistes maliens ne savent que dire du mal sur les autres. Alors ses Cyber jeunes que vous dites font bien de participer…

  10. Loin de là monsieur Youssouf, pourquoi tenir le gouvernement de responsable sur tout acte qui vous semble tendre vers un mystère ? Se c’est la population malienne elle-même qui intervient sur les réseaux sociaux pour soutenir le régime au pouvoir.

  11. Les journaliste à la con, laissez ces cybers jeunes en paix. Eux au moins ne font pas de diffamations contrairement à vous et les opposants de la honte. La liberté d’expression ne doit pas être exercée dans le but de ternir l’image du président de la république. 😀 😀 😀 💡 💡 💡

  12. Les sites et les réseaux sociaux sont devenus des moyens de communication les plus utilisés par l’opposition et la presse déformer le peuple, ce qui pourrait mettre en mal la stabilité politique. La presse et l’opposition malienne sont devenues aujourd’hui les ennemis intérieurs du régime au pouvoir. Parce qu’ils font tout pour perturber la stabilité politique avec des diffamations et des paroles à la légère.

  13. Mais qu’es qui montre réellement que cette affirmation tient sa véracité. Je pense que les journalistes doivent s’abstenir de publier des articles légers. Si le journaliste est vraiment sur de son affirmation qu’il nous soumet des preuves solides.

  14. Je remercie infiniment ces cybers jeunes pour tout ce qu’ils font dans le cadre de la conservation de l’image de notre Etat sur la scène internationale à travers son président de la république Ibrahim Boubacar Keïta. nous devons tous accompagner et encourager ces jeunes. Vraiment leur actes est salutaire. Il permettra aux journalistes à mieux informer avant de passer à toute publication et faire en sorte que l’opposition ne se mette plus à diffamer comme le fait Tièbilé Dramé. 🙄 🙄 🙄 😆 😆 😆

  15. Ce journaliste manque de style et de professionnalisme, son article est nul. Les réseaux sociaux et sites d’informations sont pour tous, c’est la démocratie moderne.

  16. A mon avis ses jeunes même s’ils ont été ou ne pas engager par d’autres personnes ont raison, car tout le monde sais ce qui est devenu la presse malienne, c’est une désolation total.
    C’est maintenant à partir de la presse que les politiciens tentent de détruire le nom n’un autre politicien en parlant du n’importe quoi sur l’autre. Il faut juste donner 5 000 ou 10 000
    Et le journaliste à dire tout contre quelqu’un.
    La presse n’est pas faite de celle-ci.
    😉 😉 😉

  17. A part les insultes vulgaires je ne vois aucun mal dans les actes des internautes. Mais monsieur le journaliste comme vous la dénoncez, dans la liberté d’expression chacun est libre de donner ses avis sur un sujet quelconque non? Il faut les laisser faire leurs boulots au contraire c’est un acte patriotique.

  18. Cet article est un article incitateur à la haine, les journalistes apatride, de mauvaise foi et corrompus se permet de manipuler la conscient des pauvres citoyens avec des stupidités de toute sorte. La stabilité politique du pays importe peu à ces journaliste affamés, ils sont tous corrompus jusqu’aux osseux. Leur objectif est de rendre service aux l’opposants malintentionnés en faisant circuler des informations diffamatoires, gratuites et légères.

  19. Je pense que ces cybers jeunes sont des citoyens conscients de la plume de diffamation de l’opposition à travers les journalistes qu’ils engagent. Actuellement les réseaux sociaux sont inondés par débats contradictoires et responsables. Cela grâce à l’avènement ces cybers jeunes. Cela ne doit en aucun vous pousser à dire qu’ils sont payés par le régime/ Bien avant ce régime, ces jeunes intervenaient sur les réseaux sociaux. Si ces jeune attaquent et avilissent les journalistes et l’opposition, c’est parce que dans ces derniers jours un opposants du nom de Tièbilé s’est donné à des actes consistant à ternir l’image de la première institution de la république. et les journalistes sans aucune culture juridique se sont mis à soutenir ce dernier dans le vide. Conscients de cette situation, ce jeunes eux aussi se sont engagés à défendre les démunies sur les réseaux. 💡 💡 💡 💡 😛 😛 😛

  20. Nous avons des journalistes mercenaires dans ce pays comme *****C’est vrai que le journaliste doit dénoncer et informer la population sur les actes du gouvernement et le pays tout entier. Mais ces journalistes ne raconte et n’apprécie rien de bien venant du gouvernement mais cela est impossible que le gouvernement ne pose rien de bon. Les internautes ont bien et bel raison parce qu’ils jouent aussi leurs rôles dans le développement du pays.

  21. Mr. le journaliste ne vient pas nous raconter des n’importes quoi Ici se sont des journaliste comme vous qui cèdes à la corruption au niveau de la presse.

  22. Je pense qu’on ne doit pas créer des polémiques autour des affaires ou il n’existe pas. Je ne vois pas de raison de se plaindre dans cet affaire sauf si tu en veux au régime en place.

  23. Les maliens ont mal compris la liberté d’expression. on ne doit pas au nom de cette liberté porter atteinte à l’intégrité et/ou à l’honneur d’une personne. Certes, Ibrahim Boubacar keïta est le président de la république. Mais en dehors de cal il est un citoyen comme nous tous et qui a droit à tous les privilèges que n’importe quel citoyen. Sa personne mérite respect et obéissance. Les cybers, ce n’est pas parce qu’ils vous empêche de diffamer que vous allez dire qu’ils sont payés par le régime. Non, ils sont des journalistes comme vous. Ils sont même plus instruits et plus conscients que vous les journalistes sans aucune formation journalistique et sans culture. 💡 💡 💡 😈 😈 😈

  24. Se cacher derrière les médias pour nuire à ton adversaire politique c’est la pire des faiblesses. On connait des journaux dans ce pays et des radios qui appartiennent à certains hommes politiques qui ne racontent rien de bon sur le régime et ni sur les proches du président. Mais monsieur SISSOKO si vous me racontez des choses comme cela me dépasse vraiment. Vous les journalistes il est temps que vous vous ressaisissez, pour le bonheur de nous tous.

  25. L’article exagère cela n’à rien n’avoir avec la liberté de la presse au Mali. De nos jours la liberté de la presse malienne est devenue plus ou moins une arme fatale contre la stabilité politique de notre pays. C’est la population elle-même qui s’exprime.

  26. 😳 S’attaquer au mode moderne de la communication revient à vouloir associer sa tare et son incompétence au service de la scène théâtrale. Avec YOUSSOUF, nous y sommes. Vive les journaleux intouchable de la République. Pfffffffffffffffff !!! ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

  27. La liberté de presse est différente de la liberté diffamer de la presse. L’acte de nos journalistes et opposants est loin de la liberté de presse et d’expression. On ne doit jamais avancer une information sans arguments. Sinon on risque de se trouver dans le cadre de la diffamation. C’est ce que font les hommes de la média malienne et opposition.

  28. JE SUIS MALIEN, JE RESPECTE LES INSTITUTIONS RÉPUBLICAINES, JE RESPECTE LES AUTORITÉS. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

  29. Ce sont les opposants et les journalistes malveillants qui désinforment le peuple et empoissonnent le système du régime au pouvoir avec des mensonges et des balivernes. Le pays n’a pas besoin de cela, si vous n’avez rien n’à dire aller vous faire à ailleurs. La presse et l’opposition malienne ont perdue toutes leurs crédibilités, considérations, dignités et honneurs vis-à-vis de la population malienne.

  30. Monsieur Youssouf, allez pleurer dans la jupe de votre mère di vous voulez, on s’en fou. Ne mentez pas aux lecteurs qui vous lisent. Je poste des commentaires sur ce forum depuis 9 mois parce que je pense que j’ai le droit d’exprimer mon opinion sur un plat forum public. Les internautes me traites de pintades, je n’ai jamais rien dit. Je ne suis pas allé me plaindre dans un tribunal. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Les gens m’ont traité de PINTADE, d’envoyer de Koulouba, ils ont même insulté ma mère et mon père. Alors allez-vous faire fouttre avec votre article ridicule. Faite descendre le ciel si vous voulez, mais arrêtez de distraire les maliens. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Je ne connais pas le président, je ne connais pas ses collaborateurs, je ne connais personne de son entourage. Je n’ai pas besoin de le rencontrer pour parler en bien de lui. Respecter le président revient à respecter la majorité des maliens. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  31. La presse est en train de devenir l’ennemie N° 1 de ce pays…
    Il y’en a des journalistes qui mentes, qui font tout pour tourner la conscience des maliens tout ça pour de l’argent.
    Ce pays est plus important que de l’argent, plus précieux que de l’or, plus attirant que le Diamant, même un petit cm de ce pays n’est à changer contre quoi que ce soit.
    Les journalistes de ce pays doivent comprendre que La stabilité de ce pays nous sommes chère …

  32. Quand la presse diffame il n’y pas menace sur la démocratie et ni sur la stabilité du pays. Mais quand les jeunes patriotes souciés de leurs avenir jouent leurs contributions dans la stabilisation et le respect de la démocratie qu’on raconte des n’importes quoi. Monsieur SISSOKO il faut nous laisser respirer avec tes sottises.

  33. Il n’y a aucune menace sur la liberté de la presse. Le truc c’est que vous êtes tous des connards. Au lieu d’informer le peuple, vous passez toute la journée à insulter le régime en place en complicité avec l’opposition de la honte. Un vrai journaliste n’est pas celui qui a une plume de diffamation mais une plume d’information de proposition de conseil, de soutien, d’accompagnement et surtout de vérité. De ce fait peut dire qu’il y a assez de journalistes dans notre pays. 💡 💡 💡 😛 😛 😛

  34. C’est évident que le journalisme n’apporte pas beaucoup au Mali, mais cela ne veut guère dire que les journalistes se transforment en des me*****

  35. Il n’y a pas un problème de liberté d’expression. Quand cette liberté d’expression était muselée dans notre pays au temps d’Apha, d’ATT et même de Sanogo. Il y a des compatriotes qui sont allés faire un tour l’autre côté, et ils connaissent c’est quoi le manque de liberté d’expression. 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    Que ce journaleux de Youssouf apprenne à mieux s’exprimer, peut être qu’un jour il arrivera à mieux faire un message. Loin sans faux, l’auteur de cet article n’exprime rien qui soit correct à mes yeux. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

  36. Tchiééééééé !!! ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

    Encore un autre article contre les internautes ?????????? ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓

    Youssouf a sorti son inspiration de la semaine. La république des intouchables. Les journalistes et les opposants intouchables. Du n’importe quoi. IBK a des partisans qui ne supportent pas qu’on insulte leur président. IBK est avant tout un humain, un chef de famille et le président de tous les maliens. Il mérite respect et considération. Il reçoit des tonnes d’injures par semaine et quand les internautes font autant, on parle de liberté d’expression. Confusion ou ignorance de l’usage des mots.

  37. Qui sème le vent récolte la tempête, ces cybers jeunes n’ont rien à avoir avec le malheur qui vous tombe dessus aujourd’hui. C’est bien-sur votre passion pour matériel qui vous a conduit dans cette situation.

  38. On a comme l’impression que ce journaliste prend sa situation pour une généralité. Nous savons tous qu’il y a des journaleux dans ce pays qui perçoivent les miettes pour insulter le régime en place. Au lieu de vous attaquer aux avis des maliens conscients, j’espérais vous entendre dire que vous mettez en question votre esprit patriotique et celui de vos collègues qui n’ont d’inspiration que quand il s’agit du dénigrement. 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    Monsieur Youssouf, en vous lisant, on ressent du mépris et même des insultes vis-à-vis de ses maliens qui ne voient pas les choses comme vous. Si vous étiez honnête, ce qui n’est visiblement pas le cas, vous diriez aux électeurs combien de fois les journalistes de circonstance de notre pays font dans la diffamation à outrance. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Les internautes n’ont pas besoin de faire les hautes études que vous n’avez pas vous-même faite pour exprimer un point de vu contraire au votre. 😯 😯 😯

    Aujourd’hui, quand un journaliste veut se faire connaitre dans le milieu, il se spécialise dans l’injure à l’endroit de l’autorité. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

    Nous voulons bien croire que les internautes manquent d’éducation ou de niveau. Mais en semblant de journaliste que vous êtes monsieur Youssouf, reconnaissez que les journalistes maliens manquent de patriotisme, ils ne respectent pas les institutions et encore moins les autorités. C’est votre ***** des quartiers que vous laissez transcrire sur les torchons que vous appelez journal. 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛

    Votre leçon est fausse, parce que vous êtes vous-même ***** 👿 👿

  39. Foutez-nous la paix, chers journalistes. Crève de la faim que vous êtes tous. Au mali on a des journalistes non insensibles et affamés. Ils ne cherchent que leu frais de condiment par jours. Une chose à ne pas surtout oublier et négliger: les journalistes maliens et l’opposition travaillent ensemble pour mettre un coup fatal à la gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta. 💡 💡 💡 😆 😆

  40. Mr. le journaliste, vous êtes en train de parler d’une violation de la liberté d’expression sans oublier que le fait de vouloir empêcher à ses Cyber jeunes de participer au différent débat concernant l’actualité est une véritable forme de violation de la liberté d’expression.
    Il faut le reconnaitre beaucoup des journalistes sont corrompue et ont fait de la presse malienne un marché pour parler mal des autres souvent sans aucune preuve contre se personnes.
    Ses journalistes ont apporté une mauvaise façade à la presse malienne, ses journalistes ne fonctionnes qu’en fonction des personnes qui leurs payes afin de mal parler des autres.
    Voilà ce qui est devenu la presse malienne de nos jours.

  41. Moi je n’en veule pas à ces jeunes, mais plutôt vous la presse malienne. Ils doivent avoir une raison pour agir de la sorte à votre égard. Vous êtes le mieux placé pour comprendre pourquoi ces insultes.

  42. Soyons en sûrs, ces cybers jeunes sont dans une logique qui tende à mettre fin aux diffamations et fausses allégations contre les gouvernants. Laissez-moi vous dire que les opposants maliens sont les premiers ennemis de ce pays. Ils passent toute leur vie à critiquer à dénoncer mais ils ne proposent absolument rien de concret. Cela n’est pas du tout bon pour cette nation. 😀 😀 😈 😈 😈

  43. Enfin vous vous sentez ridiculisé à cause de ces cybers jeunes. Au lieu de les accuser, vous devez tout d’abord cherchez à comprendre ce qui est à l’origine de tout cette situation embarrassante.

  44. Mais monsieur SISSOKO , je pense qu’il fallait plutôt s’attaquer aux journalistes téléguidés sur ce plan. Il y’a des journalistes qui ne racontent rien pour faire stabiliser ou avancer le pays, malgré la situation dont nous vivons. Pourquoi ne pas dénoncer cela monsieur SISSOKO?

  45. Apprenez à changer pour votre propre intérêt, de nos jours la presse malienne est devenu un marché. Il suffit de payer pour que les hommes de médias fassent des éloges ou encore navigue dans la diffamation pour nuire à l’image du pays.

  46. Ne mettez pas votre souffrance sous le dos de qui que ce soit, vous êtes conscient de ce que représenter dans la vie de notre nation. Cela n’empêche, vous vous avez quand meme préféré l’argent à votre métier.

  47. Félicitation à ces cybers jeunes. Je suis sûr que grâce à eux certains faux journalistes et opposants inconscients vont tous changer de plume. Ces journalistes et opposants inconscients son des freins pour le développement de notre pays. ➡ ➡ 😛 😛 😛

  48. Le journalisme est différent de la politique :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Il faut que les hommes du média comprennent que faire le double jeu dans ce métier c’est très dangereux pour le pays. Un mot peu tout gâter 😥 😥 😥 comme il peu arranger 😀 😀 😀 Je pense que le second est le meilleur. Soyons les ambassadeurs de la paix.

  49. Il faut juste dire que des journalistes ne sont pas restés dans leurs rôles de journalistes. Sinon, ses personnes que vous dites sont surement conscient que le pays en ce temps actuelle n’as juste besoin que de l’union de la participation de toutes et de tous afin d’accueillir la paix et la stabilité dans ce pays.
    Le journalisme ne pas faite pour détourner la conscience de toute une nation envers les séparations la destruction pour des causes personnel…

  50. monsieur le journaliste, ces cybers jeunes sont des patriotes et non des jeunes engagés par Koulouba pour insulter et contredire les dires de tous ceux qui parlent du président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta. Ces jeunes patriotes, comme nous l’avons tous constaté, appellent les journalistes et certains opposants à mettre un terme aux diffamations sans argumentation adéquat pour prouver la véracité de ceux qu’ils avancent contre le chef de l’Etat. Ce journalistes comme certains de ses collègues sont des détracteurs payés par les opposants pour mettre à feu la gouvernance d’Ibrahim Boubacar Keïta. Un journaliste ne doit pas être à la merci d’un minable opposant comme Tièbilé Dramé et/ou Soumaïla Cissé.
    Les cybers jeunes ont pour mission de pousser les opposants et certains journalistes sans aucune formation journalistique à ne ps faire e diffamations dans ce pays qui travers une calamité. 😀 😀 💡 💡 💡

  51. NTI TIAI KÔRÔBA DÔKÔYA NI MIYE NTA DÔKÔYA 😆 😆 😆 😆 NBO FILABARA KONKON 😆 😆 😆 😆 Que chacun se reconnaisse dans ce pays et que chacun reconnaisse que l’intérêt du Mali c’est un problème à tous les maliens.

  52. Il faut comprendre par là, que le peuple malien est déçu de vous Mr Sissoko. Vous avez interet à change non pas seulement pour les citoyens mais aussi pour vous meme. Comme on le dit respect toi, les autres te respecteront.

  53. Monsieur le journaliste il n’y pas de fumée sans coup de feu. Ce sont vos mauvais comportement qui ont suscité cette nouvelle pratique. La population en a marre de vos diffamations et vos rumeurs sur les innocents.

  54. C’est bien d’avoir touché ce point sensible, mais à mon humble avis tout ce qui arrive à la presse malienne aujourd’hui n’est la faute de personne. Si vous mettez l’argent au dessus de votre métier, alors rien n’empêche la population de vous le faire savoir quel qu’en soit la manière.

  55. Actuellement certains journalistes maliens sont comme des hommes armés derrière les grandes personnalités de ce pays. Ils sont téléguidés depuis par des hommes politiques qui leurs donnent des cibles à attaquer. Je me demande souvent si le gouvernement lit certains journalistes.

  56. Mr Sissoko, c’est bien de mettre l’accent sur cette nouvelle pratique, mais cependant j’ai une question à vous poser. Connaissez vous le sens de l’éthique et la déontologie? Cela m’étonne fort que la presse malienne connaisse ces deux mots encore moins leurs significations.

  57. La démocratie se définit comme le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple. C’est dans ce contexte aussi que les internautes font leurs devoirs de citoyennetés à travers les pseudos patriotes qui n’accepteront jamais que notre gouvernement ou un homme intègre dans ce pays soit dénigré par les médias. Parce que les autorités nous représentent tous.

  58. **** il faut aussi reconnaître que de nos jours la presse malienne est devenu l’une des presses le plus pourri de la sous-région. Cette presse est malheureusement constituer des certaine personnes que ne veut pas leurs donner l’honneur et leurs dire des journalistes. Mais Ses personnes sont utilisés par les ennemies de ce pays qui leurs serves des marteaux pilant son propre pays. Ses journalistes sont envoyer par des ennemies de ce pays qui à causes des petites sous se donnent à critiquer ou apporter des fausses analyses sur nos leaders qui ne cesse de faire pour ce pays.

    Le métier du journalisme est certes d’apporter des différentes nouvelles, de faire des analyses ou même de critiquer s’il le faut, mais le journaliste ne doit pas céder ses différentes actions pour des besoins personnels et contre le développement de sa propre nation.

  59. La presse en ligne à l'épreuve des commentaires

    Washington – Internet devait faciliter les échanges entre le lecteur et les médias. Mais avec l'explosion des commentaires violents et haineux, la presse en ligne a de plus en plus tendance à mettre un voile sur ces discussions, en attendant de trouver une meilleure solution.

    Le mois dernier, le site internet de Vice a cessé de publier les commentaires de ses internautes, estimant que "la nature incendiaire des commentaires ne fait qu'asphyxier les vraies conversations".

    De son côté, le site d'informations The Verge a expliqué en juillet "arrêter les commentaires pour un petit moment", en raison de leur tonalité qui "devient un peu trop agressive et négative".

    Ce ne sont pas des cas isolés: le Chicago Sun-Times, The Daily Beast, le site Re/Code ou encore Popular Science, entre autres médias américains, ont décidé de se passer de commentaires.

    Et le problème ne concerne pas que les Etats-Unis. La question brûlante, qualifiée par Vox.com de "guerre des flammes", a par exemple forcé le plus grand média en ligne sud-africain, 24.com, à fermer sa section de commentaires, suivi par l'Independent Online.

    "Les rédactions souffrent vraiment de ça", analyse pour l'AFP Jennifer Stromer-Galley, professeure d'études de l'information à l'université de Syracuse.

    Même si les médias "aiment l'idée du commentaire", "le mauvais côté est que quand les internautes voient beaucoup d'attaques au vitriol, même s'ils n'utilisent pas un mauvais langage, cela les éteint".

    "L'inquiétude, résume-t-elle, est qu'au lieu de renforcer la communication, vous perdez des lecteurs".

    Pour Arthur Santana, professeur à l'université de Houston (Texas) qui a conduit une étude sur ces commentaires, les rédactions tentent de réagir "face à la recrudescence des incivilités et des attaques ad hominem" et s'inquiètent de leur réputation, effrayés de devenir un lieu de dénigrement public.

    – Facebook ou des logiciels comme solution' –

    Certaines tentent de s'inspirer d'autres modèles sur internet pour tenter de réguler les "trolls".

    L'outil de Facebook, qui vérifie l'identité de l'utilisateur qui commente sur son réseau et requiert l'utilisation de vrais noms, est vu comme une solution par les groupes de médias.

    Une étude de l'université américaine de Kent, réalisée en 2013, a mis en évidence qu'en rendant ses utilisateurs "responsables", Facebook rend "moins probable qu'ils s'engagent dans une discussion incivile".

    Toutefois, lorsque le Huffington Post a mis fin aux commentaires anonymes sur sa plateforme et a commencé à utiliser le module de Facebook, il a fait face à la colère des internautes.

    En créant des obstacles à la libre publication, "vous perdez de nombreux commentateurs", explique David Wolfgang, chercheur en journalisme à l'université du Missouri.

    "Si votre média local ne procure pas d'espace pour cette conversation, qui le fera' Cela ne fonctionne pas toujours comme on le souhaite, mais cela ne signifie qu'on doit le jeter", estime-t-il.

    Les plus grands médias emploient bien souvent des équipes de modérateurs, chargées d'éviter tout dérapage dans les commentaires. Mais cela ne suffit pas toujours et, faute de budget, tous les médias en ligne ne peuvent se le permettre.

    Ils se tournent alors vers la technologie, notamment des logiciels qui promettent de faire le tri automatiquement pour assurer un débat sans violence ni commentaires haineux.

    Le Washington Post et le New York Times participent par exemple à un projet lancé par la fondation Knight, qui cherche à créer un logiciel adapté pour les sites d'informations.

    Le directeur des projets d'informations digitales pour le Washington Post, Greg Barber, considère que la "civilité est un enjeu pour tous", précisant que son journal reçoit quelque 8 millions de commentaires par an et a du mal à préserver un ton cordial simplement grâce à ses modérateurs.

    "Si (des internautes) lisent une discussion raisonnée, ils voudront contribuer d'une manière raisonnée", estime-t-il.

    Les responsables du projet sont en contact avec des publications intéressées par le logiciel dans 25 pays. Il devrait être disponible pour des tests en janvier 2016, selon M. Barber.

    "Il ne s'agit pas juste d'enlever la boue de nos bottes", insiste-t-il, "mais de trouver et de souligner les contributions qui ont de la valeur.

    A bon entendeur!

  60. je condamne ces insultent, mais je me dis aussi que si chacun de nous jouait son rôle, rien de cela n’allait nous arriver. De vous à moi, nous sommes tous conscient de l’évolution de la presse malienne. Personne n’est à l’origine de ce malheur qui nous arrive aujourd’hui, c’est plutôt nous même. Nous avons bafoué le sens de ce métier. A présent il reste à savoir si les journalisme n’est pas devenu un champ de marché pour ses pratiquants.

  61. Une opposition ***enragée et accompagnée par des journalistes ***. Je pense que quel-qu’en soit notre position dans le pays chaque citoyen est tenu de faire tout pour faire avancer le pays et non de se battre pour l’enfoncer dans le gouffre pour ses intérêts perso.

  62. La presse malienne est actuellement plus terroriste que les hommes armés. Il est temps que le gouvernement revoit les privilèges de la presse sinon nous courrions derrière un grand risque.

  63. Menace sur l’avenir et la survie de notre pays. Quand les journalistes ne sont plus conscients de la situation du pays et de l’avenir de nous les enfants à cause de leurs fins personnelles au profit des hommes politiques. Que Dieu nous sauve !!!

  64. Informez les gens et foutez nous la paix avec sottises. Vous passez le clair de votre vie à insulter des honnêtes gens; à salir gratuitement la réputation des cadres dignes de notre pays. Il suffit d’une toute petite réaction contradictoire, pour vous amener à crier sur tous les toits des bobards, tels, des ”jeunes payés par le régime”, ”des missionnaires de Koulouba sur le net”… Patati Pattata!
    Vous devez vous former d’abord, d’ailleurs dans ce article, on ne comprend rien de cette expression, 3ème ligne du chapeau: “Le Mali qui a jusque-là était un modèle dans la sous-région en matière de liberté de la presse va-t-il ternir cette bonne image ? 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

  65. Il est vraiment gonflé ce journaleu de youssouf cissoko! Vous pensez que vous avez le monopole de la réflexion et de l’analyse en affirmant que vos contradicteurs” n’avancent jamais des arguments convaincants pour apporter la contradiction aux allégations et autres preuves avancées par les journaux et les leaders de l’Opposition.” Moi je dis tout simplement que vous êtes à la fois pathétiques et puérils!

  66. M. le journaliste je suis 100% d’accord avec ton analyse, des im- beciles casqués de se disant pro IBK qui plonge sur tout les articles qui ne sont pas d’accord avec un président pédant qui utilise les milliards maliens pour son plaisir : les voyages. Comme dit IBK “Allah ka tiè dèmè”, pour la postérité il serai le plus mauvais président que le Mali n’a jamais eu !!!

  67. Monsieur Youssouf Cissoko: c’est plutôt les journaleux comme toi qui sont payer par l’opposition pour vociférer des inepties dans la presse qui sont pris a partie par les internautes. Quand vous cesserez d’être des sous hommes avec une mentalité d’éternel assistés, les internautes cesserons de vous enculez

  68. Ces journaleux pensent pouvoir faire la leçon à tous. Chaque matin, vous vous servez de votre torchon pour insulter et vilipender des honorables citoyens qui ont donné du mieux qu’ils peuvent à ce pays.
    Commencez par balayer devant votre rédaction en évitant de déverser votre haine injustifiée sur les gens.
    Minables scribouillards de INFO@SEPT, vous pensez que les maliens ne connaissent pas les commanditaires vos diatribes.
    La liberté d’expression ne signifie point la diffamation, la hargne contre son prochain.

  69. Ce ne sont pas seulement ces insultes qui mettent en péril la liberté d’expression , également il y a des presses ( ou revues ou journalistes amateurs ) . Une presse ( ou vrai journaliste ) informe mais ne déforme pas les informations , avec tous les risques du métier. Souvent nous lisons des petites histoires enfantines dans certaines presses . Le pire est que les auteurs utilisent des termes VULGAIRES ( et vraiment TRES VULGAIRES ) pour raconter ces histoires insensées . Si , c’est pour raconter des histoires , ils feront mieux de se convertir en écrivains de romans, bandes dessinées et autres que de se dire journalistes . Le journaliste est différent de l’écrivain . Sauvons notre DEMOCRATIE . Merci

  70. Après Ambèkadafa, Nofolo, le jeune rappeur malien, Luka GUINDO, non moins producteur, prépare son troisième album intitulé «Malikadi». En prélude à la sortie officielle de cette œuvre, prévue pour le mois prochain aux USA, Luka GUINDO a convié, le mardi dernier, des hommes de médias, dans son studio «Luka Production», à Korofina-Sud, pour donner un avant-gout de son nouvel album et faire le point de ses projets.

    Dans ce nouvel opus, l’artiste invite les jeunes générations au respect de toutes les institutions de la République, à commencer par le Président.
    Pour Luka GUINDO, c’est une obligation au regard de nos valeurs culturelles, sociétales, voire des principes religieux qui font du respect du «Chef», un devoir pour le citoyen.
    Dans le contexte actuel, cet album se veut une contribution au grand débat politique, actuellement en cours, dans notre pays où un leader politique, accusé d’avoir «manqué de respect» au Président de la République, est vigoureusement défendu par ses paires de l’opposition au nom de la liberté d’expression.
    «IBK a été élu par une majorité de Maliens à la suite d’une crise, pour cela il faut être patient avec lui», a défendu le jeune rappeur visiblement indigné par les nombreuses attaques contre la personne du Président.
    Mardi dernier, l’artiste a présenté son nouveau single intitulé “Malikadi” à la presse dans son studio à Korofina.
    Dans un titre intitulé «Gnèmabognan», l’artiste-producteur exige le respect des institutions et du président de la République.
    «Le Président est la première Institution du pays, de ce fait son respect est un devoir pour tous», a-t-il soutenu. Avant d’ajouter que qu’il est important aujourd’hui de rappeler le processus qui a abouti à l’élection du Président IBK, à savoir la crise du nord.
    «Je crois que la résolution de cette crise est un processus de longue haleine ; il faut du temps au Président», a-t-il jugé.
    L’artiste-rappeur s’est dit très déçu de constater, à chaque fois qu’il va sur la toile, que le Président de la République fait l’objet d’attaques de tout genre de la part de certains internautes et dans des articles de presse.
    Pour Luka GUINDO, on peut critiquer l’action du Président, sans pour autant l’insulter ou le traiter de tous les noms d’oiseau.
    Tout au long de son exposé, l’artiste s’est défendu de toute appartenance à un parti politique. Cependant, a-t-il reconnu, en tant que citoyen, l’artiste a le devoir de s’acquitter de ces devoirs civiques.
    En apprentissage auprès des vedettes comme Ismaël DOUCOURE dit Master Soumi, Mylmo ou encore Penzy, Luka GUINDO estime que le rap malien a de belles perspectives avec l’engagement de la jeune génération et la disponibilité de la vieille garde.
    Mais, au-delà du plaisir, un devoir de conscientisation s’impose. «Ça me fait la peine de voir notre génération proférée des injures dans leur rap», a-t-il insurgé.
    Selon lui, les injures sont contraires à vos valeurs sociétales.
    Influencé par les textes des précurseurs du rap au Mali, notamment le groupe Tata-Pound et autres, Luka GUINDO a choisi, en 2010, la musique pour libérer ses angoisses, aspirations et visions dans un genre musical : «rap conscient».
    Sa collaboration avec les aînés du Hip-hop malien lui a valu un coup de pouce important. C’est ainsi qu’il a été plusieurs fois sacré par des trophées. Toutes choses qui lui ont permis de côtoyer l’ensemble du mouvement du rap conscient malien et américain.
    «En m’inspirant de leur modèle, je veux aller de loin», déclare-t-il.
    L’ambition de Luka est de faire la promotion de nos instruments traditionnels dans le rap partout à travers le monde entier.
    Pour le rayonnement du rap malien, il a invité ses jeunes collèges à s’inspirer de nos instruments traditionnels dans la composition de leur musique.
    Dans les perspectives, le jeune artiste de 24 ans se prépare pour le festival urbain de la musique qui aura lieu les 4, 5 et 6 décembre prochain en Suisse. Révélé au public malien à travers son titre «Tchatio», Luka GUINDO a, déjà à son actif, deux albums, à savoir : Anbekadafa et Nafolo.

    Par Abdoulaye OUATTARA

  71. La convention de la majorité présidentielle du Mali en France appelle l’opposition de notre pays à s’inscrire dans un débat plus constructif et responsable, non seulement pour renforcer la démocratie dans notre pays, mais aussi pour relever son niveau.

    Pour que le débat politique prenne de la hauteur, il ne doit point se faire autour de la personne du Président de la république, mais de son programme politique.
    La démocratie exige à tous les Partis républicains, le respect de toutes les institutions de la république dont la présidence en est la première par excellence.
    Tous les Partis politiques dans notre pays, de l’opposition comme de la majorité, quelque soit leur divergence dans le débat politique et public, doivent s’unir autour d’un point commun : l’Unité et la Défense de la République.
    Sous la présidence de SE Ibrahim Boubacar Keita, le Mali vient d’être honoré à travers sa visite d’État historique du 20 au 24 octobre 2015 en France, dans laquelle les drapeaux maliens ont illuminé la plus belle avenue du monde durant plusieurs jours.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, la signature et la mise en oeuvre de l’accord de Paix ont pu se réaliser, la réconciliation nationale est en marche.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, l’économie malienne a enregistré sa plus forte croissance depuis plusieurs années.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, l’agriculture a été renforcée par les efforts déployés en faveur des paysans, à travers l’octroi des intrants agricoles subventionnés, les équipements hydro-agricoles et les tracteurs.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, plus de 72000 emplois durables ont été créés en deux ans.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, la riposte a été immédiate pour lutter et éradiquer l’épidémie de la maladie à virus Ebola qui a semé le deuil et la psychose dans la sous région.
    Sous l’autorité du Président de la république, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita, le Mali a retrouvé sa place dans le concert des nations, etc.
    D’une part, la convention de la majorité présidentielle du Mali en France condamne avec la plus grande fermeté les pratiques malveillantes de certains membres de l’opposition qui visaient à saper la visite d’État du Président de la république, donc du Mali. Ces comportements irresponsables ne sauraient grandir leurs auteurs.
    D’autre part, elle réitère son soutien indéfectible au Président de la république du Mali, Chef de l’État, SE Ibrahim Boubacar Keita et à son Gouvernement.

    PARIS, LE 31 OCTOBRE 2015
    POUR LA CONVENTION DES PARTIS DE LA MAJORITÉ PRÉSIDENTIELLE DU MALI EN FRANCE
    SON PRÉSIDENT,
    M. DEMBÉLÉ BOUBACAR SIDIKI

    • Mon cher, on dois réellement se poser la question si tu es malien, sinon si tu veux le bien du mali. C’est parce que tu ne vie pas au pays que tu critiques ceux qui veillent sur la bonne marche de la démocratie malienne. Tu penses que tu peux dilapider l’argent du contribuable de ton pays de résidence (France) et rester sans être inquiété? Continuer à réclamer votre part du gâteau ça n’engage que vous mais il est tant que le contribuable malien contrôle et critique la mal gouvernance et la délinquance financière. C’est vraiment une honte pour le mali de voir ceux qui ont eut la chance de sortir du pays et qui ne font que ce moquer de ce peuple a cause des intérêts partisans. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  72. L’OPPOSITION CE N’EST PAS UNE INFAMIE
    Venant à la suite de la loi n° 95-073 du 15 septembre 1995 abrogée et remplacée par la loi n° 00-047 du 13 juillet 2000, toutes portant son objet, le Statut de l’Opposition a clairement pour objectif affiché « de contenir le débat politique dans les limites de la légalité et d’assurer l’alternance démocratique au pouvoir ». Toutes choses qui excluent de son champ d’application les invectives, les injures grossières et les dénonciations calomnieuses auxquelles on assiste hélas aujourd’hui.
    Point de raccourcis avec la loi prenant prétexte de l’exercice des libertés publiques. En effet, aux termes de la loi votée le 19 février 2015 portant Statut de l’opposition politique (loi promulguée par le 4 mars 2015 et qui a fait de Soumaïla, en vertu d’un décret du président IBK le 10 juin 2015, chef de file de l’Opposition — nul ne parle de sinécure —) « … constitue l’opposition politique tout parti politique ou groupement de partis politiques qui ne participe pas au gouvernement et ne soutient pas l’action gouvernementale. Elle est parlementaire ou extraparlementaire ». (article 2). Même si en vertu de l’article 6 de la même loi, « tout parti politique appartenant à l’opposition politique peut soutenir l’action gouvernementale ou participer au gouvernement. Dans ce cas, il perd d’office sa qualité de parti politique de l’opposition politique et fait une déclaration publique ».
    Le nouveau Statut de l’opposition lui confère des droits et plusieurs garanties auxquelles nul ne peut porter atteinte a fortiori élaguer. Dura lex, sed lex ! Au nombre de ses droits et privilèges, l’opposition a pleinement accès aux médias d’État au même titre que la Majorité, elle peut être consultée (elle doit l’être – elle l’est —) sur les grandes questions de la nation. Mieux, aucun de ses membres ne peut faire l’objet de discrimination, de sanction administrative ou d’emprisonnement en raison de leurs opinions ou appartenance politiques.
    En contrepartie de ces droits légaux, l’opposition, dite républicaine et démocratique, a aussi des devoirs légaux, découlant de ce même statut. La loi est claire et expresse : les partis politiques de l’opposition ont aussi des devoirs. Ils doivent respecter les autorités légalement établies ; œuvrer à l’instauration d’une culture démocratique par l’information, la formation et l’éducation des citoyens ; veiller au respect des principes de la souveraineté nationale, de l’intégrité du territoire, de la forme républicaine de l’État, de l’unité nationale et de la laïcité de l’État. Ils doivent également cultiver le principe de la conquête démocratique du pouvoir, l’usage de la non-violence comme moyen d’expression de la lutte politique et le respect de la règle de la majorité et défendre les intérêts supérieurs de la nation.

    Mais à quoi assiste-t-on aujourd’hui ?
    De l’excès et de la démesure ! Attaques systématiques contre l’État, traité de tous les noms ; injures quotidiennes sur le Chef de l’État dont la famille est traînée dans la boue, partout et en tout temps. Que reste-t-il à entreprendre contre IBK et son régime ? Prendre les armes comme ce vieux combattant de la clandestinité l’avait préconisé au cas où ses adversaires venaient à gagner les élections ?
    C’est difficile l’opposition, mais ce n’est pas une infamie. Et la politique pour paraphraser François Bayrou, ce n’est pas la guerre civile. Nous sommes tous fils de ce pays. Les hommes passent, le Mali demeure, la roue de l’histoire tourne. Et n’oublions pas qu’hier c’est IBK qui était à l’Opposition. Si de 2002 à 2012, il avait fait comme on le fait aujourd’hui, l’histoire du Mali se serait racontée autrement.

    LA QUALITÉ DES DÉNONCIATEURS

    Le parcours sulfureux de certains leaders de l’actuelle opposition devrait les conduire moins de véhémence, à plus de prudence, de précautions en tout cas de profil bas dans leur délire dénonciateur du régime. En effet, outre qu’ils savent plus que tout autre ce que c’est d’être au pouvoir (et le faisaient bien en emprisonnant les journalistes qui dénonçaient leurs turpitudes), l’opinion a encore en mémoire certaines affaires non encore auditée, totalement élucidées, vidées ou évaluées en terme d’impact ou de préjudice qui ne plaident pas pour un kotéba d’accusations ou de dénonciations sans preuve. Par exemple :
    — celle de la mise à genou de la CMDT cannibalisée
    — celle des régions arides et semi-arides
    — celle du sommet France-Afrique
    — celle de l’initiative riz
    — celle de l’Uemoa
    — celle du parlement de la Cédéao
    — celle des fonds issus de la vente de la Sotelma
    — celle du pompage de la BHM
    — celle du financement des logements
    — celle des projets… la liste est longue.

    En politique, l’amnésie est une piscine bien commode pour laver sa mauvaise conscience. Mais attention à ne pas s’y noyer. Ceux qui hier ont attribué des marchés de milliards à des marchands de sable pour réaliser des forages ; ceux qui, par des tours de passe-passe politique, ont été absous de leurs crapuleries financières au détriment du peuple malien ; ceux qui motus et bouches cousues (si elles n’étaient pas seulement pleines) assisté au braconnage et pillage du Mali par centaines de milliards par an ; ceux qui hier seulement volaient en plein jour et se sont enrichis effrontément et impunément… sont disqualifiés et ne peuvent jouer aux veuves effarouchées, se présenter comme le summum de la sainteté, des professeurs de bonnes vertus et de probité.
    Où étaient-ils hier ceux qui glosent aujourd’hui sur les prétendus détournements et vols, sur les scandales et les surfacturations ? Où étaient-ils hier lorsque Madame et Mesdemoiselles régentaient le monde des marchés publics, faisaient et défaisaient les grosses fortunes, les opérateurs économiques du régime d’alors ? Où étaient-ils quand on buvait du thé à la menthe à coup de dizaine de millions de nos francs ?
    Pourquoi ceux qui s’égosillent et se scandalisent aujourd’hui n’ont-ils jamais demandé à faire la lumière sur des affaires qui faisaient la chronique quotidienne du Tout-Bamako ? Ont-ils jamais demandé des comptes sur les milliards de fraude et de manque à gagner qu’égrainait chaque année le Vérificateur général, la CASCA ?
    Ne cherchez pas loin : ils étaient dans le système, ils étaient le système mafieux et corrompu qui a conduit notre pays à sa ruine et au pire effondrement de son histoire. Que pouvaient-ils faire d’autre que de garder la plus commode des complicités : le silence. Pendant près 20 ans, ils se sont tu. Personne n’a entendu l’un d’entre eux dénoncer quelle que corruption, quelle que magouille, quel que vol que ce soit !
    Les Maliens savent. Eux savent. Dieu sait !
    Pourquoi croient-ils donc que le peuple en juillet 2013 s’est mobilisé comme un seul pour plébisciter le président IBK ? Par ces rodomontades délatrices et vengeresses, espèrent-ils que le peuple va être amené à boire comme eux jusqu’à la lie l’élixir, ciguë de l’amnésie ? Non, le peuple du Mali qu’on pense duper a de la mémoire. Il demande d’abord que compte soit rendu des crimes économiques et financiers perpétrés contre lui avant d’en dénoncer d’autres. Il exige des accusateurs du jour preuve de probité et gage de moralité quant à leur responsabilité individuelle et collective dans la gestion qui a été celle du pays sous leur compagnonnage.
    Fait-on tant de bruit pour distraire les Maliens ou pour couvrir ses carences à proposer mieux.

    S’opposer, c’est dit-on critiquer, dénoncer, mais pas défoncer. S’opposer c’est contredire et contester dans la légalité (dans l’action et dans le temps), mais pas de nuire, combattre et de chercher furieusement à liquider son adversaire comme un ennemi. Pour ceux qui y sont aujourd’hui, sans y être préparé (mentalement et moralement), il ne s’agit point de la contradiction et de contestation, mais d’obstruction et d’entrave en vue d’obtenir ce qu’on n’a pas obtenu par les urnes. Dans cette mauvaise lecture, elle apparaît plus, aux yeux des Maliens, comme revancharde que comme une alternative crédible ayant pris conscience de ses fautes et crimes du passé. Quel gage de maturité et de compétence l’opposition donne-t-elle par des dénonciations brouillonnes, ses invectives et ses insultes quotidiennes. Quelle hauteur prend-t-elle si elle se limite à n’être qu’une officine de colportage de ragots et des commentateurs de presse et de réseaux sociaux ?
    Quelle différence dès lors entre ceux qui animent aujourd’hui l’opposition et les leaders de leur opposition d’alors qu’ils avaient nommée radicale ? Si ces derniers ne reconnaissent pas les institutions issues de la mascarade électorale du 11 mai 1997, Soumi et ses ouailles se refusent sans aucune raison publique de respecter les institutions aujourd’hui en place. Donc contrairement à ces derniers du COPPO (Collectif des partis politiques de l’Opposition), ceux d’aujourd’hui n’ont aucun contentieux de légitimité à faire valoir contre le régime d’IBK. Mais contrairement au COPPO qui avait tiré toutes les conséquences de la logique de non-reconnaissance des institutions, l’opposition actuelle participe bel et bien aux fonctionnements des institutions ; et ne se refuse point quelques faveurs venant du régime comme tous les cadres de l’opposition qui s’agglutinent encore à des postes hautement politiques ou ses cadres qui ne crachent pas des nominations très équivoques sous le charmant prétexte d’expérience ou de compétence.

    La vocation et la crédibilité d’une opposition ne sont point d’applaudir et d’aller à la soupe, même si d’auto décrétés opposants d’aujourd’hui avaient, on s’en souvient, gaillardement affirmé qu’ils refusaient d’aller à l’opposition parce qu’ils n’avaient pas créé leur parti pour aller à l’Opposition. Celles d’un « parti de gestion gouvernementale » ne peuvent donc l’être à travers la contestation.

    Combat pour la démocratie ou combat d’arrière-garde ? Si elle ne prend garde, notre opposition pourrait se retrouver assez vite à jouer les fantassins d’une croisade par procuration qui est loin d’être la sienne et de sa vocation politique. Du TSI (Tout sauf IBK) d’hier à l’acharnement sur fond de vindicte aveugle, les Maliens qui n’ont point la mémoire courte ne peuvent ne pas se poser des questions, trouver les commanditaires, ceux qui instruisent, instrumentalisent et tirent les ficelles. S’agirait-il des mêmes qui avaient juré avant-hier qu’un certain IBK ne dirigerait jamais le Mali ou de ceux qui ont promis hier que son mandat ne sera point de toute tranquillité ?
    Qu’à Dieu ne plaise !

    Par Sambi TOURÉ

    • Merci Sambi pour la limpidité de cette contribution. Curieusement, les détracteurs de IBK feignent ignorer superbement le Contrôle Général des Services Publics, organe supérieur d’investigations sur les malversations financières et matérielles. Savez-vous pourquoi? Hé bien c’est parce que Tiébilé nourrit contre cet organe une haine viscérale. Quand le Contrôle Général des Services Publics (CGSP) a mit le doigt dans la poterie pourrie de la gestion du sommet France- Afrique, le rapport provisoire envoyé à Tiébilé pour élément de réponse aux constations, a été jugé de diffamatoire et suspecté pour la destruction de l’homme. Il n’en fallait pas cette transmission des premières constatations pour que Tiébilé s’affole et dans son besoin de s’expliquer a hurlé sur tous les toits.
      Dans une tentative désespérée de se blanchir, Tiébilé a apporté aux contrôleurs du CGSP des explications fallacieuses à faire rigoler même un bambin. Cet élément de réponse de Tiébilé a été considéré par le PARENA et son Président comme seul canevas de rédaction des contrôleurs. Mal lui en pris car il avait en face des contrôleurs expérimentés qui après avoir pris en compte ce qui pouvait être justifié dans cette répréaction de Tiébilé, ont produit un rapport on ne peut plus clair. Il n’en fallut que cela pour irriter le PARENA et susciter le courroux de Tiébilé qui a tout simplement insinuer la production de deux rapports dont selon lui un falsifié, et a crié au complot contre sa personne.
      Par honnêteté morale, Tiébilé devrait se dire que son élément de réponse, ne lie pas forcément les contrôleurs qui avant d’entrer en fonction fonction ont juré de servir en dignes et loyaux serviteurs de l’Etat.
      Pour paraphraser Sambi, Sankingba dit que quand on a le pantalon troué, il faut savoir montrer la barquette ouverte des pantalons des autres. Si l’homme n’a pas honte, il doit au moins transpirer. Il faut se regarder souvent dans le miroir pour savoir qui on est.
      Tiébilé peut demander la réouverture de ce dossier déjà publié et a été grâce à la magnanimité de ATT, politiquement géré.
      Alors, il faut se garder tout nu de pêcher dans une mare infestée de crocodiles.

      VIVE LA REPUBLIQUE

  73. À peine fraîchement débarqué de Paris, où il avait reçu tous les honneurs de la République française, le président IBK est de nouveau contraint d’y retourner. Cette fois-ci, comme il y a quelques jours, le président IBK, comme invité d’honneur de l’UNESCO, sera de nouveau au cœur de l’actualité, où il bénéficiera à nouveau de la reconnaissance de la communauté internationale pour son engagement indéfectible pour la paix dans son pays. Une visite officielle qui ne manquera pas de réchauffer le landerneau politique national…

    C’est l’ambassadeur du Mali à l’UNESCO, SEM Oumar Keita, comme c’est la tradition, qui en informe les médias : le président IBK effectuera, à partir du 16 et jusqu’au 18 novembre prochain, une visite officielle, à l’UNESCO, à Paris. C’est dans le cadre, précise-t-on dans le même communiqué, de la célébration des 70 ans de cette organisation spécialisée des Nations-Unies. Il y a tout juste quelques jours, à la fin du mois d’octobre, lorsqu’il rentrait à Bamako, adoubé qu’il était par la foule nombreuse de ses concitoyens venus lui témoigner leur gratitude pour avoir réussi, au cours de sa visite d’État qu’il venait de boucler, à remonter plus haut la présence du pays sur la scène internationale, le président IBK ne savait peut-être pas qu’il aurait, dans un intervalle si court, l’opportunité d’une autre vite officielle, par laquelle c’est son pays qui en sortira encre grandi.
    Eh, bien ! C’est le cas : pendant même que sa dernière visite n’a pas encore épuisé les dernières polémiques, nées du front politique, où l’opposition tente, par tous les moyens, d’en grignoter quelques points, le président IBK a de nouveau une opportunité diplomatique qui lui est bien ouverte pour encore faire parler de lui. Et de la belle manière d’autant qu’il s’agit d’évoquer, à Paris, à l’UNESCO, ce haut lieu de la culture, un sujet qui lui tient particulièrement au cœur, à savoir la paix dans un pays de grande civilisation, comme le nôtre, où les hommes, au-delà des âges, contrairement à beaucoup d’autres aujourd’hui, à travers le monde, ont appris le vivre ensemble, comme un trait dominant de leur histoire commune.
    En témoigne d’ailleurs le programme de cette nouvelle visite qu’il va effectuer, en compagnie certainement de nombreuses personnalités maliennes, tant institutionnelles que des acteurs de la société civile, qui s’articulera sur le processus de paix au Mali, à travers l’accord de paix inclusif qui vient d’être signé par tous les acteurs nationaux. Il est donc logique que le président IBK, pour la paix retrouvée chez lui, puisse témoigner la reconnaissance de son pays à la communauté internationale. Il en profitera pour saluer les actions de l’UNESCO en faveur du sauvetage des monuments classés patrimoine mondial à Tombouctou, la restauration des mausolées de la cité des 333 saints, la conservation des manuscrits, surtout cet engagement constant en faveur de la culture de la paix au Mali.
    Le président IBK, on le sait, n’a jamais manqué d’opportunité pour témoigner la reconnaissance de son peuplé à la communauté internationale pour les efforts immenses qu’elle a déployés pour ramener la paix au Mali, en un moment où ce pays, durement affecté par une violente crise socio-politique, s’était engagé dans de dures et pénibles négociations entre ses fils, lesquelles étaient supervisées par l’Algérie, en tant que chef de file de la médiation internationale, qui a également tout donné pour que la paix soit définitivement une réalité tangible au Mali.
    Autre temps fort de cette visite : l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture a placé la célébration de son 70ème anniversaire dans le cadre de la lutte contre l’intégrisme, une question d’actualité à la faveur d’un changement dans l’ordre mondial et de la lutte féroce contre l’intolérance religieuse, note-t-on dans le communiqué transmis aux médias. Cela fait alors que la présence du président IBK à ces festivités commémoratives revêt un caractère fortement symbolique, en ce sens que l’histoire récente de son pays, telle qu’elle a été vécue par les populations maliennes, soumises à des exactions et des barbaries de toutes sortes de ces extrémistes djihadistes, peut valablement inspirer le monde dans sa quête d’une meilleure alternative contre le péril terroriste.
    Le clou de la visite à Paris : le président IBK est attendu à l’Assemblée nationale française. Là, il présidera, de sources crédibles, une table ronde sur les perspectives d’avenir sous le signe de la jeunesse en proie à l’intégrisme. En toile de fond de ces échanges de haut niveau, intéressant le monde de la culture, le cas du Mali sera débattu avec d’autres experts africains et français. « Une occasion de débattre, sans complaisance, face à un public jeune, des chercheurs et des leaders politiques, mais aussi de lancer des perspectives d’un monde meilleur », nous indique-t-on dans le communiqué de l’UNESCO.
    Une opportunité rêvée pour le président IBK, homme de dialogue et de paix qu’il est, d’être en relation directe avec les jeunes du monde, où il lui sera plus loisible de parler, en face d’eux, les problèmes d’éducation et d’emplois qui lui tiennent à cœur pour bâtir un monde meilleur.

    Par Sékouba Samaké

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