Le coordinateur du Cadre de concertation des directeurs de publication (CCDP) et non moins père fondateur a rendu public le samedi 28 janvier 2017 à son nouveau siège sis à Moribabougou, le bilan annuel du Cadre. Cette publication est devenue une tradition. Car, la vivacité d’un regroupement ne peut se mesurer que par le nombre d’activités qu’il mène et des résultats qu’il obtient. Selon le Coordinateur Aboubacar Bany Zan, le bilan permet de mesurer le chemin parcouru, en vue de se projeter dans l’avenir.
Les activités menées en 2016 se résument à l’obtention d’un siège pour le CCDP à Moribabougou en novembre, la confection et diffusion d’un magazine sur l’Assurance Maladie Obligatoire en novembre, l’adhésion de nouveaux membres en décembre, la participation à un atelier de formation sur le leadership en matière associative en décembre à Moribabougou, la participation à deux journées d’échanges avec des partenaires à Koutiala sur les activités du CCDP en décembre, la participation aux différentes réunions de la Maison de la Presse avec les faîtières des associations de presse écrite janvier, mars,
la distribution en juin à l’occasion de la fête de Ramadan de la viande aux membres du CCDP à la veille du mois de ramadan en mai dernier, la distribution d’un sac de sucre et 50 000 aux membres réguliers du CCDP. A ceux la, il faut ajouter l’organisation avec l’appui du partenaire Canam de deux Journées d’échanges à Koutiala en mai 2016. Plus d’une trentaine d’hommes de médias (télés privées, radios et presse écrite) y compris les membres du CCDP ont pris part à l’activité. Une véritable réussite selon les participants. Ce qui vu la publication de spots radios publicitaires sur l’activité à Koutiala, distribution de casquettes frappées des logos Canam- CCDP, la réalisation d’un magazine sur ladite activité, rédaction et dépôt du rapport auprès du partenaire Canam
Comme toute organisation, des difficultés subsistent. Au CCDP, « nous pouvons souligner le non-paiement des cotisations, difficultés pour des membres à participer pleinement aux activités du cadre ».
SEYNI TOURE
