Le Comité de protection des journalistes (CPJ), une ONG internationale de défense de la presse, a publié vendredi 20 juillet 2018 son rapport d’activités du premier semestre 2018, dans lequel il est mentionné que 34 journalistes ont été tués au premier semestre de cette année. Un chiffre qui, selon cette organisation, est en baisse par rapport à la même période de l’année dernière.
Ils ne sont plus là, dans leurs différentes rédactions. Il s’agit des 34 journalistes tués ces six derniers mois de l’année 2018 à cause de leur engagement d’informer le monde sur tout ce qui se passe.
L’ONG Comité de Protection des Journalistes (CPJ) a publié sur son compte twitter ce bilan, en faisant cas des zones criminogènes pour les hommes de médias. Il faut souligner que le Moyen-Orient occupe la première place parmi les zones les plus dangereuses pour les journalistes.
Cependant, il faut noter que le bilan reste positif, puisqu’il est largement inférieur à ceux des années précédentes, notamment l’année dernière où il y a eu 50 journalistes morts au premier semestre contre 74 au premier semestre de 2016.
Il va de soi que les efforts des organes de défense portent fruits. Espérons que les chiffres baissent davantage pour permettre aux journalistes d’exercer leur métier en toute liberté partout dans le monde.
YAWO ATIAH