Le Matin : rnDeux ans de présence dans la grande famille de la presse

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Chaque chose en son temps Waati, a décrété la sagesse. C’est ainsi qu’il a fallu attendre l’an de grâce 2009 pour voir sortir des limbes obscures de L’Aurore et atterrir dans l’espace médiatique, Le National, un Ovni (Organe Volant Nettement Instructif) remarquable.

Nom de Code, Le Matin. Quel  Kabako, et quel Dabaliban que de voir un si jeune canard franchir tant d’espace en si peu de temps. Tel Le Challenger, qui servit une excellente rampe de lancement (quoi de plus normal pour une base spatiale supervisée par un B. hdr qui n’a rien à envier aux stratèges de kourou ou de Cap Canaveral), il se mit à voler haut et voguer à  la découverte du Nouvel Horizon de la pratique professionnelle en espérant toucher Le Zénith (Balé bien sur!) du métier. Cependant, pas de grosse tête et n’allons pas si vite en besogne.

En effet, il est encore tôt de pousser Le Cocorico de la bestiole vaniteuse et triomphalisante, d’imiter  Le Coq (gaulois) qui se hisse sur ses ergots pour fanfaronner sur tout Le Continent et ameuter  tout Le Monde-Douniya sans raison valable.

 Si bien que Le Politicien (Musulman) se met à s’inquiéter et avoir peur que L’Inspecteur ne surgisse pour le conduire dans Le Prétoire ou alors l’exhiber dans Le Canard Déchainé. Mais petit à petit, l’oiseau fait son nid. Mais, à force de se lever tôt, d’être  sur pied bien avant  Le Matinal, de se dresser depuis L’Aube et le travail assidu qui débute depuis les premières lueurs de L’Aurore et qui attend Le Soir (de Bamako) pour retrouver le second souffle, l’espoir est permis. Trimer encore et toujours afin que notre Info (du) Matin soit la plus éclairante et la plus édifiante possible. Souhaiter et espérer que le petit canard soit L’Indicateur du Renouveau de la jeune garde médiatique, continuer à  s’enraciner comme Les Echos du temps qui passe et qui laisse ses sillons, comme L’Indépendant qui plane dans les cimes, comme Le Républicain qui a une certaine idée de la démocratie, comme La Nouvelle République qui prône le changement, comme L’Inter de Bamako qui aura été L’Annonceur de la force de frappe au féminin et comme Le Patriote qui plie mais ne rompt jamais ( n’est pas le chauve qui sourit toujours), et comme tous les autres qui ont essayé ou qui continuent à le faire.

 

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Le vœu est  que Le Progrès et L’Essor et le succès soient les montures de tous les organes frères présents (ici) ou absents (ici) qui constituent Le Flambeau de la démocratie au Mali. Ils sont tous unis dans la destinée, de la trajectoire et du devenir. Et de  toutes les façons, Le Défi est lancé pour nous tous au même pied d’égalité mais Le Potentiel existe. Le (coup de) Pouce est donc attendu du tout puissant pour y arriver. So God save all of us!         

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Amadou TALL

 

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