Hameye Cissé de la HAC à propos de l’année électorale 2018 : « Il y a nécessité de former les journalistes »

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Le Mali se prépare à des élections générales en 2018. Il s’agit de la présidentielle et des législatives. La réussite de ces échéances électorales est l’affaire des Hommes de médias aussi. Ces derniers doivent s’y préparer en conséquence afin de les amener à jouer leur rôle d’informateurs et d’éducateurs de la société. Ces mots sont de Hamèye Cissé de la Haute Autorité de la Communication (HAC) qui  invite la presse malienne à se former.

Une presse libre et bien formée joue un rôle prépondérant dans la cohésion sociale. Le Mali post crise a besoin d’une presse digne de ce nom pour sortir définitivement de l’ornière. A cet égard, la formation des journalistes est un levier important permettant de pacifier la société.

Hamèye Cissé de la HAC invite la Presse malienne à se former afin qu’elle puisse pleinement jouer sa partition.

Le besoin est plus pressant pour l’année 2018 où le Mali se prépare à organiser des élections générales (présidentielle et législatives). Une bonne préparation de ces échéances épargnerait le pays d’une seconde crise. Pour ce faire, la presse a son mot à dire dans ce processus. Il s’agit d’informer et de sensibiliser les citoyens sur les enjeux de ces élections.

Pour amener la presse à jouer ainsi son rôle, elle a besoin d’être formée. C’est à cet exercice qu’invite le Doyen de la presse malienne aux jeunes générations qui évoluent dans le domaine.

Hamèye Cissé invite les partenaires à assister la HAC, à accompagner les journalistes dans la formation. Cela pour réussir les élections de 2018 ayant des enjeux multiples qui sont, par exemple,  de tourner définitivement la douloureuse page de l’Histoire du pays de la crise politico sécuritaire et la mise du pays sur la voie du développement. Vœux chers à tous les Maliens pressés de sortir de ce marasme politico-économique. Comme le disait feu Ibrahim Famakan Coulibaly : «Un Journaliste mal formé est un soldat en état d’ébriété total qui tire sur tout ce qui bouge ».

Ambaba de Dissongo

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