Depuis le mercredi, 6 mars 2013, notre confrère, Boukary DAOU, Directeur de publication du quotidien LE REPUBLICAIN, est arrêté et détenu à la Sécurité d’Etat.
Pour ne pas envenimer la situation et ajouter la crise à la crise, comme le souhaite visiblement la Sécurité d’Etat, les trois associations professionnelles patronales, le Groupement patronal de la presse écrite, l’Urtel et l’Assep, ont privilégié la médiation.
Dans ce cadre, les trois associations ont rencontré aussi bien le ministre de la Communication porte parole du gouvernement que le Premier ministre, Chef du gouvernement qui, chacun, a promis de s’investir pour la libération rapide de notre confrère depuis le jeudi 7 mars
Cependant, après trois jours de mise sous surveillance policière du siège du Républicain et les tentatives d’arrestation d’autres membres de la rédaction, les associations professionnelles patronales de la presse, après avoir épuisé tous les recours, en appellent à la sagesse et au sens élevé de l’Etat chez ceux qui se transforment en ennemis de la presse.
Depuis l’éclatement de la crise, la presse malienne s’est montrée très responsable malgré les harcèlements, les intimidations et les multiples interpellations par la Sécurité d’Etat. Nous ne voudrions pas que certains viennent faire en sorte que, au plan international, notre pays soit encore mis au ban des pays liberticides. C’est pourquoi nous dénonçons ces pratiques et nous nous réservons le droit d’entreprendre toutes actions si notre confrère n’est pas libéré.
M. le journaliste nous vivons sous l’ etat d’ urgence et on ne peut pas se permettre de faire des commentaires susceptibles de troubler l’ ordre public en temps de guerre. Cela est inacceptable. En temps de guerre je prefere la securite a la liberte de presse.
avec cette histoire d’etat de siége ,la junte et son clan peuve se mettre tout acte de vandalisme, comme le mali est en guerre remplice vous les poche faite de l’argent du peuple votre matela et que perssone doive en parlé,
tout acte vandalisme des rebelles masque se fait sur le dos d état de siege
@noumouke
Là où les auteurs du coup d’état ne respecte pas leur engagement vis à vis du pays et de la nation, je ne crois pas qu’une revendication puisse troubler l’ordre public.
Justement certains journaliste ne valent pas mieux que les auteurs du coup d’ etat . Liberté d’expression ne signifie pas troubler l’ ordre public en publiant des articles susceptibles de demoraliser les troupes au front . Je crois qu’il est temps pour les journaliste aussi de resaissir et eviter d’empoissoinner d’avantage les consciences.
et oui ce flis de put contune de a ret les journalit pour koi par ce que il dit la vrt me svp ton toure viendra se la mort
Mon cher…
Même si elle doit mener a la fin du monde … les libertés des individus doivent être respectées ….
Ta mentalité est exactement la raison pourquoi on en finira jamais avec les conneries dans notre pays … tu vas probablement nous dire que tu préfère la SÉCURITÉ À L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE …
Il y’a lois et textes du pays à respecter un point c’est tout ….
Notre MALÉDICTION VIENT DE NOUS MÊME….
APPELER QUELQUE CHOSE “LIBERTÉ” … ET ACCEPTER QU’ELLE SOIT COMPROMISE ET NOM DES BOBARDS … RELÈVE DE LA PURE STUPIDITÉ …
Dis moi qu’il y’a textes qui ont été violé … SINON….
Moussa Ag,…
Tu as raison mais les imbeciles ne te comprendront jamais car c’est bien le desordre total qu’ils veulent voir dans notre faso. Ils pensent que ledit desordre est le seul moyen pour eux de recuperer le pouvoir qu’ils ont lachement spolie’ et perdu!!!
SALUT CAPI…
TU PARLES DE TON TONTON ATT ICI…OU DE QUI???
TU ES LE SEUL SUR LE FORUM…EN CE QUE JE SACHE…QUI EST DIRECTEMENT LIE A ATT ET TA TANTIE LOBO….
DONC….
BON…C’EST SAMEDI…ON N’EST ENSEMBLE….
IMBECILE VAUT DES FOIS MIEUX QUE MALHONNETE INTELLECTUEL….
Moussa Ag,…toujours content de lire les CRAPS DU CAPI…FULL OF IT BUDDY…!!!! SO FULL OF II…!!!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Monsieur, il sera vraiment bien pour toi d’aller chercher la définition de l’état d’urgence et faire la comparaison avec l’intégrité territoriale. Le front a vraiment besoin de ces militaires là, Idriss Déby les réclame dans l’addrar des Iforas.
Nous soutenons la presse malienne et la liberte d’expression a 100%. Abas l’opression dans toutes ses formes aussi bien que tout acte dictatorial.
Mr Daou n a fait que son travail. Quit aux autorites maliennes de faire recours au meme media pour se justifier ou presenter des escuses en promettant de revenir sur leur decision car elle n’a pas ete du tout bien analysee prealablement.
S’il y a eu atteinte a la serete de l’etat, alors le gouvernement fut le premier a agir dans ce sens.On n’encourage pas le desordre ou n’importe quelle violation, car cela servira de precedent a d’eventuels fauteurs de troubles.
Sur cela nous demandons la liberation prompte et inconditionnelle de Mr Daou.
Merci
ces journalistes là sont pûr que les politiciens Malien, ils sont tous du même race, perturber ce pays parce que on arrive plus à voler l’argent du pays et leur donner, ces fameux journalistes vivent au dos de ces politiciens, tout ceux qu’ils écrivent dans les journaux sont dictés par ces politiciens ennemis du pays.
Mais vous aller voir, rien n’a commencé d’abord, naigre coucher main tendu, au lieu de songer à la sécurité de ce pays vous êtes là à faire des perturbations, Les militaires français vont se rétirer, on verra , vos militaires sont là même des véhicule 4×4 de terrain pour le nord, ton armée n’a pas ça, au lieu de critiquer ces politiciens qui ont tous voler, qui circulent dans les véhicules de 100 millions.
Est ce que vous n’avez pas honte? quand on critique la gestion du mali dans les chaines internationales, surtout nos soldat leurs équipement par rapport à ceux, du Tchad vous n’avez pas honte? un vrais malien doit avoir honte. Mais comme vous n’avez plus
Tu oublies que cette bande de brigands de Kati (CNRDRE), après leur forfait au lieu de doter l’armée d’engins et de matériels pour le nord est devenu meilleure cliente des usines de véhicules de grosses cylindré V8. Pratiquement tous les V8 et autres véhicules de grosses cylindrés sortis d’usines appartiennent aux membres de l’ex CNRDRE. Vous êtes aveugles ou quoi ? Donc foutez la paix aux seuls politiciens.
Est ce que ce monsieur est un journaliste? liberté de presse ne veut pas dire de démotiver les peuples et les militaires dans cette période.
se sont ces négociations qui ont fait ce pays, un pays sans autorité, un pays laisser comme ça,ou chacun dit du n’importe quoi, ou chacun pense que tout est permis. ces mendiants journalistes ils ont vu ça dans quel pays. Ecrire du n’importe quoi dans ces chiffons le Ministre de la communication a été claire, il ne faut pas démotiver les militaires et le peuple dans cette période très critique.
Ce soi disant journaliste doit être juger et condamner. Il faut une autorité dans ce pays.
Il faut entreprendre tout ce que vous pouvez.
Vous trouverez le peuple devant vous,ça ne sera plus comme avant.
De quel droit ,vous menacez le peuple.
Il faut tenter ,vous allez voir.
Vous êtes plus pire que les djihadistes.
On vous a trop permis.
On vous a laissé detruire ce pays a
c’est toi qui verra inculte
Mes félicitations liffif.
Si vous êtes adepte de la dictature tant mieux pour vous. Ne parler pas au nom du peuple, car les citoyens maliens veulent s’informer sur les turpitudes de leurs responsables politiques et militaires. Ce pauvre journaliste n’a fait que son métier. Si la SE travaille avec intelligence au lieu de pratiquer la répression qu’il mène une enquête pour retrouver la source du journaliste. N’oublier pas que ce sont les soldats d’un pays où la liberté de la presse se pratique qui sont à l’œuvre pour libéré le Mali. Je crois pendant ce temps, si nos soldats peines à se montrer à la hauteur de la tâche, de grâce ne donnons pas l’image d’un pays où les militaires s’évissent en toute impunité.
Nash bonne reponse
quil dise au solda du front que ses faut qu’ils dise le contraire .mes sî ses vrais qu’ils ferme leur bouche ou qu’ils dise que ses pour leur recompensse .et dite qu’un coup d’État est toujour la bien venue pour qui veut avoire tout gratuit au Mali
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