Focus sur le personnel de la rédaction du journal Ces dames qui font « le Sursaut » de sa création à nos jours

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Dans le cadre  de la publication du 200èmenuméro de notre journal « Le Sursaut », nous avons jugé nécessaire de vous présenter  le personnel de la  rédaction qui travaille sans relâche pour que nos fideles lecteurs aient des bonnes informations. Constituée majoritairement de femmes, la rédaction du Sursaut est comme une famille. Sept jours sur sept, l’animation quotidienne ne faiblit pas. Ces dames qui habitent toutes très loin de la rédaction font preuve d’assiduité au travail, grâce à l’amour du métier et le courage, elles sont toujours présentes au journal, telle la rédaction d’un quotidien. Que sont-elles ?

 Maimouna Sidibé : la rédactrice en chef ‘’religieuse’’

Si ‘’Le Sursaut’’ était une mosquée, indubitablement, c’est elle qui allait diriger la prière collective. Profondément ancrée dans la religion, reconnaissable à travers son accoutrement voilé, Maïmouna Sidibé, malgré sa santé fragile se donne à fond et avec sérieux dans ce qu’elle fait. Détentrice d’une Maîtrise en Lettres Modernes à la Faculté des Lettres et  Sciences du Langage et résidant à Kati-Malibougou,  elle est la rédactrice en chef du journal, qui veille sur un moindre détail rédactionnel de ses collègues. Nantie d’un diplôme approfondi de la langue française  (DALF) de l’institut français du Mali, elle a fait plusieurs formations dans le domaine du journalisme. C’est pourquoi, elle allie facilement le journalisme en reportage d’images et montage, l’animation télé avec le travail de la presse écrite. De son Kati natal, à Bamako toute information a de la valeur pour Maimouna Sidibé. Gardienne du temple, c’est elle qui veille sur la bonne tenue des locaux de la rédaction, le partage des tâches pour la couverture des évènements  et la rédaction des papiers d’actualité. Pièce maîtresse de l’Association Ciné Droit Libre du Mali, elle est membre du Réseau des Femmes Journalistes Reporters d’Images et de Montage(JRI) du Mali.

Fatoumata Coulibaly : la passion du journalisme dans le sang

Résidente à  Doumanzana Nafadji, et étudiante finaliste en Master 2 à l’Université catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO), option journalisme communication, Fatoumata Coulibaly, a le métier de la communication dans le sang. Fille benjamine de feu  ‘’Coulibaly’’ de l’émission ‘’ voix du cœur ’’ de Tonton Lamine sur la radio Klédu, Fatoumata Coulibaly est la reporter-maison du journal. Elle ne ménage ni son temps, ni sa santé pour représenter le journal aux différentes activités auxquelles nous sommes invités. Elle incarne le courage et la bravoure féminine pour suppléer l’absence d’homme reporter dans la boîte. En plus de ses études à l’UCAO, elle a suivi plusieurs formations dans le domaine du journalisme, comme la formation des journalistes en data journalisme et analyse des données organisées à Ouaga, la formation sur les droits de l’homme et le journalisme d’investigation.  Elle aime la lecture et l’écriture, d’où son attachement au journalisme de la presse écrite, contrairement à son défunt papa qui était un homme de radio. Elle détient aussi une Maîtrise en droit des affaires de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques.

 Mariam Sissoko : l’amour d’écrire au-delà des faits divers

Dotée d’une silhouette imposante et d’une capacité rédactionnelle salutaire, Mariam Sissoko est celle qui anime en grande partie ‘’les petites’’ huit pages du ‘’Le Sursaut’’, avec des articles, pour la plupart, de culture, des faits de société, des faits divers, mais tous tirés à la bonne source. Elle a postulé à de nombreux concours d’articles de presse, soldés de consécration.

Mariam Sissoko habite à Missira 1, mais passe des journées en quête d’informations, au niveau surtout des commissariats et brigades de police. Sérieuse dans le travail, elle est chaque jour la première à ouvrir les bureaux de la rédaction et la dernière à rentrer à la maison après avoir fait la vaisselle. Elle a une Maîtrise en Droit privé, spécialité carrière judiciaire, obtenue à la Faculté du Droit Privé (FDRI). Elle a aussi un diplôme d’études approfondies en langue française (DALF B2) du ministère de l’Education française. Comme ses autres collègues, Mariam s’est vite adaptée à la vie du journal. Une vie en communion et solidarité, malgré les conditions difficiles.

Safiatou Coulibaly : la sportive maison

Habitante de Kati Farada, Safiatou Coulibaly est diplômée en Licence de la Faculté des Lettres et Sciences du Langage, filière Lettres Modernes. Elle a suivi des formations sur le leadership féminin et sur la connaissance de nombreuses disciplines sportives. Safiatou Coulibaly aime le sport  et les activités sportives. C’est pourquoi, elle s’adonne à cœur joie dans l’animation de sa page sportive. Qu’il pleuve ou qu’il en soleille, elle est toujours sur le terrain pour couvrir des activités sportives sur le plan national et sous régional. Au sein de la rédaction, elle est l’animatrice principale pour provoquer et faire rire ses collègues, avec lesquelles, elle partage le même objectif, celui de porter le journal vers le haut.

Adama Tounkara (stagiaire)

 

 

 

 

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200ème numéro  de votre hebdomadaire d’information générale

‘’Le Sursaut’’ sous le feu de critiques objectifs!

Le journal hebdommaire d’information générale le ‘’Sursaut’’ célèbre  son 200ème numéro aujourd’hui. Presque 5 ans  de régularité et de présence dans les différents points de vente des journaux, de manière hebdomadaire (chaque lundi) avec une diversité de rubriques (faits divers, faits de société, sport, culture), cela n’est rien dans la vie d’un journal. Mais parce que nous sommes animés de la volonté de continuer, de nous améliorer qu’on a jugé opportun de recueillir les impressions et les suggestions d’un panel de personnages divers (patrons d’organisations de presse, responsables d’organes de presse, cadres des structures spécialisées en communication, nos partenaires et certains de nos lecteurs)  sur le contenu et la ligne du journal. Lisez leurs observations.

 Bandiougou Danté : président de la Maison de la presse 

«  Je suggère une diversification des rubriques et de tenir compte de la longueur des articles, car les articles sont trop longues ».

« Je félicite l’équipe de ‘’le Sursaut ‘’ pour le travail remarquable. J’admire son talent et son soif d’améliorer en prenant en compte les critiques et suggestions des lecteurs. L’éthique et la déontologie sont  respectées et l’équipe devait y veiller constamment. Enfin,  je suggère une diversification des rubriques et de tenir compte de la longueur des articles, car je trouve que les articles sont trop longs ».

Youssouf Touré : journaliste-responsable de la communication de la BDM-SA

« C’est un bon journal qui est appelé à s’améliorer comme toutes les parutions»

« Le 200ème numéro, c’est quelque chose de symbolique, qui veut dire que le journal est allé loin. Et tenir un journal au Mali, c’est déjà un sacerdoce, un grand sacrifice et un don du soi. Je commence par vous souhaiter plein succès et encore 200 autres…. en souhaitant aux animateurs et animatrices du journal, très bon anniversaire et puis bonne santé et beaucoup de compétence encore au service du journal et au service de lecteurs maliens. ‘’Le Sursaut’’, je le courtois depuis quelques années au gré de parution, soit à l’Assemblée Nationale où j’étais responsable de communication où on était aussi abonné à ce journal soit ici à la BDM et on est toujours partenaire. Je connais bien aussi le promoteur. Quand je le lis, c’est toujours avec beaucoup de plaisir….Je considère que ‘’Le Sursaut’’ fait du bon travail, il ne se contente pas d’aller faire de la littérature, on essaye d’aller dans les faits, donner les faits et puis on s’arrête, et en ce moment le lecteur lui-même fera un peu sa propre analyse ou sa propre critique par rapport à l’information qu’il lui est donnée. Je considère que c’est un bon journal qui est appelé à s’améliorer comme toutes les parutions. Je souhaiterai un jour que ‘’Le Sursaut’’ devienne un quotidien, parce que le quotidien, c’est beaucoup plus rapide et l’accès est beaucoup plus facile…..ou aller vers un magazine demain….pour moi cela attirerai mieux encore que le format actuel étant donné qu’on en a beaucoup de titres sur la place ».

   Ramata Diaouré : représentante de la presse sans frontière au Mali  

« Le Directeur de publication et son équipe ont bien relevé leur défi du départ »

« Je suis très heureuse de souhaiter un joyeux anniversaire au journal le ‘’Sursaut’’ à l’occasion de son numéro 200. Le directeur de publication et son équipe ont bien relevé leur défi du départ. Les parutions sont bien lises en page et agréables à lire. Bonne continuation dans la célébration du professionnalisme et le respect de l’éthique et la déontologie de notre profession. Nous attendons impatiemment le numéro 300 ».

Moussa Camara : responsable chargé de communication de la BNDA

« Le Sursaut est un journal bien présenté avec un contenu riche et varié »

« Je dois tout d’abord féliciter le journal ‘’Le Sursaut’’ pour le chemin parcouru, nonobstant une conjoncture difficile. Je dois une fière chandelle au fondateur Moustapha Diawara, un journaliste pétri de talent, toute son équipe d’avoir tenu le challenge. ‘’Le Sursaut’’ est un journal bien présenté avec un contenu riche et varié. On y trouve des informations de proximité et digestes qui laissent transparaître le professionnalisme de la rédaction. Le journal pourrait se bonifier davantage par le traitement de plus de sujets de proximité. Le journal gagnerait également en mettant le focus sur des grands genres rédactionnels comme le reportage, l’interview, le portrait et l’enquête. Je réitère mes félicitations à l’ensemble de l’équipe du journal ‘’Le Sursaut’’, l’encourage et l’invite à maintenir le cap déjà fixé pour réaliser le sursaut médiatique. Vivement le N°300 ! ».

Oumar Baba Traoré : président de l’AJSM (Association des Journalistes Sportifs du Mali)

« Au fil des ans, ‘’le Sursaut’’  s’est imposé sur le marché et a su se maintenir »

« Si un anniversaire se fête le plus souvent, il doit être l’occasion de jeter un regard rétrospectif sur le parcours afin de se projeter sur l’avenir. En ma qualité de fidèle lecteur de l’hebdo ‘’le Sursaut’’ et de journaliste tout court, je tiens à saluer le promoteur, mon cadet Moustapha Diawara ainsi que toute sa dynamique équipe pour le travail professionnel, minutieux et surtout propre. Au fil des ans, ‘’le Sursaut’’  s’est imposé sur le marché et a su se maintenir. En ma qualité de Président de L’AJSM (Association des Journalistes Sportifs du Mali), je profite de cet anniversaire pour faire part de toute ma satisfaction par rapport au traitement professionnel et impartial de l’actualité sportive au quotidien. Joyeux anniversaire à toute la rédaction du quotidien le Sursaut et surtout excellente continuation pour le bonheur des milliers de lecteurs que nous sommes ».

Modibo Fofana : président de l’Association des Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL) 

« Il faut s’intéresser à la question sous régionale et internationale afin d’être cité dans les revues de presse de certaines chaines internationales ».

« Le Sursaut est un jeune journal qui se fraie un chemin dans le paysage médiatique malien. D’abord c’est un journal bien écrit avec moins de fautes. Ensuite, le canard ne manque pas d’actualité avec l’éditorial assurée par son directeur de publication. La variété de ses rubriques fait la différence dans les deux cent journaux de la place. Précisément la rubrique ‘’faits divers’’ qui est bien animée. Je conseille à la rédaction du journal de s’intéresser à la question sous régionale et internationale afin d’être cité dans les revues de presse de certaines chaines internationales ».

Cheick Ahmed Tidiane Kane : responsable chargé des Partenariats et des Relations avec la Presse à ‘’Moov Africa Malitel’’

« Le Sursaut est apprécié à notre niveau »

« Le Sursaut est apprécié à notre niveau quant à la qualité et le contenu de sa parution. C’est un contrat de partenariat qui nous lie et je constate que le journal est régulier aussi. C’est un journal qu’on apprécie bien. Je ne peux que prier pour ‘’Le Sursaut’’, parce que nous avons notre agence de communication qui est chargée de contrôler les contrats, et chaque année, il y a des évaluations qu’ils font sur tous les partenaires et chaque fois qu’on reçoit ‘’Le Sursaut’’ ça va, quant à la qualité, la ponctualité et tout. On ne peut que prier pour vous  afin de continuer sur cette lancée. Le journal est vraiment à féliciter et encourager. Je suggère au Sursaut de continuer à être au cœur des actualités en nous fournissant des informations sur l’état du pays et de faire tout, comme le nom ‘’Le Sursaut’’ indique, pour inciter la population à faire un sursaut national afin que le Mali puisse sortir du foncé dans lequel nous sommes actuellement  ».

Lassana Sidibé : responsable division Média à l’Agence de Communication ‘’Spirit’’

«… le Sursaut est sur une bonne lancée »

« Je tiens à féliciter toute l’équipe de ‘’Le Sursaut’’ pour ce 200ème numéro, bravo à vous ! Chez nous, il y a à peu près trois critères pour évaluer un peu les journaux. Le premier, c’est la régularité du journal dans la parution, le deuxième, c’est la qualité d’impression  et le troisième, c’est la notoriété. Donc, depuis le début du journal, on sent qu’il y a la qualité d’impression, le journal est régulier sur le marché parce qu’on le reçoit tout le temps et une notoriété qui commence à s’imposer de plus en plus sur le marché. Je pense que ‘’Le Sursaut’’ est sur une bonne lancée. Néanmoins, il peut toujours améliorer la qualité du contenu, surtout en faisant plus de dossiers, plus d’analyses au lieu de faire ce que tout le monde fait, c’est-à-dire, les reportages dans les journaux. Je pense qu’il vaut mieux faire plus de dossiers, même si ce n’est pas tout le temps, sur certaines questions très pointues de la République, sur les plans économique, politique, judiciaire etc. ».

 

 Akhimy Maïga : responsable de l’Agence de Communication ‘’Algaïta-Com’’

« Les hommes et les dames qui animent ‘’Le Sursaut’’ ont prouvé qu’ils ont de la qualité »

« J’ai des très bonnes impressions par rapport au Sursaut. D’abord pour sa constance, et ensuite eu égard aux contenus des informations véhiculées, et j’ai beaucoup d’admiration pour les hommes et les dames qui l’animent. Outre, les hommes et les dames qui l’animent ont prouvé qu’ils ont de la qualité, parce qu’il n’est pas donné à n’importe quel journal de continuer à exister pendant que son premier responsable est ailleurs, et le Sursaut l’a prouvé. Pour l’avenir, je souhaite que le Sursaut passe le plus tôt que possible en bi-hebdo. Je pense également que les dames et les hommes qui l’animent en sont capables et les moyens viendront après. Nous sommes au 200ème Numéro du Sursaut que je considère comme mon journal, je souhaite que Dieu nous montre le 2000ème numéro et beaucoup d’autres numéros. Et bon vent à notre journal ‘’Le Sursaut’’ ».

Boubacar Diallo : responsable relations-presse à l’Agence de Communication ‘’Spirit’’ 

 «…Le Sursaut est régulier et a une notoriété »

« 200 numéros, déjà c’est un nombre assez élevé dans la vie d’un journal. Cela démontre aujourd’hui que ‘’Le Sursaut’’ est régulier et a une notoriété, ce qui est à féliciter. Ce n’est pas facile aujourd’hui d’être dans la presse au Mali, connaissant toutes les difficultés économiques qui sont liées à cela. 200ème Numéro, je dis chapeau à ce journal ! ‘’Le Sursaut’’, dans l’ensemble est un journal que je me félicite à lire, nous avons beaucoup de thèmes qui sont analysés et débattus dans ce journal. Nous ne pouvons que dire bonne continuation ! Et nous souhaitons comme recommandation, que vous voyez la qualité (l’impression) du journal bien que ce côté ne soit pas régulier. C’est un journal hebdomadaire, cependant, je souhaiterai de le voir en bi-hebdo, pourquoi pas. Une fois de plus, chapeau ! ».

 Abdrahamane Doucouré : Directeur de publication  du journal la ‘’Sirène’’ »

« Mon souhait est que le sursaut devient quotidien dans un bref délai ».

« Le Sursaut est l’un des meilleurs hebdos de la place aujourd’hui. La régularité et le contenu très riche sont passés par là. On prend plaisir à lire du journal du début jusqu’à la fin des pages avec des éditos poignants et sans fautes. Mon souhait est que le Sursaut devient un quotidien dans un bref délai ».

 

Propos recueillis par Fatoumata Coulibaly, Mariam Sissoko et Safiatou Coulibaly

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