’Indispensables pour surveiller le territoire national et détruire les colonnes de véhicule ennemies, les chasseurs bombardiers manquent cruellement à l’Etat malien. La raison ? Un embargo de fait provoqué par la forte activité diplomatique des rebelles du nord avec, bien entendu, l’appui de la puissance française.’’
Mensonge !
Toujours dans le procès – Verbal du 6 janvier 2017, le confrère
‘’Oubliez le lait de vache, le lait de soja ou le lait d’amande ! Une nouvelle boisson débarque et pourrait s’imposer dans nos verres. Au premier abord, son nom ne fait pas rêver du tout. Pourtant, elle renferme de multiples atouts. De quoi s’agit-il ? Du lait de cafard tout simplement !’’
Buvez-en cher confrère et bon appétit ! Nous autres n’en voulons point !
Dans l’aube du 06 février 2017, le confrère écrit
‘’Installé à la magistrature suprême en septembre 2013, donc après trois ans et demi d’exercice du pouvoir, la réalité saute aux yeux que le président IBK a échoué sur toute la ligne, en calant à réaliser la moindre de ses promesses de campagne ; au-delà, même le minimum vital qui s’impose à tout président élu. En première ligne figure de ce fiasco l’élément fondamental qui avait fondé son élection, à savoir la gestion de la crise du nord. Ibrahim Boubacar Kéïta n’a pas connu meilleur sort en matière de lutte contre la corruption et la délinquance financière, de création d’emplois, de réalisation d’infrastructures, de bonne gouvernance, de gestion du front social et politique, du bien-être des populations etc.. A tout cela s’ajoute le fait que le chef de l’Etat semble physiquement diminué pour assumer correctement ses missions. Moralité : le président Ibrahim Boubacar Kéïta doit humblement renoncer à briguer sa propre succession en 2018. Il sortirait alors par la grande porte, à l’image de ses homologues Hollande de France et Dos Santos d’Angola qui ont jeté l’éponge pour la prochaine élection présidentielle dans leur pays respectif.’’
Comparaison n’est pas raison dit-on
Toujours dans l’aube du 06 février 2017, le confrère écrit
‘’Le président du Syndicat autonome de la magistrature (SAM) ne parle plus le même langage que sa base. Alors qu’il a été « décidé » lors de l’Assemblée générale tenue le vendredi matin, de poursuivre la grève illimitée, le président Chek Chérif Koné, lui est apparu sur Ortm (d’un flash spécial), le même jour, pour annoncer sa suspension. Vous avez dit clash au sein du syndicat ? En tout cas, les magistrats sont désormais divisés quant à la poursuite ou non de la grève déclenchée, il y a 20 jours. Pour les magistrats qui se réclament de la « base », leur président a trahi la cause commune, au profite de ses intérêts personnels. « Il a vendu son âme au diable », affirme un jeune magistrat.’’
No comment !
Toujours dans le 22 Septembre du 06 Février 2017, Adama Bamba écrit
‘’Par rapport à la question des laboratoires, Mohamed Aly Ag, Ibrahim dira que beaucoup de travaux seront faits sur les questions d’accrédité dans le seul laboratoire qu’on a au Mali, accrédité dans le seul secteur de la microbiologie alimentaire, reste le laboratoire National de la Santé (LNS). Les laboratoires qui donnent tous les jours des examens sanguins, ceux-là qui attestent nos produits alimentaires ne sont pas accrédités. Il serait donc impossible de travailler sur eux.’’
Ce confrère doit être poursuivi devant le tribunal pour ‘’atteinte à l’honneur et à la considération’’ de la langue de Molière.
Dans l’Enquêteur du 06 février 2017, le confrère écrit
‘’Le mandat d’IBK est hypothéqué par l’amateurisme de son entourage. Depuis l’arrivée de SBM comme cerveau du palais présidentiel et au fur et à mesure qu’on s’approche de 2018, les choses se compliquent pour le chef de l’Etat, en dépit de sa bonne foi. La stratégie de l’ancien patron du renseignement malien est toute simple : allumer le feu, l’activer et jouer au pompier. Le stratège et l’espion Boubeye se veut le Al Sisi malien.’’
N’importe quoi !
Boubacar Sankaré
