Au dire de Sogoba, Amadou Scattred est un prisonnier d’opinion et doit par conséquent être libéré immédiatement. A ses côtés, il y avait le président de Amnesty International/Mali M. Makan Koné qui dira que pour « les enlèvements et emprisonnements des journalistes aux Mali il a fait un communiqué et a démarché les autorités compétentes pour que justice soit faite. Il poursuit son intervention en disant qu’en Gambie, les journalistes et les militants défenseurs des droits de l’homme sont régulièrement victimes de violation de leurs droits fondamentaux ce qui rend leur travail extrêmement difficile. Après un long débat d’idée avec les hommes de media tout le monde s’est mis d’ accord sur un point « il est mauvais d’empêcher le journaliste de s’exprimer ».
Albadia Dicko