Le Journal “La Dépêche du Mali” organise en partenariat avec l’Agence Binthily Communication et le quotidien “Les Echos” un concours journalistique à l’intention des jeunes journalistes. Le lauréat bénéficiera d’une formation et d’une enveloppe de 500 000 Fcfa. Le lauréat sera connu le 25 février prochain.
Notre confrère du journal “La Dépêche-Mali” vient de lancer la première édition du concours de presse doté du Prix “Oumar Diallo”. Organisé en partenariat avec l’Agence Binthily Communication et le quotidien “Les Echos”, ce concours est ouvert aux jeunes journalistes maliens. En initiant ce concours, la Direction du journal “La Dépêche” veut rendre un vibrant hommage à feu Oumar Diallo, un jeune journaliste décédé en décembre 2016, à l’âge de 27 ans seulement. Ainsi, les candidats doivent déposer leur dossier du 18 janvier au 18 février prochain. Le nom du lauréat sera dévoilé au cours d’une cérémonie prévue pour le 25 février.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que ce concours de presse s’inscrit en droite ligne dans le cadre de la rentrée littéraire 2017, prévue du 21 au 25 février. Une manière de stimuler la production journalistique et de promouvoir la littérature afin de susciter l’esprit critique chez les plus jeunes. “Ce concours a pour but de découvrir et d’encourager les jeunes talents de la presse écrite du Mali et de leur permettre de bénéficier d’un prix et d’une formation pratique d’un mois au sein de deux organes de presse à savoir Les Échos et “depechesdumali.com” précise notre source. Avant de déclarer que “le Prix vise à récompenser l’excellence d’articles qui seront publiés entre le 18 janvier et le 18 février 2017 autour de la thématique “Comment la jeunesse africaine peut-elle participer au renouveau ?”.
“Le prix Oumar Diallo est ouvert aux jeunes journalistes de la presse écrite et aux étudiants en journalisme de moins de 30 ans. Le participant devra obligatoirement joindre à l’article sa pièce d’identité et mentionner le nom de l’organe de presse qui a publié l’article. Les candidats seront jugés sur la base de trois critères : l’actualité, l’originalité de l’angle choisi pour traiter le sujet et la valeur informative de celui-ci. L’article doit être dactylographié, rédigé en français et d’une longueur d’au moins 6 000 signes (espace compris), soit environ 919 mots” précisent les termes de référence.
Pour le choix du lauréat, un jury de trois membres sera mis en place par les organisateurs. Celui qui aura la chance de remporter ce concours percevra une enveloppe de 500 000 Fcfa.
A.B. HAÏDARA