ATT de même n’a pas manqué d’octroyer la même somme à la presse. Même au moment de la crise de 2012 où les caisses de l’Etat souffrait, les entreprises de presse ont bénéficié d’une financière conséquente Et voilà qu’arrive Ibrahim Boubacar Keïta avec plus 77% à la tête du pays et au moment où ,les partenaires techniques et financiers sont en train de nous appuyer avec des milliards que la presse est sur le point d’être enterrée avec comme aide à la presse une maudite somme de 60 millions pour l’ensemble de la presse malienne alors que des rectificatifs budgétaires ont eu lieu juste pour justifier des milliards engloutis dans des dépenses de prestige. Des milliards sont distribués aux partis politiques dont certains n’ont même pas de siège.
L’espoir de la presse de voir un IBK arrivé au pouvoir s’est estompé comme une glace dans de l’eau alors qu’il avait promis de revoir l’aide à la presse en hausse et de l’indexer au budget de l’état afin que les patrons de presse puissent appliquer la convention collective.
Qu’en est il de la promesse faite par le premier ministre Moussa Mara lors de l’appui qu’il a apporté à l’ASSEP pour le ramassage des ordures.
IBK a-t-il du mépris pour cette presse qui ne cesse de jouer pleinement son rôle ?
Wait and see
Yattara Ibrahilm
Est ce une obligation pour l’État de distribuer de l’argent à la presse?
La presse décrie tous les jours la misère des populations. Au même moment elle demande 200 millions à l’État. Pourquoi ? Et le reste de la population ? Et les autres secteurs ?
Certes les presses jouent un rôle important en matière de gouvernance démocratique, mais la plus part d’entre elles font également un jeux de chantage pour se faire de frics.
Voilà que s’ouvre au mali la porte du conflit d’intérêt personnel, <>.
Comme ATT voulait bien endormir les maliens pour se briquer un troisième mandat et se donner plus de popularité, voilà pourquoi il utilisait tous les moyens possibles à travers certaines presses et artistes pour ternir ses sales images;
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