Crée en 1997 pour célébrer le pluralisme radiophonique au Mali (un pays qui compte plus de 200 radios), le festival biennal «Ondes de liberté» est devenu un rendez-vous incontournable sur le continent. Organisé par le ministère de
rn
rn
La manifestation, attendue par les professionnels, a enregistré la participation de près de 200 radios provenant du Mali, de la région ouest africaine, d’Europe et d’Amérique. Les participants (radios et personnalités) sont issus des radios publiques et privées des pays d’Afrique, des radios internationales partenaires du festival des radiodiffuseurs et des professionnels, des personnalités liées ou non au monde de la radio (intellectuels, chercheurs, artistes…)
rn
rn
Par ce festival, les organisateurs entendaient enrichir la diversité du paysage médiatique ouest africain, mais aussi consolider et établir la liberté d’expression, améliorer la créativité des radios africaines. Entendaient-ils également permettre une meilleure connaissance mutuelle entre radiodiffuseurs à l’échelle régionale et faciliter les échanges de leurs expériences et notamment leurs innovations.
rn
La manifestation, très chère à l’ancien Président Alpha Oumar Konaré qui en fut l’initiateur, a également pour but d’initier une dynamique de circulation et d’échange des productions radiophoniques et de coopération entre radios de pays divers. Mais aussi encourager l’imagination créatrice, le talent et la qualité, valoriser la production des radiodiffusions d’Afrique.
rn
rn
Le festival s’articulait autour de cinq volets, à savoir un colloque, une bourse des programmes, un concours radiophonique, une animation radiophonique et un stand d’exposition.
rn
rn
Espace d’échanges, le colloque se voulait un lieu de réflexion et de débat autour du thème « La lutte contre le VIH/Sida ». Les échanges de point de vue et d’expériences se sont faits entre différents acteurs de la radiodiffusion et leurs auditeurs.
rn
La bourse d’échange de programmes, où se sont côtoyé journalistes, producteurs, réalisateurs, techniciens et animateurs, fut une foire aux sons où les radios ont présenté et échangé leurs productions.
rn
rn
Les produits peuvent porter sur différents sujets : histoire, traditions, musique/Chants, contes, proverbes, littératures, arts plastiques, théâtres, découverte de jeunes talents.
rn
Comme à chaque édition, un concours radiophonique a mis aux prises les radios. Il concerne les produits radiophoniques portant sur le thème du festival « Radio et lutte contre le VIH ». Chaque radio a eu droit à une seule production au concours.
rn
Le jury tenait à ce que le produit présenté (dans son contenu et dans son traitement sonore) réponde à l’une ou l’autre des deux questions : « Comment la radio peut-elle aider à lutter contre le VIH/Sida ? », « Quelle est le rôle et la place de la radio dans les politiques et stratégies de lutte contre le VIH/Sida ? »
rn
.
rn
Très prisés par les participants, des Stands d’exposition ont été ouverts. Ils étaient réservés aux organisateurs et partenaires qui souhaitaient y exposer leurs documents ou faire connaître leurs structures respectives.
rn
Une animation radiophonique a tenu en haleine les auditeurs :
rn
Durant les trois jours du festival, une radio FM., dénommée « Radio Mosaïque », fut installée pour l’occasion. Elle a eu en charge l’animation, la production et la retransmission des programmes radiophoniques liés à la manifestation.
rn
rn
Beaucoup de participants ont émis des critiques. Pour France Greber, de
rn
Pour Razzak Saïzonou, l’adjoint au Directeur régional du bureau Afrique de
rn
Sory Ibrahim Guindo
rn
Avec le Bulletin
rn
« Ondes Libres »
“