J’ai lu avec quelque intérêt la réponse, très polie, de Adama Dramé du journal le Sphinx par rapport aux extraits d’un article signé de son nom, publié dans son journal et qui ne faisait aucun cadeau au pouvoir en place. Je note qu’il règle plus des comptes avec notre aîné Moussa Kéita qu’il n’apporte de véritable réponse. J’aimerai juste apporter deux ou trois clarifications à l’intention de mon grand frère Adama Dramé. Primo, mes rapports avec ATT sont plus anciens que ses premiers écrits en tant que journaliste.
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Ce sont des rapports fraternels, ATT me prenant pour son « jeune frère adoptif ». Mon grand frère Dramé peut donc comprendre qu’entre ATT et moi, ce ne sont pas des rapports de soupe ; la soupe étant réservée à ceux qui ont des problèmes alimentaires, mais plutôt des rapports fraternels. De 1992 à 2002, je suis l’un des rares à l’avoir fréquenté au moins une fois par semaine et à l’avoir appelé tous les jours au téléphone sous les arbres au niveau de la Fondation.
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Comme grand frère, ATT a été présent à tous les événements sociaux importants de ma vie et aujourd’hui encore il me reçoit quand son emploi du temps le lui permet. Donc les insinuations du grand frère Dramé coulent sur moi comme l’eau sur les plumes d’un canard. Secundo, les autres éléments qu’il avance sont à mettre au compte des élucubrations dont le grand frère est si pathologiquement friand et dont manifestement il refuse de guérir. Pour le reste, je publie la réaction de Moussa Kéita avec qui, manifestement, il a beaucoup de comptes à régler.
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