La restauration de la paix et de l’intégrité territoriale, le renforcement et le confort de la démocratie pour une meilleure gestion des affaires publiques, les possibilités d’alliance pour les prochaines échéances électorales sont entre autres sujets abordés par l’Adema Pasj et l’URD.
A en croire le président de l’Adema, Tiémoko Sangaré, après le 5ème congrès ordinaire du Pasj, il a été décidé de rendre visite aux formations politiques de la place afin de leur présenter le nouveau bureau et les orientations du parti. Au regard du poids politique de l’URD, M. Sangaré a sollicité le soutien de celle-ci pour sauver le Mali. Car, en faisant allusion à la restauration de la paix et de l’intégrité territoriale, l’hôte du parti de la poignée de mains dira qu’il y a des défis communs auxquels l’ensemble de la classe politique doit faire face. Il s’agit de sauver le Mali et de renforcer la démocratie et le système partisan. Afin de faire face à l’irruption des religieux dans la politique.
Pour sa part, le président de l’URD, Soumaïla Cissé, a exprimé son engagement pour le bien-être du Malien, car ne voulant pas «hériter d’un pays à terre». Toutefois, explique-t-il, «nous avons demandé à l’Adema qu’on ait, ensemble, un regard critique sur l’accord de paix». Car on est en train de gérer cette crise avec beaucoup d’amateurisme. Il en veut pour preuve la levée des mandats d’arrêt contre les présumés auteurs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Or, se plaint-il, réconciliation ne rime pas avec impunité. Tous les coupables des crimes graves doivent être sanctionnés. D’ici là, poursuivra-t-il, attendons de voir si à partir de dimanche cette prime à l’impunité permettra le respect du cessez-le-feu.
S’agissant de l’irruption des religieux dans le jeu politique, Cissé dira que l’URD et l’Adema peuvent être à l’avant-garde. «La peur de perdre des voix ne doit pas nous contraindre à laisser prospérer certaines pratiques qui constituent des dangers pour la République», a-t-il indiqué.
Notons aussi que la question du chômage des jeunes était au menu des échanges. Car, pour Cissé, cette problématique est une bombe à retardement.
En conclusion, l’URD s’est dit disponible à travailler avec l’Adema pour le confort de la démocratie et le bien-être des Maliens.
Oumar KONATE
Il veulent venir detruire le pays encore. Que nous garde de ces vautaurs. Amen!
Qu’ils nous disent ou sont parties les 33 milliards annuels (1992-2012) du budget de la defense pour que l’armee soit si bas?
Ils sont tous coupable du trahison de notre pays tous incapable
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