Ces rapports font la synthèse des observations, analyses, critiques et suggestions formulées par le Vérificateur Général au titre des années 2013 et 2014.
Le rapport annuel 2013 fait la synthèse de 18 vérifications effectuées dont 1 vérification de performance, 3 vérifications de suivi des recommandations ainsi que 14 vérifications financières et de conformité. Il ressort des vérifications financières effectuées au titre de 2013 des irrégularités financières d’un montant total de 80,21 milliards de FCFA dont 12,28 milliards de FCFA au titre de la fraude et 67,93 milliards de FCFA au titre de la mauvaise gestion.
Quant au rapport annuel 2014, il fait la synthèse de 16 vérifications dont 13 vérifications financières, 2 vérifications de performance et 1 vérification intégrée de conformité et de performance. Il fait état d’irrégularités financières totalisant la somme de 72,88 milliards de FCFA dont 33,86 milliards de FCFA au titre de la fraude (soit 46,46% du montant total) et 39,02 milliards de FCFA au titre de la mauvaise gestion. Sur le montant total des irrégularités dues à la mauvaise gestion 5,27 milliards de FCFA sont recouvrables.
Ces deux rapports annuels ont concernés des services centraux et déconcentrés, des programmes de développement, des marchés publics et des délégations de service public ainsi que des établissements publics. Le Vérificateur Général a insisté sur le fait que « cette diversification des vérifications a révélé un essor considérable d’une gestion publique qui, somme toute, cacherait des formes nouvelles de fraude et traduirait les contours de l’imagination audacieuse et tendancielle de certains gestionnaires, même si, il faut le noter, certaines améliorations ont été constatées au niveau de certains services vérifiés ».
Selon Monsieur Touré, « les rapports de vérification dont les synthèses alimentent ces rapports annuels ont relevé des insuffisances et faiblesses substantielles, multiformes et récurrentes, tant au niveau du contrôle interne que des opérations de la dépense publique, qui hypothèquent dangereusement la gestion des structures et organismes publics ». Ces rapports confirment une mauvaise gestion généralisée d’autant plus déplorable qu’elle devient endémique et prend des formes nouvelles de spoliation de l’Etat. D’où la nécessité d’un véritable sursaut national en vue de bâtir une gestion publique saine et capable d’aider à la relance économique ».
Le Vérificateur Général du Mali tient à saluer l’étroite collaboration du Pôle Economique et Financier ainsi que la mise en œuvre de recommandations par certaines entités vérifiées. Leurs actions combinées, en plus des régularisations financières survenues lors de missions de vérification, ont permis de recouvrer au profit du Trésor Public près de 6 milliards de FCFA, de 2011 à nos jours. Selon lui, « ces recouvrements illustrent, d’une part, la bonne qualité de collaboration entre le BVG et les autorités judiciaires et, d’autre part, l’adhésion et l’appropriation des entités vérifiées aux résultats des travaux de vérification ».
Source: BVG
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Notre fe9de9ration travaille en e9troite coolaboratiln avec la CGI (Confe9de9ration Frane7aise du Commerce Interentreprises) pour promouvoir nos me9tiers notamment avec le site mybtob.fr mais nous avons e9galement cre9e9 il y a plus de 10 ans une association de promotion des me9tiers de notre filie8re : Peintres et Peintures Pour la France.Face e0 la pe9nurie de personnels qualifie9s dans notre secteur, il e9tait primordial pour nous de valoriser ces me9tiers souvent mal pere7us du grand public. En 2002, l’association a donc lance9 une grande ope9ration de communication d’envergure nationale ab Le Tour de France des Me9tiers de la Peinture bb pour sensibiliser les colle9giens e0 l’ensemble de nos me9tiers et de leurs perspectives.Apre8s 8 anne9es de tourne9e, nous avons fait le constat d’un manque e9vident d’informations des jeunes qui doivent faire le choix de leur orientation tre8s tf4t. Nos actions de promotion des me9tiers sont donc essentielles pour assurer la pe9rennite9 de nos entreprises. Mais nous avons e9galement fait un autre constat qui de9passe nos moyens et nos compe9tences : Si nous avons rencontre9 beaucoup de jeunes passionne9s et passionnants, un travail de fond devrait eatre cependant mene9 pour rappeler e0 certains l’importance de valeurs fondamentales comme celle du travail, de l’effort ou du respect. Sans cela nous arriverons toujours e0 avoir des jeunes diplf4me9s mais seront-il vraiment qualifie9s dans tous les sens du terme ?
C’est la Fnas, e0 travers sa chbrame re9gionale lIe-de-France, qui a – e0 la demande de ses adhe9rents – cre9e9 en 1995 cre9e9 son propre CFA, afin de re9pondre e0 un re9el besoin de formation des vendeurs.Le de9veloppement du CFA n’a e9te9 rendu possible que gre2ce aux liens e9troits qui se sont noue9s au fil du temps avec :- l’Education nationale pour la cre9ation de diplf4mes base9s sur des savoirs et des re9fe9rentiels de compe9tences re9pondant aux attentes des entreprises- les prestataires pe9dagogiques auxquels la Fnas a confie9 l’enseignement the9orique et pratique- les entreprises, qui constituent le partenaire incontournable pour l’acquisition des savoir-faire et l’autonomie des jeunes au cours de leur contrat d’apprentissage (sachant que 90 % des entreprises embauchent des jeunes e0 l’issue de leur formation).La promotion de nos me9tiers est assure9e par les de9veloppeurs de l’apprentissage que nous avons recrute9s au sein de l’organisme gestionnaire de notre CFA: l’Afanem (Association pour la formation en alternance aux me9tiers du ne9goce, de la maintenance en ge9nie climatique, efficacite9 e9nerge9tique, sanitaire, e9nergies renouvelables, froid, conditionnement d’air et pompes e0 chaleur).Le rf4le des de9veloppeurs est d’aller e0 la rencontre des jeunes sur le terrain (pour les 3/4 de leur temps) : dans le salons, les forums emploi-formation, les missions locales d’insertion, les antennes de Pf4le-Emploi, et dans les lyce9es et colle8ges e0 l’occasion de journe9es ab portes ouvertes bb. Leur mission est l’accueil des jeunes au sein du CFA et leur accompagnement pendant la dure9e de la formation, aussi bien sur les lieux de formation qu’en entreprise. Ils assurent aussi le suivi du devenir des jeunes e0 l’issue de leur formation et leur entre9e re9ussie dans le monde professionnel.Notre CFA a e9norme9ment investi au cours des cinq dernie8res anne9es dans la communication: cre9ation d’un site internet pre9sentant les neuf filie8res de formation dispense9es, allant du niveau V au niveau l, site sur lequel les jeunes peuvent de9poser leur dossier de candidature; cre9ation de supports de communication papier, et notamment un livret de pre9sentation du CFA et du contenu des diplf4mes pre9pare9s; cre9ation de panneaux et de visuels pour les salons; cre9ation d’annonces dans la presse, oriente9e vers la formation en alternance.Au cours de deux dernie8res anne9es, nous avons intensifie9 les ope9rations en direction des entreprises, en particulier avec la cre9ation d’une mallette du tuteur (maeetre d’apprentissage) et de sessions de formation de ces derniers.
Bourama naloma ma famille d'abord le grand voleur
Bouyl
Ces rapports relèvent désormais des affaires classées: Zéro enquête, Zéro poursuite et Zéro suite.
Mandé Zonkèba a volé et c’est fini./
Ce boucoup mais ibk d outr peux rien fair arrête
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