« Je ne suis vraiment au courant de rien, donc je ne pourrai pas vous éclairer sur la question ». Réaction de Nancoma Kéita à la série d’arrestations de personnalités civiles et militaires, les 17 et 18 avril 2012.
Dans le florilège des faits et dires des leaders maliens depuis le putsch du 22 mars 2012, ces propos de Nancoma KEITA, Secrétaire politique du RPM et ancien ministre de l’Environnement de ATT pourraient remporter la palme. On pourrait en rire si le sujet n’était aussi grave, à savoir la privation de libertés pour des hommes, dont certains sont dans le collimateur de la junte depuis les premières heures du coup d’Etat.
Nancoma a au moins le mérite de la cohérence : il ferme les yeux sur le martyr des détenus politiques et militaires, au lendemain du retrait du Rassemblement pour le Mali de IBK de du Front pour la défense de la Démocratie et de la République (FDR) qui a été créé pour dénoncer l’état d’exception que vit le Mali depuis le putsch du capitaine Sanogo. A l’appui de cette décision aussi surprenante qu’inopportune, le parti de Ibrahim Boubacar Kéita, sans peur du ridicule et du mensonge, annonçait que les objectifs du Front uni étaient atteints avec le retour à l’ordre constitutionnel et, donc, son existence sans objet.
La junte s’est chargée de rappeler au chef des Tisserands que le Mali vit sous une chape de plomb, dont l’enjeu ne peut plus se résumer à l’exercice du pouvoir d’Etat mais au combat pour la préservation des libertés publiques et individuelles. Qui l’eut cru : des Maliens regardant les quatre points cardinaux pour s’assurer que l’environnement est « safe » pour donner un point de vue politique ? Ou qu’ils soient contraints de changer de numéros de téléphone pour être certains d’échapper à la police politique ? Même aux pires moments de la dictature militaire du CMLN, on n’avait pas assisté à une telle psychose alimentée par des faits bien réels. Pour mémoire, au meeting du FDR, commémoratif du 26 mars, Me Hamidou DIABATE, ancien ministre et aujourd’hui député à l’Assemblée nationale du Mali a été brutalisé ainsi que d’autres membres de la direction du Parena à la Bourse du Travail. Un autre rassemblement du Front, le jour de la mission avortée des chefs d’Etat de la Cédéao, a subi les assauts de nervis de service avec à la clé des blessés évacués dans les hôpitaux. Ou encore, depuis le 22 mars, la moindre interview sur RFI ou BBC défavorable à la junte vaut à son auteur une convocation-intimidation à Kati. N’en jetons plus la coupe est pleine !
Ce voile sombre jeté sur les libertés politiques porte une marque : celle des extrémistes, Oumar Mariko à leur tête, qui s’échinent à longueur de journée à convaincre la junte que la violence est la seule « arme légitime » pour protéger leur « révolution » (défense de s’esclaffer car Mariko &co. considèrent que le Mali est dans une période révolutionnaire).
C’est une réalité bien connue : les extrémistes gauches ne croient pas un seul instant à la démocratie dite libérale, même s’ils en profitent plus que tout autre pour conduire légalement leurs actions de déstabilisation des régimes en place. Le drapeau des libertés est aussitôt mis en berne dès qu’ils accèdent eux-mêmes à une parcelle de responsabilité. Quelle radio de la place ose aujourd’hui le micron de la furie destructrice de radio Kayira sous Alpha Oumar KONARE et ATT sans s’attirer les foudres des maîtres de Kati ?
C’est justement parce que notre pays vit sous un tel climat de terreur que l’attitude du RPM de IBK, dont Nancoma est un porte-parole éloquent, confine à l’abjection. Quel renoncement suspect, quelle abdication intolérable de la part d’un homme politique qui s’affuble de toutes les vertus éthiques et morales ? Il fallait bien condamner du bout des lèvres les arrestations (le RPM l’a fait), mais l’on est bien loin du compte. Ce qui est en cause, ce qui est en jeu, plus précisément ce qui est en mouvement, c’est une spirale infernale dont le tourbillon absorbera tous les candidats de premier plan et les forces politiques significatives.
IBK est libre de croire que ce qui affaiblit Modibo Sidibé et Soumaila Cissé sert indubitablement ses intérêts. Le calcul des mentors de la junte est plus simple : ne jamais ouvrir deux fronts à la fois. Ils s’occuperont des têtes d’affiche entre leurs mains et le moment viendra toujours de passer à l’étape suivante. Et je suis sûr qu’à ce moment-là Nancoma retrouvera la mémoire et guérira de son amnésie sur le sort des Me Tapo, Tiéman Couibaly et autres.
Il ne s’agit point de délégitimer l’ambition de IBK ; il a de bonnes raisons de croire (l’âge avançant) que c’est cette fois ou jamais. Questions à lui, a mille balles : est-il sûr que des élections seront organisées au Mali même dans deux ans si un terme n’est pas mis à la dérive actuelle ? Quelle garantie, les militaires ont-ils donné à IBK qu’ils ne se présenteraient pas à leur propre succession dès lors qu’ils peuvent violer allègrement leurs engagements avec la Cédéao et la Communauté internationale ?
Je vois les stratèges au petit pied autour du Grand Leader s’écrier : là on ne laissera pas faire ! Vous plaisantez, si la junte vient à bout de Soumi et Modibo, ils vous vaincront avec les mêmes méthodes. Ce sera juste une question de temps dans une démarche graduée.
Il n’est pas inutile de rappeler au patron du RPM la posture morale d’un Michel NOIR, homme politique français, qui disait « préférer perdre une élection plutôt que de perdre son âme », marquant son refus de l’apport des voix du Front National (extrême droite) pour emporter un scrutin à Lyon.
Il est encore temps de faire oublier cette contre-danse dont le seul but est d’éviter le courroux des militaires et en faire des alliés dans la conquête de Koulouba. IBK ne doit jamais oublier que sous AOK comme sous ATT, il a occupé d’éminentes fonctions (Premier ministre, Président de l’Assemblée nationale) où il n’a pas toujours été au-dessus de tous soupçons, fondés ou infondés, et des « preuves », on pourrait toujours en trouver après lui.
Le RPM doit sortir de l’ambiguïté, de l’équivoque complice pour s’engager aux côtés des partisans de la démocratie libérale contre les tenants de la démocratie populaire, adepte de régimes liberticides comme la Corée du Nord.
IBK doit cesser de poser l’équation politique actuelle non en termes de « le pouvoir ou la vie », mais « le pouvoir et l’éthique ».
Au demeurant lorsque le pays aura retrouvé le chemin de la stabilité pour l’organisation d’élections libres et transparentes, les Maliens sauront se souvenir de ceux qui se seront dressés pour que l’espérance démocratique ne meure dans notre pays. Les sacrifices des Soumaïla et l’épreuve physique endurée pèseront très lourd ce jour dans la balance. Il est important que Nancoma, victime d’une amnésie passagère, s’en souvienne.
Un mot à l’adresse de Dioncounda : tous les démocrates maliens ont applaudi le choix porté sur ta personne pour la Présidence par intérim à la fois pour le respect de notre Constitution, mais aussi pour vos qualités personnelles. J’ai loué dans ces mêmes colonnes votre courage et vos combats. Prenez garde à ne pas vous laisser discréditer, car les mesures contre les personnalités arrêtées visent à saper votre autorité morale. Si cela doit continuer, en référez-vous avec respect à nos amis de la Cédéao, et démissionnez de cet intérim ou en plus de votre crédit, vous pouvez perdre votre honneur.
La même remarque vaut pour Cheick Modibo DIARRA, le nouveau PM. La junte voudrait-elle mettre les bâtons de vos roues qu’elle ne s’y prendrait autrement. Vous prenez vos fonctions alors que les caisses de l’Etat sont vides ou ont été vidées et la prison du camp de Kati pleine de détenus politiques. Le succès de votre mission dépend à 80% (n’en déplaise aux drogués du nationalisme) de la bonne volonté des partenaires extérieurs. D’abord la Cédéao pour la reconquête territoriale et l’aide au développement pour améliorer l’ordinaire des Maliens. Il n’est pas futile de rappeler à l’astrophysicien qu’en dehors de la levée de la Cédéao, toutes les autres sanctions de nos partenaires (Banque Mondiale, BAD, Union Européenne, Etats-Unis, Canada…) demeurent en l’absence d’une direction politique claire.
Sauf à se satisfaire de la gloriole d’avoir été un jour Premier ministre du Mali, CMD, en bon matheux, doit savoir que les conditions sont réunies pour un échec retentissant de sa mission.
A tous et chacun, je souhaite qu’ils méditent ces propos : « Il faut savoir ce que l’on veut, quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire, quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire ».
George CLEMENCEAU.
Amadou Demba TALL
IBK tu perds ta credibilité comme çà et tu risques de te faire avoir . comment arreter des gens arbitrairements sur tes pieds et tu trouves çà normale(puisque t’a pas réagit ) ..
de toute façon les journalistes ont bien analysé tout citoyen sur pied comprendra ce que les journalistes laissent voir .
ibk en tout cas sur cette lancée je te vois pas diriger le Mali c’est pas un bon signe ta demarche oui et tu vas le regretter
qui vivra verra
IBK tu perds ta credibilité et tu risques de te faire avoir . comment arreter des gens arbitrairements sur tes pieds et tu trouves çà normale ..
de toute façon les journalistes ont bien analysé tout citoyen sur pied comprendra ce que les journalistes laissent voir .
ibk en tout cas sur cette lancée je te vois pas diriger le Mali c’est pas un bon signe ta demarche oui et tu vas le regretter
qui vivra verra
Mr le journaleux, ton malheur durera longtemps. Le RPM ne soutiendra aucun fauteur de trouble. Il y a plus de quatorze millions de maliens, les militaires ont dépassé beaucoup de portes pour aller chez Soumaila. Si c’est Soumaila qui te subventionne, vraiment tu souffriras longtemps.Le RPM est libre de ses opinions et n’est l’obligé de personne.
« Je ne suis vraiment au courant de rien, donc je ne pourrai pas vous éclairer sur la question ».Dixit N.KEITA.N’est ce pas une réponse?Cher
admin/MWB, épargnez nous des récits sans queue ni tête des journaleux
alimentaires comme Amadou Demba TALL.A l’indicateur du Renouveau, avec
des articles de ce genre votre journal perd de sa crédibilité. 😉
C’est une analyse bidon nulle et non avenue. En ce qui concerne IBK, son retrait du front du refus est une bonne chose car la mission est terminée depuis la nomination de Dioncounda, tous ceux qui continuent à revendiquer quelque chose sont des provocateurs et des voleurs qui ont mis le pays à genoux, ils ne souhaitent pas le redressement du pays par peur de ne faire face à la justice. IBK a bien compris le jeu et s’est démarqué après l’acceptation par la junte de rétablir l’ordre constitutionnel et sa confirmation par l’investiture de Dioncounda comme président par intérim.
Par rapport aux protestataires, ils continuent à se faire remarquer à travers des déclarations incendiaires ces derniers temps. Où étaient-ils pendant ces dix années du règne chaotique d’ATT pendant le quel ATT a désarmé l’armé nationale et cédé le nord de notre pays aux trafiquants de tout genre.
La démocratie qu’ils disent défendre, ils l’ont remplacé par le consensus pour la corruption.
Ibk est tout simplement un homme de game qui pense tjrs berne les gens avc ces double jeux l’avenir nous edifiera, dans ce pays nous saurons qui est reellement qui est qui et qui est capable de quoi.
tout ce qui me fait tres mal dans cette affaire ;au lieu que les millitaires se leves pour aller liberer le nord notre pays dans la main des bandits armes ,ils s emprend a la population quelle honte pour l armee malienne ,maintenant nous ne dormons plus a la main ouvert nous allons nous preparer se rearmee pour s autodeffendre et non pour compter a des peureux.
C’est vraiment dangereux comme analyse d’un journaliste digne de ce nom.
ibk ne va jamais gouverner, s’il va gouverner son pouvoir s’arretera à Sebenincoro, ne meler pas les torchons et serpieres dans le meme sac, sur ce coup là Mr: Soumeila a montré clerement qu’il tienne parole, et qu’ibk n’est autre que celui qui a double langage, si un jour on nous impose un mec comme lui nous allons divisé ce pays là, en plein jour,
Avec ce double jeux à mes yoeux il a perdu toute credibilité,
Tous ceux qui ont été arretés, il y a parmi eux beaucoup de voleurs de la republique du Mali
Très belle et pertinente analyse! Tant que je vois pas la junte s’éloigner de ces loups,opportunistes et démagogues de la COPAM, je continuerai à penser qu’elle ne fera rien de bon. Le PI et le PMI doivent faire attention au risque de voir leurs efforts sabotés sinon simplement anéantis;à moins qu’ils ne soient eux aussi des alliés de la junte et si c’est le cas….
Que Dieu sauve le Mali des actions de tous ses mauvais fils!
Je suis du RPM, cependant je commence à avoir des doutes sur la connivence de IBK et les militaires. Tout porte à croire qu’il est avec eux, et cela commence à m’irriter sérieusement. De toutes les façons, s’il y’a des élections dans le futur, il n’aura plus mon vote.IBK, je suis deçu
Bizarre comme analyse et Amalgame gravissime: “C’est Nancoman qui refuse de répondre à une question” et c’est IBK qui subit les foudres de journalistes politiciens provocateurs. Nous comprenons aisément la démarche et les déductions faciles qui sont d’ailleurs recherchées expressément: “Dis moi ton avis sur les arrestations, mais je sais déjà que tu en profites bien…” En veille sinon en veillée de campagne suspendue, la campagne continue même sur les ruines de la démocratie des compagnons véreux de ATT.
Pour revenir sur les questions de fonds, IBK a été le premier responsable politique à condamner le putch dès le jeudi 22 Mars à 15H00. Le journaliste politicien grand partisan prendra aussi ceci comme “du bout des lèvres” puisque le putch en question à malheureusement renversé ses rêves tissés du chaos élecoral que son mentor ATT allait offrir aux démocrates maliens en échange de l’appui sinon de son grand “cadeau” de 2002 confirmé en 2007.
Encore IBK est l’un des premiers à avoir condamné les arrestations arbitraires de la semaine. Le même journaliste politicien ne voit tjrs que “le verre à moitié vide”. Il est plus facile de donner des leçons de morale à un adversaire politique que d’avoir soit-même la pudeur de reconnaître ses propres tares.
SVP journaliste, donnez nous des vraies infos et arrêtez de crier à la Gavroche: ” je suis tombé à terre, c’est la faute à Voltaire, et la tête dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau…”. IBK n’est pas votre ennemi à abattre. revoyer vos stratégies et créer de nouveaux suppots: ATT est le premier chef d’Etat malien à fuire son pays. Quelle HONTE. IBK ne profite pas du coup d’Etat, n’en faites pas votre ‘CAUCHEMAR”
Toi tu dois etre nee sans tete! ou ta boite cranienne est rempli de crottin d’ane. tu es depourvu de touts moyens de raisonnement et d’intelligence. Comprend une bonne fois pour tout que les declaration politique de Nancoma sont celles de ibk, la vision du premier responsable du parti!. 😯 😯 😯 😯
Trouve toi une tete pour reflechir avec et non avec tes doigts sur le clavier bon-sang. 😆 😆 😆 🙄 🙄 🙄 🙄
George et Tall vous ne connaissez rien sur les hommes que vous appreciez dans votre article. Vous osez appeler le comportement de Soumeyla des sacrifices. Si sacrifice il en a pourquoi il ne defend pas contre les rebelles son village qui l’a vu naître.
C’est Koulouba son objectif, on va transplanter Koulouba à Niafouké qu’il aille s’installer dans Koulouba à Niafouké s’il veut gouverner le Mali.
Le Koulouba entre Bamako et Kati est fermé pour l’éternité, c’est à cause de ce fameux koulouba que nous avons tous ces problèmes comme si ces leaders ont des soucis de dormir dans leur maison et rendre service au pays avec le seul souci de preserver l’intérêt superieur du pays.
Mrs les journalistes essayez de faire court dans vos analyses, c’est plus professionnel. puisque savez copier-coller, imiter donc la presse étrangères bon sang.
Très belle analyse. Moi je suis du RPM, mais j’avoue que IBK me decois par son comportement dans cette crise. Tout porte à croire qu’il en est pour quelque chose.Depuis le putsch jusqu’à son depart du FDR,c’est le flou total et je ne serai pas surpris qu’il rejoigne les eternels insatisfaits:le MP22.Aujourd’hui je suis amené à me poser un certain nbre de questions parmi lesqulles:CES PUTSCHISTES N’ONT ILS PAS FAIT UN DEAL AVEC IBK ET MARIKO?.Le temps nous édifiéra.
Mon IBK vous êtes un intellectuel pas comme les autres. Vous avez bien fait de vous retirer du FDR et demeurer sans parti pris. vous êtes pour la démocratie liberale pas pour la démocratie populaire. FDR, ce front des partis politique et associations ne sont ni pour la démocratie libérale ni pour la démocratie populaire, c’est des hypocrites qui ne visent que leurs poches pour faire fortune au dos de l’Etat.
IBK ce front ne vous a jamais aimé et ne souhaite guère vous voir à la tête de ce pays un jour, composé de partis politiques et autres on le sait depuis la chute de Moussa Traore, ils sont au pouvoir et se passe la règne de Koulouba.
ATT comment il est arrivé au pouvoir vous le savez mieux que quiconque.
Si ce putsch n’avait pas eu lieu ATT passera le pouvoir à Modibo et c’est pourquoi il ne pense qu’aux éléctions, il dit nous avons l’habitude d’organiser des éléctions libres et transparentes dans des situations de ce genre “guèrre” n’importe quoi, tout le monde le sait et en fin Modibo lui le remettra à Soumi, on n’en marre de ce système de passation de pouvoir politique. C’est donc toujour le Mali qui perd.
IBK vous êtes un sage sache c’est Dieu qui donne le Pouvoir et ne vous meler pas de leur bataille inutile car ils ne luttent pas pour cette démocratie dont vous songez.
Que Dieu vous donne les clés de la porte de Koulouba IBK afin de mettre fin à ce système qui règne dans notre pays.
il faut que idiots s associe pour creer un article bidon pareil.
vous voyez le mal partout vous etes sans objectivites, et c est tres grave pour des soit disant intellectuels.
apres tous ces problemes le maliens marcheront la main dans la main.
Mon frère le respect avant tout. L’idiot c’est celui qui nait respecter l’autre à son absence.
Un adage Bambara dit “Ni mi banguébaw bogna i ti sé ka wali ta bogno”
Traduction ” celui qui ne respecte pas ses parents ne peut respecter ceux des autres”.
Bonne journée mon frère
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