C’est un coup dur que vient d’encaisser le parti de la poignée de mains à travers la démission d’un cadre important du parti, Mme Seck Oumou Sall, maire de la commune urbaine de Goundam. A quelques semaines des élections communales, Mme Seck claque la porte de l’URD. Et nos sources rapportent qu’elle est sur le point de créer son propre parti.
C’est l’intéressée elle-même qui a annoncé la nouvelle à ses militants et sympathisants du cercle de Goundam, la semaine dernière, au cours d’une rencontre avec l’ensemble des responsables des comités URD de la localité. Oumou Sall a en effet fait part à ses interlocuteurs du jour ne plus faire partie des effectifs de l’URD. Elle a décidé de se présenter aux élections communales sur une liste indépendante.
L’information a circulé comme une trainée de poudre dans le cercle de Goundam et même au delà. Sur les raisons de ce divorce, aucune information n’a circulé dans l’entourage de la désormais ex-baronne de l’URD à Goundam. Personne ne veut commenter cette décision. Les uns et les autres préfèrent plutôt demander aux militants de s’apprêter à aller en indépendants aux élections communales. C’est un véritable flou artistique et un grand mystère qui entourent cette démission de taille dans les rangs du principal parti d’opposition.
Le secrétaire à la communication du parti, Me Demba Traoré, joint au téléphone, affirme ne disposer d’aucune information officielle. «Moi aussi je l’ai appris. À ma connaissance aucune correspondance n’a été adressée à la direction. En tout cas, je n’ai rien vu. Il semblerait qu’elle s’est adressée à la section de Goundam», confie-t-il.
Quant au malaise que cette démission pourrait provoquer dans le cercle, l’Avocat soutiendra qu’aucun parti ne souhaite un départ. Mais que c’est un fait inhérent à la politique et que le parti continuera son chemin.
Par ailleurs, on nous apprend qu’Oumou Sall Seck et ses compagnons sont sur le point de créer un parti politique et que le dossier serait déjà dans le circuit administratif.
Ce qui est évident, c’est que le départ d’Oumou Sall est une grande perte pour l’URD, car depuis le départ d’Oumar Ibrahima Touré, le parti reposait entièrement sur elle dans le cercle de Goundam. Certes, personne n’est indispensable, surtout en politique. Mais la démission de cette dame pèsera très lourd dans la balance à l’heure du bilan pour le parti dans cette partie du pays. Surtout lorsqu’on sait qu’elle n’est pas partie seule; c’est la quasi-totalité de la section de Goundam qui l’a suivie.
Harber MAIGA
Tout ça pour être ministre.Le Mali ne pourra jamais réussir avec des gens comme cette femme.On crée un parti,on soutient le candidat potentiellement présidentiable et ,puis après,on est nommé ministre.Voilà le Mali.Comment de tel pays peuvent réussir.Tous ces gens sans exception sont de la merde et qu’ils crèvent!
Au Mali, les partis politiques ne sont que des startups à la différence qu’ils ne sont pas innovants et n’ont aucun potentiel de croissance.
La conviction d’une personne est la vrais e raison de ses mouvement idéologique, politique et même philosophique. Autant va l’eau autant va la cruche.
OUMOU SALL TU COMMENCE A DECEVOIR LA POPULATION DE GOUNDAM CHAQUE FOIS TU CHANGE DE PARTI POLITIQUE COMME DE CHEMISE , ON COMPREND MAINTENANT IL TE MANQUE LA CONVICTION , il faut regarde aux usa DEUX PARTIS POLITIQUE POUR SI UNE GRANDE POPULATION
Tellement que les partis politiques ont peur des débats, rien n’est spontanée chez eux, tout est bien organisé, même les phrases à dire lors des échanges avec d’autres entités humaines. Quand on refuse de libérer les hommes, vous partiez vers la dérive, c’est ce qui se passe dans nos partie politique. Personne ne peut tenir tête en terme de dialogue aux grands patrons des partis politiques, cela est de nature à mettre toutes entités humaines en décrépitude. Il faut laisser les acteurs d’un parti à se libérer et à accepter le débats à tout moment en tout lieu.
Elle s’en ira ,mais le parti va continuer son chemin. En fait, j’ai toujours cru que le nom de cette femme fait beaucoup plus d’effet que son poids réel. C’est une nomade politique quand on sait que après le Mouvement Citoyen de ATT, elle a fait un tour chez les FARE de Modibo Sidibe avant de se retrouver a l’ URD. Quel parcours !.
En réalité ,cette femme doit son nom au fait qu’elle,comme Chato, ont pu se faire distinguer parmi leurs consœurs du Nord qui font de la politique, c’est tout.
Le vagabondage des responsables politiques du Mali est une chose nécessaire pour la sauvegarde de leur dignité. Car dans la plupart des partis politiques, il n’y a pas de débat, les partis sont gérés à la soviétique, une gestion en muselant les personnes dotées d’idées novatrices. Aucune autorité de ce pays n’aime les débats d’idées, avec çà comment peut-on développer un pays. Tout le monde aime entendre que des flatteries, que des éloges, personne n’aime des critiques constructives.
Je salue votre courage Madame.J’ai toujours penser que votre place était ailleurs.L’URD aurait du faire de vous la vice Présidente du Parti depuis longtemps. Vous faite partie des quelques femmes de valeurs qui ne doivent pas jouer les seconds rôles. Goudan a été façonné par vous durant vos mandats.Quelque soit la voie que vous aurez choisi, je sais que vous allez réussir, en tousles cas je vous le souhaite du fond du cœur. Continuer à vous battre pour les populations de Goudan et du Mali en général. Bon vent Madame
Démissionner oui mais pas créer un parti politique! Il y en a déjà plus que la population malienne, vaut mieux se mettre ensemble et créer 2 à 3 partis politiques solides et sérieux. Tout le monde ne peut pas être ministre ou DG alors réunissons nos forces au lieu de créer des partis sans aucune assise populaire et prétendre à des prébendes. Avec mes respects madame,.
: Je ne connais pas la cause de sa démission, mais je crois qu’elle comprit en tant que femme et mère, le sens du (mot parti politique) qui ne serve rien pour le développement, la paix et la construction de notre société. C’est ma pensée philosophique si c’est le cas toutes les femmes maliennes devrais démissionner des partis politiques. Ce mot de division devrait comprendre par toutes les femmes du Mali. Pour éviter une division même au sein de la famille, surtout dans notre pays. Travaillons dans l’indépendance main dans la main c’est ça le rôle des femmes, surtout les femmes Maliennes. Les femmes est la base de l’Education Nationale, les femmes maliennes unissent ont ne divisent pas. Femmes Maliennes allons (lions au- delà) de la politique, ne nous limite pas, la vision de la femme doit être illimité? Courage les femmes sortent dans les coquilles des non visionnaires.
Comments are closed.