Longtemps décrié par les Maliens, les autorités, à tous les niveaux ne sont pas l’exemple lorsqu’il s’agit de garder un secret d’Etat. Pour preuve, les décisions du Conseils des Ministres, ne sont plus des secrets de polichinelle, qu’à cela ne tienne ce qui s’est passé la semaine dernière est condamnable et doit interpeller l’ensemble des responsables du pays.
Le document supposé top secret retrouvé dans la presse
Oui, cela s’est passé la semaine dernière. Le rapport de la Commission ad hoc chargé de statuer sur la culpabilité de l’ancien président de la République, Amadou Toumani Touré, en exil forcé au Sénégal, s’est-bizarrement retrouvé dans les colonnes de certains journaux, le vendredi 13 mars 2015, et tenez-vous bien, avant d’être vu et lu par le président de l’Assemblée, l’honorable Issaka Sidibé, qui en est normalement le destinateur principal avant toute publication.
En tout cas, la publication de ce rapport a provoqué une vive colère au niveau de l’Assemblée nationale, notamment la colère du président Sidibé qui a expressément convoqué une réunion extraordinaire du bureau de l’Hémicycle dans l’après-midi du même vendredi pour tenter de démasquer les auteurs de cette fuite.
Selon nos informations, la commission ad hoc, avec à sa tête l’Honorable Abdoul Kassoum Touré et son rapporteur, l’Honorable Bréhima Bérédogo, a terminé ses travaux du rapport définitif, adopté par l’ensemble des Commissaires.
Mais la surprise a été grande, lorsque le lendemain, sans que le président de l’Assemblée ait touché au document, il le découvre dans la presse.
A qui la faute ?
Du bureau de la commission ad hoc, à la presse, qui peuvent être les auteurs de ladite fuite ? Qui a osé défier Issaka Sidibé ? Questions pertinentes. On ne doit pas être surpris quand on sait que des défenseurs de la cause du général fuyard se trouvent entre les murs de notre hémicycle. D’autre part, il faut reconnaitre que depuis l’air de la démocratie au Mali, l’impunité a gagné du terrain. Des pratiques de ce genre sont courantes. Les secrets d’Etat sont toujours étalés sur la place publique. On le sait également, nos députés, une fois élus oublient la cause de leurs électeurs et la nation entière. Mais on ne pouvait pas d’un moment imaginer que des élus de la nation pouvaient avoir le courage de glisser dans la presse des informations classées secrètes au plus haut sommet de l’Etat.
Pour le moment, le président de l’Assemblée, Issaka Sidibé cherche à démasquer la taupe de son institution. D’aucuns pensent qu’il se fatigue, car l’ossature de l’institution ne lui laissera pas la tâche facile. Mais le faut.
Issa KABA
BLABLABLABLATE CHACHACHA CHOUCHOU 😉 —–NOUS SOMMES PAS TOUS DES IDIOTS AU MALI Mme 😉 ————————————————————————————————–NE MA MOGO TOGO FODEH NE BIYEREDON ————————————————-TOUT EST ECRIT SUR WEB
c’est criminelle ça, même si vous êtes opposant , vous devez garder le secret pour le respect de l’institution et de la nation.
ARRETé DE GLOBALISER LES -OFFENSES ENTRE UNE NATION —DANS VOS REACTIONS ABRUTI COMME VOTRE PERSONNE CREVARD 🙁 🙁 —————————————-ET VOILA ———————————————————————————–VIVE VIVE ET ENCORE VIVE IBK -VIVE A TOUS GENS DE BON COEUR -VIVEVIVE A L’HONORABLE AZIZA MOHAMED LA DAME DE FER MALIENNE .VIVE LE PEUPLE MALIEN -VIVEVIVEMOUSSAMARAAAAAAAPOUR UN MALIBA MEILLEUR ————————————————————————————————————————————–A BAS LES CRETINS—–A BAS LES -ENFIORèS ET ————–REVOILA 🙁
L’incompétence n’est point une qualité et être membre d’un clan ne peut jamais justifier à lui seul des aptitudes pour diriger une telle institution.
L’assemblée nationale n’a jamais été aussi mal gérée que sous ce monsieur qui sans être le beau père national n’aurait jamais eu un simple poste de conseiller municipal.
Au Mali, tout est fait et dit de travers, des mobiliers et véhicules disparaissent, des députés ignares et absentéistes sabotent l’appareil judiciaire par des coups de point, des commissions de complaisance qui ne servent qu’à corrompre et bouffer les maigres ressources d’un pays à l’agonie et pendant ce temps-là, le peuple tire le diable par la queue et assiste à sa mort certes lente mais bien douloureuse.
Le Mali d’abord ou les maliens après, difficile équation?
je sais pas vous ètes etonnez du comportement de ces dits deputés ki ont été elus a la foulés ; ki connaisse pas les regles et reglement de l emicycle obligé il faut s’ attendre a ça
Ces dit Pipo tous ca Dieu a voulue montre o malien cki ces manigances deriere les malien c tous fau pas que vou faite chier les gens ces tous att est innocent pétaitre
Malheureusement c’est ce qui est déplorable !
Malheureusement ce comportement n’est pas le propre de l’Assemblee Nationale mais existe a tous les niveaux
Les responsabilites sont confiees a des concitoyens sans enquete de moralite et les sanctions n’existent pas
Ce n’est pas facile , car le laissez aller est a tous les niveaux et ce depuis plusieurs annees
“D’aucuns pensent qu’il se fatigue, car l’ossature de l’institution ne lui laissera pas la tâche facile. Mais le faut.”
😥 😥 😥 😥 Et le pire, c’est “d’aucuns” ont effectivement raison… 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
Quelle déchéance…
Un président acheteur en douce de Boeing sur les fonds du “développement”… 😳 😳
Des ministres complices de surfacturations et de détournements… 😳 😳
Des bataillons de l’armée nationale qui détalent en courant… 😳 😳 😳
Un ministre de la sécurité qui fait la sieste sous le clim… 😳 😳 😳
Et maintenant, des “honorables députés” acheteurs de 50 Toyota Prado et prêts à vendre des documents ultra-confidentiels… 😳 😳 😳 😳 😳
En matière de honte, difficile de faire…mieux! 😳 😳 😳 😳 😳
C’est tout simplement la honte. Cette action dépasse tout commentaire. Un rapport qui doit être déposé sur le bureau de l’Assemblée Nationale, discuté en plénière, adopté par la plénière avant de faire l’objet de publication. Comment peut-on comprendre que ce rapport dont le contenu n’est même pas connu des Députés, à plus forte raison, adopté, se trouve étalé sur la place publique? Quelle HONTE!
Quelle est l’Honorabilité de cette Institution?
Où est l’Honorabilité des Hommes et des Femmes qui sont à la base de cette fuite? Ils font tout simplement honte à l’Institution.
En plus de tout ça, les travaux au niveau des Commissions sont confidentiels.
Nous tenons à préciser que c’est pas le premier cas.
Les règles de l’Assemblée Nationale ont tjrs été bafouées depuis un certain tps par ceux-là même qui sont censé les respecter et les faire respecter.
Est-ce la méconnaissance des textes régissant le travail parlementaire ou un simple sabotage?
Le respect se mérite!
Beaucoup de cadres maliens savent-ils qu’une information classifiée est une information sensible dont l’accès est restreint par une loi ou un règlement à un groupe spécifique de personnes et dont une habilitation est requise pour posséder des documents classifiés.
Les documents “Très secret” ou “Top Secret” constituant le plus haut niveau de classification de l’information, leur divulgation publique pourrait causer un dommage exceptionnellement grave pour la sécurité nationale. Mais, lorsque le citoyen lamda se met en tête qu’il doit savoir combien de fusils ou de chars ont été acquis par l’armée, on est en droit de se demander s’il aprehende l’importance de l’existence de la defense de sa nation souveraine. Ici, je fais allusion à l’affaire tonitruante de commande d’effets militaires. Alors quoi d’étonnant qu’un document de l’AN se retrouve à la Une d’un journal avant la transmission à qui de droit. Celui qui a commis une telle forfaiture est indigne de la République. Les viets préferaient se donner la mort que de communiquer des informations aux français et aux américains.
Même dans nos milieux traditionnels, tout le monde n’est pas dépositaire du secret de la famille.Il en est de même pour le village. En cas de violation, le culte du komo était implacable. Malheureusement, le citoyen malien se donne à coeur joie, à fouler au pied ce qui doit protéger une nation respectée. Dommage et encore dommage.
VIVE LA REPUBLIQUE
C’est dommage, mais tout le pays est comme çà, les hommes et les femmes d’état qui ne peuvent pas tenir leur langue. Un pays comme çà mérite de disparaitre, car un pays c’est d’abord la discrétion de ses hommes et femmes ayant en charge la gestion des organes de l’état.
Comments are closed.