Turbulence au sommet : Bocary Tréta, Choguel Kokala Maiga, Sada Samaké, Mohamed Ali Bathily Dramane Dembélé et Mahamane Baby : Ces Ministres qui annoncent la chute du régime IBK

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ci-contre : Sada Samaké, Bocary Treta, Mohamed A Bathily
ci-contre : Sada Samaké, Bocary Treta, Mohamed A Bathily

Nous ne nous lasserons jamais de rappeler le score nord coréen de 77. 6 %  obtenu par le candidat IBK au second tour de l’élection présidentielle malienne. Par ce  score l’écrasante majorité des électeurs a non seulement voulu manifester son ras-le bol de l’ancien système,  mais aussi et surtout a donné carte blanche à IBK pour relever le Mali, restaurer l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire, lutter contre la corruption et le népotisme,  et surtout  annoncer le retour du Mali sur la scène internationale. Mais moins de deux ans après son investiture, le constat est alarmant, les maux contre lesquels le Peuple a jeté son dévolu sur IBK ont connu une ascension fulgurante et en toute impunité. Que reproche –t- on  à ces ministres qui font tant parler d’eux et qui  risquent de contribuer à la chute du régime ? 

 

Décidément le régime d’IBK est en passe  de battre le record de tous les régimes de l’indépendance à nos jours  en scandales et histoires rocambolesques. Et ce qui est aberrant est que les responsables de ces forfaitures ou supposés l’être ne sont nullement inquiétés et certains sont même promus comme au bon vieux temps du dictateur Moussa Traoré.

En effet, après le scandale autour de l’achat du Boeing présidentiel et des équipements militaires pour les FAMas, incriminant certains caciques du régime  comme : Mme Bouaré Fily Sissoko, Mahamadou Camara, Ben Barka, Soumeilou Boubèye Maiga et Sidy Mohamed Kagnassy, Six autres scandales  éclaboussèrent la République et ternirent l’image déjà malmenée du Président de la République. Il s’agit  de l’histoire inédite des  engrais frelatés, de la gestion calamiteuse de l’AMRTP, de l’affaire de passeport et de carte d’identité Nationale, de la démolition de la zone ACI de souleymanebougou, et enfin de la scandaleuse affaire de distribution des logements sociaux de N’Tabacoro ainsi que des nominations aux élans de régionalisme mono-ethnique.

Ils sont donc six ministres à être impliqués dans les malversations, d’actes avérés de corruption, d’incompétence notoire, de népotisme et d’abus de pouvoir. Il s’agit du :

 

Ministre du développement Rural M. Bocary Tréta.  Secrétaire général du RPM, le parti majoritaire, M. Tréta est impliqué dans l’affaire dite des engrais frelatés hors normes, donc très nocifs et pour les plantes et pour notre environnement. Interpellé à deux reprises par les élus de la nation sur la question, M. Tréta a avoué que les analyses faites sur un certain nombre d’échantillons prouvaient bien l’insuffisance voir le manque d’éléments indispensables pour attester de la bonne qualité des engrais. Par cet acte délibérément commis par M. Tréta c’est plus de 30 milliards du contribuable malien qui ont été ainsi dilapidés. Restera-t-il impuni ? Seul IBK le premier magistrat de la République pourra répondre à cette question.

 

Ministre de l’Economie Numérique et de la communication, porte parole du Gouvernement, Dr  Choguel Kokala Maiga. Président du Mouvement Patriotique pour le Renouveau MPR, M. Maiga pourrait être appelé le Bernard Madoff malien tant sa gestion de l’AMRTP est controversée, comme en atteste les rapports 2013-2014 du VEGAL. M. Choguel Maiga, même après sa nomination comme ministre continue non seulement à gérer la structure, mais aussi se fait octroyer des avantages faramineux comme l’indemnité de supervision de la commission de désignation du nouveau DG de son ancienne structure, à raison de 400 000 F CFA par jour et en 8 jours. Choguel est-il au dessus des lois de la République ?  Nous consacrons à cette affaire un gros dossier à lire en  page 4.

 

Du Ministre de la sécurité et de la protection civile, le Général Sada Samaké. Sorti des bois pour devenir ministre après l’avènement d’IBK au pouvoir, le Général Sada Samaké n’a malheureusement pas été à la  hauteur de sa mission. Interpelé à plusieurs reprises sur la  question de passeport et de carte d’identité par les députés, le Général a, à chaque fois, rassuré les élus de la nation, mais sans jamais honorer ses engagements. Mais face à la grogne de plus en plus forte, le premier ministre a pris le problème à bras le corps en dépossédant partiellement son ministre du lancinant dossier en attendant certainement le remaniement. IBK se décidera-t-il enfin à se séparer de son vieil ami ?

 

Du ministre des Domaines de l’Etat et des affaires Foncières, Me Mohamed Ali Bathily. Qualifié par certains de ministre des pauvres et des sans voix, Me Bathily est pour d’autres un revanchard. Entre ces deux jugements se trouve la grande majorité désabusée, dépossédée qui n’a que ses deux yeux pour pleurer. Pour rappel,  Me Bathily l’ex ministre de la justice a fait annuler plus de 100 hectares de parcelles frauduleusement acquises, il a démoli des centaines de maisons illégalement construites soit sur le lit du fleuve ou du marigot empêchant la circulation de l’eau et provocant souvent  d’innombrables inondations. Mais la goute d’eau qui a fait déborder le vase aura été sans nul doute la démolition d’une soixantaine de maisons construites sur le site de  l’ACI sise à Souleymanebougou et vendu précédemment au Guide libyen. Alors que l’opération de démolition  avait commencé voilà que soudain elle est arrêtée par décision du Chef de l’Etat lui-même, laissant du coup planer le doute et la suspicion sur la volonté réelle du ministre Bathily d’aller jusqu’au bout, en dépit de l’assurance qu’il a donnée lors de sa conférence de presse tenue après l’opération. Comment un ministre peut-il pendre une si lourde responsabilité sans au préalable s’en référer à sa hiérarchie ? La question qui est sur toutes les lèvres est celle de savoir si le bouillant ministre ne va pas seulement appliquer la loi sur les menus fretins en laissant les gros poissons. Combien de maisons sont construites sur les rives du Djoliba à Badalabougou sur des titres faux obtenus par la SEMA qui occupent les servitudes du fleuve Niger ? Va-t-il aussi libérer l’emprise du fleuve Niger en cassant  toutes ces maisons bâties sur de faux titres fonciers ?  Le président IBK le laissera-t-il aller jusqu’au bout ? M. Bathily déjouera-t-il les préjugés en appliquant la loi rien que la loi « Duralex Ced Lex » disent les juristes. Attendons de voir.

 

Du Ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat M. Dramane Dembélé. 2e vice président du Comité exécutif de l’ADEMA-PASJ et 3e aux élections présidentielles de 2013 au Mali, M. Dembélé a été nommé ministre dans le gouvernement du Premier Ministre Modibo Keita pour s’occuper de l’épineuse question des logements sociaux. M. Dembélé, tambour battant a suivi les travaux de finition avec les techniciens sur le terrain. Une commission de distribution sera mise en place et dirigée par M. Issa Guindo, l’ancien maire très décrié de  la commune IV du District de Bamako. Les rumeurs allaient bon train et faisaient état de  l’existence d’une commission parallèle. Jusqu’à la fameuse conférence de presse tenue par le Ministre Dembélé au cours de laquelle il a réussi à couper court à toutes les rumeurs en rassurant les postulants que la transparence sera de mise,  que seuls  ceux qui répondront aux critères  sans aucune autre considération auront leur logement social. Mais quelle ne fut pas notre surprise de constater, après la publication de la liste des bénéficiaires, que ni la transparence, ni le respect des critères souverainement élaborés, encore moins celui de la parole donnée du Ministre n’aura fait bénéficier un logement à un postulant. Certains qui n’en ont pas besoin en seront même attributaires. C’est plutôt donc le nouveau concept de gestion sous IBK  qui a été appliqué à savoir : Ma famille d’abord, ensuite mon clan et enfin mon parti et les partis alliés au détriment de l’écrasante majorité du Peuple. Il est à noter deux autres faits gravissimes dans ce qu’il convient désormais d’appeler la rocambolesque affaire dite des logements sociaux, c’est la nette différence entre le nombre officiel des maisons et le nombre réel, ensuite la figuration  sur la liste de deux ministres de la République à titre de bénéficiaires. Toutes ces deux actions méritent d’être portées devant un juge pour avis. Après toute cette cacophonie au sommet de l’Etat, le Président IBK est fermement attendu pour sévir contre ces malfrats de la République qui ne sont mus  que par leurs intérêts égoïstes et de politiques partisanes. Ceci expliquerait-il peut-être le boycott  par le président IBK de la cérémonie de remise des clefs aux bénéficiaires qui a été suivie par la pose de la première pierre des 20 mille  nouveaux logements ?

Du Ministre de l’Emploi de la Formation Professionnelle de la jeunesse et de la construction Citoyenne, Mahamane Baby. Un des grands caciques du parti présidentiel, M. Baby a transformé son département en un bureau de placement pour parents, amis, cousins et cousines sonrhaïs, au détriment de la valeur intrinsèque, de la compétence, de l’intégrité morale et de l’expérience. Jamais le sectarisme n’aura  atteint un si haut pavé et autant d’ampleur que sous IBK. Du DG de l’APEJ, à celui du FAFPA, en passant par les Directrices des structures comme la Direction Nationale de l’Emploi (DNE), la Direction Nationale de la Formation Professionnelle (DNFP), du PNA/ERP et de la DRH sont tous des sonrhaïs. Est-ce à dire que seuls les cadres de la communauté du Ministre Baby sont-ils à la hauteur et les seuls compétents ? Ou est-ce déjà le début de l’application de l’accord discriminatoire entre maliens qui a commencé ? Le Mali est une nation Une et Indivisible, les pratiques de complexe de  ce genre sont de nature à saper l’Unité nationale et la Cohésion sociale gages du vivre ensemble entre les communautés du Nord au Sud,  d’Est en Ouest. C’est une façon de les stigmatiser de plus que de les aider vraiment,  une façon de  les exposer que de les protéger, de les faire honnir que de les faire aimer par les autres maliens. IBK est alors attendu pour mettre fin à ces pratiques d’une autre époque.

En définitive, la question que le citoyen lambda se pose est celle de savoir si IBK va lier cette fois-ci l’acte à la parole en tapant du poing sur la table pour dire enfin que trop c’est trop, ou comme d’habitude ces critiques ruissèleront-elles  sur sa carapace politique déjà abimée par tant d’attentes non comblées des maliens ? Comme il en a pris l’engagement lors de la présentation de vœux cette année à l’occasion de la fête de l’Aïd Elfitr.  Attendons de voir ce que vaut cette énième mise en garde. A quand IBK sifflera-t-il enfin la fin de la récréation.

    Youssouf Sissoko      

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  1. “Bocary Tréta, Choguel Kokala Maiga, Sada Samaké, Mohamed Ali Bathily Dramane Dembélé et Mahamane Baby : Ces Ministres qui annoncent la chute du régime IBK”

    ENORME ERREUR! 8) 8) 8)

    Ces ministres véreux, tous nommés (et protégés) par Zonkeba en personne, n’annoncent pas du tout la chute du régime, ils LA CONFIRMENT! 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)

  2. Ce journaliste ne sait pas ce qu’il dit, je parie qu’il a rédigé cet article étant ivre. Ces collectes des diffames ne signifient rien de concret. Il ne raconte que des balivernes sur le Ministre Baby. Or, tout le monde sait qu’il n’est pas le seul à faire cela.

  3. Que le Ministre Baby rempli son département des sonrhaïs, cela importe peu. Par contre, c’est le résultat qui compte. De vous à moi nous savons tous que ce Monsieur travail mieux que qui conque dans le gouvernement actuel. Raison pour laquelle on lui a confié le département de la construction de la jeunesse. Lisez cet article et apprécié son travail bienfait à travers ces actes de tous les jours.
    Mali : Formations entrepreneuriales et Financement des projets : Le Ministre Baby lance le recrutement de 2 100 jeunes faiblement scolarisés.
    Cette opération qui concerne à l’horizon 2018, 10 000 jeunes dont 2 000 diplômés est mise en œuvre dans le cadre de la mise en œuvre du volet Entrepreneuriat des jeunes ayant une éducation limitée du Projet de Développement des Compétences et Emploi des Jeunes (PROCEJ). L’Agence pour la Promotion de l’Emploi des jeunes chargée de l’exécution de ce volet a déjà réalisé plusieurs sessions de sensibilisation, la formation des formateurs et le lancement des appels à candidatures sur les supports médiatiques.
    Le projet est axé sur un ensemble d’appuis comprenant la sensibilisation sur les questions de l’entrepreneuriat. Ensuite 60% des 2 100 jeunes sélectionnés seront encadrés sur l’élaboration de plans d’affaires simples, et la fourniture de fonds de démarrage (dotation en capital d’environ 400 dollars) tout en facilitant l’accès au microcrédit, l’assistance opérationnelle et l’encadrement sur 12 mois. Il vise les jeunes maliens de 21 à 35 ans faiblement scolarisé (être déscolarisé, non scolarisé ou titulaire d’un CAP au maximum, d’un certificat ou attestation de niveau équivalent).
    Le Ministre de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne Mahamane BABY a rappelé que cette opération qui coûtera 2,5 milliards de fcfa sur 4 ans permettra de former des jeunes en entreprenariat, appuyer les jeunes formés pour l’élaboration de plans d’affaires simplifiés, fournir des kitsf/fonds de démarrage à ces jeunes entre 200 000F CFA et 500 000F CFA, accorder des micros crédits aux jeunes jusqu’à hauteur de 1 400 000F CFA et fournir l’assistance opérationnelle et l’encadrement sur 12 mois.
    Auparavant les représentants des légitimités traditionnelles et le maire ont salué le lancement de cette opération à partir de Kita. Un exposé présenté par le coordonnateur de l’unité de gestion du projet, M. Drissa Ballo, a permis à la nombreuse assistance d’en appréhender tous les contours.
    Quant au Directeur des opérations de la Banque Mondiale M. Paul Nouba-Um, il a engagé son institution à suivre ce projet et à apporter des fonds additionnels en cas de succès avérée des entreprises à créer.
    Outre le Ministre Baby et le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale pour le Mali, la cérémonie a accueilli plusieurs députés dont le premier vice-président de l’Assemblée Nationale, les élus et autorités locaux, les notabilités, les Directeurs Généraux de l’APEJ, du FAFPA, les représentants du FARE, de l’ANPE, des services régionaux du Département de l’emploi, le président du CNJ et sa base locale.
    Le PROCEJ consiste à favoriser la création de 200 000 emplois, à mobiliser 250 milliards de F Cfa pour le financement de l’entreprenariat jeune et le développement de dispositifs de formation professionnelle qui facilitent l’insertion des personnes formées. Le projet compte améliorer l’employabilité via le renforcement de : 6 établissements publics d’enseignement technique et professionnelle ; l’Ecole normale de l’enseignement technique et professionnel spécialisée dans la formation des enseignants et de l’enseignement technique ; la formation de 4500 jeunes non scolarisés et déscolarisés tenant compte de 30 % filles en plus de la formation et l’insertion de 20 000 jeunes non scolarisés et déscolarisés dont 40 % de filles dans les zones semi-urbaines et rurales dans les régions de Kayes, Sikasso, Mopti, Tombouctou, Gao et à Bamako. Le PROCEJ envisage également les créations de 3 600 entreprises, 7 200 emplois et 600 entreprises en plus de soutenir 250 nouveaux emplois.
    Au Mali plus de 70% des jeunes entre 15 et 24 étaient déscolarisés en 2010 et avait des qualifications et des compétences très limitées pour l’employabilité. Cette situation a amené le Président de la République à faire de la question de l’emploi des jeunes un des axes stratégiques de son mandat.
    CICOM APEJ 31 07 2015
    Source: L’Agora
    – See more at: http://maliactu.net/mali-formations-entrepreneuriales-et-financement-des-projets-le-ministre-baby-lance-le-recrutement-de-2-100-jeunes-faiblement-scolarises/#sthash.oRbPSeLZ.dpuf

  4. Pour une fois de plus, je demande aux hommes de médias d’être cohérents et reconnaissant vis-à-vis de des actions menées par nos gouvernants. Même en lisant cet article ci-dessous, on sait que le Ministre Baby et Dembélé sont dans le parfait dynamisme de travail.
    Renaissance de l’espoir : 20 000 logements, 100 000 emplois directs.
    Le 30 juillet dernier, le chef du gouvernement, le Premier ministre Modibo Keïta après avoir procédé à la remise des clés des 1552 bénéficiaires des logements sociaux de N’Tabacoro a posé en compagnie du ministre de l’Urbanise et de l’Habitat, Dramane Dembélé, la première pierre des 20 000 prochains logements sociaux dans la même zone.
    Ce projet qui entre en droite ligne des préoccupations du président de la République son excellence Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), va en plus de loger 20 000 foyers, contribuer à l’atteinte d’un autre de ses objectifs cher qu’est la lutte contre le chômage en créant 100 000 emplois directs. Ça s’appelle faire d’une pierre deux coups.
    Depuis son accession à la magistrature suprême, l’ensemble des actes posés par le chef de l’Etat son excellence Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) et l’ensemble de son équipe concourent au bien être des Maliens. Les promesses électorales sont en train de faire place à leur réalisation concrète sur le terrain. C’est le cas des logements sociaux. En effet, les clés d’une première tranche de 1552 logements ont été remis aux heureux bénéficiaires le jeudi 30 Juillet dernier par le Premier ministre, Modibo Keïta en présence du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, Dramane Dembélé, de plusieurs membres du gouvernements et surtout des bénéficiaires tous heureux de la tenue de cette promesse présidentielle.
    Avant la fin de cette année, ce sont les populations des cercles de : Kéniéba, Nara, Koutiala, Kadiolo, Ségou, San, Barouéli, Bankass et Koro qui se verront remettre à leur tour les clés de leurs maisons. Cette promesse et volonté présidentielles sont pleinement mises en œuvre par le département dirigé par Dramane Dembélé. En témoigne ces récents périples dans le pays profond pour poser les premières pierres des futurs logements sociaux, qui en plus de satisfaire le besoin croissant des Maliens d’avoir un « chez soi » va permettre la création d’emplois.
    C’est le cas des 20 000 logements sociaux qui vont sortir de terre dans 24 mois sur le même site de N’Tabacoro, dont la première pierre a été posée par le Premier ministre, Modibo Keïta le même soir de la remise des clés des 1552 logements. Est-il besoin de rappeler, que 20 000 logements, c’est 20 000 foyers tirés des affres de la location ? Ces futurs logements vont coûter à l’Etat malien et à ses partenaires la somme de plus de 300 milliards de nos francs. Ce bel exemple de partenariat public-privé qui va réaliser ce projet grandeur nature, contribuera à la création d’emplois. Ainsi, ce sont plus de 100 mille emplois directs qui seront crées et des milliers d’emplois indirects.
    A la signature de l’accord avec les partenaires privés, Moussa Coulibaly président de l’Association des Promoteurs Immobiliers du Mali (APIM) a promis « L’Association des promoteurs immobiliers s’engage dans une dynamique participative pour le respect des normes de qualité dans la phase pilote ». A cette même cérémonie le ministre, Dramane Dembélé a fait savoir que la demande était très forte. C’est pourquoi il envisage d’aller vite « Les études menées dans le secteur du logement du Mali ont fait ressortir pour l’horizon 2015 un besoin fort d’environ 440 000 unités d’habitats. 200 000 soit 45,5% au titre de la diaspora, 196 000 soit 44,5% pour les fonctionnaires et salariés et 44 000 soit 10 % pour les non salariés », a commenté le ministre. Avant d’ajouter que ce programme immobilier projeté à travers les présents protocoles est ambitieux. Ce vaste programme qui bénéficie de l’accompagnement de la société chinoise China Machinery Engeneering corporation va porter sur la création de près de 50 000 emplois directs et indirects », a fait savoir Dra. Mieux, le ministre a réussi à convaincre l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Mali (APBEF) à accompagner ledit programme.
    Trois Cents milliards pour la construction en 24 mois de 20 000 logements sociaux avec la création de plus de 100 mille emplois directs, voilà de quoi faire renaître l’espoir chez les Maliens.
    Tiémoko
    http://www.maliweb.net/logements-sociaux/renaissance-de-lespoir-20-000-logements-100-000-emplois-directs-1085742.html

    • SIRANI
      “Renaissance de l’espoir : 20 000 logements, ”

      Dont 19 999 attribués par relation, copinage, et par magouille!

      Tu as raison: L’ESPOIR RENAIT!

  5. C’est quoi tous ces cirques, les hommes de médias sont devenu des détenteurs du pouvoir législative et judiciaire. Ils oublient qu’il y’a un chef qui coiffe tout le Mali. IBK n’est pas fou pour laisser des individus malsains trainés au sein de notre gouvernement. Le remaniement prochain en jugera plus.

  6. C’est audacieux, les journalistes veulent prendre maintenant la place du chef de l’Etat. Ils se permettent même de donner des ordres au président de la République. IBK est conscient de ce que chacun de ces ministres représentent pour lui. S’il y ‘a quelqu’un qui doit les licenciés c’est bien sur lui car il est le premier responsable.

  7. Les logements sociaux ont été donnés selon des critères. Selon le Ministre Dembélé, les demandes qui ont été rejetés seront dans les jours à venir réviser par son département. Bien sûr pour enfin de redonner espoir à ceux qui n’ont pas pu bénéficier des lots.

  8. Le président de la république a fait une erreur en aillant confiance à ce maudit Tréta, mais de toutes les façons c’est un homme, donc il a le droit de se tromper !!!

  9. Il est temps d’enterrer cette affaire des engrais frelaté, IBK a déjà ouvert une commission d’enquête dont nous attendions tous le résultat. En tant que le premier responsable, Treta sera le premier a quitté le gouvernement avec le remaniement prochain.

  10. C’est évident que nos hommes de médias s’acharnent sur le Ministre de l’économie Numérique. Même s’ils oublient que ce n’est pas ce dernier qui a réduit le quota de la presse. Au lieu de 200 millions, cette année le gouvernement est descendu jusqu’à 90 millions.

  11. Aucun ministre incapable ne resta au gouvernement. Ibrahim Boubacar Keïta chassera tous ceux qui n’ont pas été à la hauteur. Attendons le remaniement prochain. 😛 😛 😛 😆 😆 😆

  12. IBK peut s’en vouloir d’avoir eu à collaborer avec un incapable comme Tréta, mais malheureusement il n’est devin, il ne pouvait pas savoir que ce bouffon pouvait déconner de cette manière !!! Mais il a promis la lumière sur cette affaire !!!

  13. Un homme averti en vaut mieux que deux (2). Le ministre Mohamed Ali Bathily, après sa visite sur le terrain, a fait une déclaration sur l’ORTM. Selon ses dits, les concessions démolies étaient toutes illégalement érigées sur le site de l’ACI. Donc, les propriétaires ont agi en dehors de la règle en s’appropriant des titres non valides. 😀 😀 😀 😀 😆 😆

  14. Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a rappelé que le 13 octobre 1947 le titre foncier n°1368, d’une superficie totale de 85 ha 13 a 97 ca a été créé à Souleymanebougou, Commune rurale de N’Gabakoro-Droit. Ce titre foncier mère a donné naissance au TF 0050 du Cercle de Kati. Le reliquat a été mis à la disposition de l’ACI par le gouvernement, suivant un mandat en date du 12 janvier 2002. Il fait une superficie de 63 ha 26 a 10 ca entièrement aménagée par l’ACI en exécution de son mandat. Le 9 juin 2008, le préfet de Kati, Ibrahima Mamadou Sylla, par lettre n°88/CKTI-Dom demandait à l’ACI de lui fournir des informations « sur une parcelle longeant le marigot Farakoba ».
    En réponse à cette demande, il a été indiqué que « cette bande empiète sur le lotissement de l’ACI. Cette situation a été confirmée par une nouvelle expertise. Ainsi, le site a été aménagé et des parcelles ont été créées pour être vendues. Malgré la réponse claire qui lui a été donnée, le préfet de Kati a procédé à la création de ses propres parcelles qu’il a cédées à plusieurs personnes. (Selon le Ministre Bathily) 😆 😆

  15. Le président IBK a fait confiance à tous ses ministres mais quelques uns d’entre eux comme Tréta et Sada ont abusé de cette confiance. Ils n’ont rien de ce qu’on attendait d’eux.

  16. Apparemment, les journalistes deviennent des ennemis jurés de l’Etat. Sada Samaké, Bocary Treta, Mohamed Ali Bathily, ne suffissent plus maintenant c’est Mohamed Baby et Choguel Kokala Maiga. Baby n’a fait que choisir les gens qui lui semblent compétents.

  17. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire en même temps. Nous voulons que la justice soit rendue et nous ne voulons pas être victime de la justice. Nous voulons que la corruption soit combattue dans notre société et nous ne voulons pas subir les exigences qui y vont avec.

  18. Nombreux sont les maliens qui ne veulent pas l’avancement de ce pays. Mais ils se comportent du matin au soir comme des vrais patriotes à la recherche d’une issue alors qu’ils jouent aux pyromanes dans l’ombre.

  19. Le racisme n’a rien à avoir avec le professionnalisme. Ces réactions des journalistes vis-à-vis de ces ministres sont insensées. Certes il y’a des ministres qui ne sont pas favorable dans la gestion du pouvoir mais ce n’est pas eux tous qui sont les mêmes. Le Mali n’a jamais connu la discrimination raciale sur le plan professionnel. Dire que le Ministère de l’Emploi de la Formation Professionnelle de la jeunesse et de la construction Citoyenne, est garni des Sonrhaïs, cela est tout à fait déraisonnable.

    Je suis citoyen lambda, et je me suis rendu plusieurs fois dans ledit Ministère. Selon mes constats, des Traoré, Konaté, Camara…. pour ne citer que ceux-ci occupent des postes au sein dudit ministère. L’éthique et la déontologie, relève une parfaite cohérence de l’honnêteté dans ce métier de journalisme. Si vous êtes un journaliste digne de ce nom, vous devez au moins accordé un de crédibilité à votre travail. De plus, même si les employeurs de ce Ministre sont tous des sonrhaïs, cela n’est pas une référence, c’est le résultat qui compte.

    Cependant, le Ministre Mahamane Baby a surpassé les attentes du chef de l’Etat. Puis qu’en plus du département de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, il a aussi hérité du ministère de la construction citoyenne. A ce que je sache, aucun ministre du régime actuel n’a été sollicité plus que lui. Donc arrêtons de mettre l’huile sur le feu.

  20. A part, peut être un ministre et jusqu’à preuve du contraire je ne vois aucun ministre changeable dans le gouvernement actuel. Mais on veut forcement nous faire croire qu’il y a des intrus dans le gouvernement. Je ne gobe rien de ce que disent les journalistes, menteurs et mal intentionnés du Mali.

  21. Qu’il s’occupe de cela ou pas ce n’est pas un problème, ce que les maliens attendent de lui c’est le résultat, donc peu importe ce qu’il peut faire d’autres !!!

  22. ce journaliste est un véritable con de la presse écrite. cet article tente de divertir la population envers des discutions inutile.

  23. Entre juillet et août 2014, un nouvel appel d’offre est lancé par le gouvernement du Mali en vue de préparer la campagne agricole 2015-2016. Moustapha Ben Barka, ministre de l’industrie et de la promotion des investissements demande à Moussa Mara, chef de gouvernement à l’époque que les industries nationales spécialisées dans le domaine agro-pastoral soient priorisées. Autrement dit que le marché soit attribué largement aux entreprises nationales. En sa qualité de chef de gouvernement, Moussa Mara adressa une lettre à Bocari Treta ministre de l’agriculture dans laquelle il lui demandait d’agit comme conseillé par Ben Barka. Une exigence à la quelle, Bocari Treta n’adhéra point car aucune réponse ne sera émise en réponse à la recommandation du premier ministre, chef de gouvernement. Entre temps, Kalifa Sanogo, Président Directeur Général de la Compagnie Malienne pour le Développement du Textile (CMDT) se présente en catimini à la primature pour tenter de discréditer les entreprises nationales au profit de celles de l’extérieur. L’objectif était sans nul doute d’étioler la confiance du premier ministre en ces sociétés, notamment Toguna Agro-Industrie a témoigné notre source. Bien que Moussa Mara insistera pour trouver une parade, il ne saura éviter les décisions d’adjudications dont les avis sont signés le samedi 4 octobre à Bamako par Bakary Togola, président de l’ l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali (APCAM) et conseiller technique de Bocary Treta. Les 01/2014/GIE relatif à la fourniture de complexe coton, le 02/2014/GIE relatif aux céréales et le 03/2014/GIE relatif aux d’urées sont repartis entre trente-six (36) sociétés dont seize (16) pour le marché du coton, huit (8) pour les céréales et vingt-deux (22) pour la d’urée. En gros ce sont 209 000 tonnes d’engrais qui ont été partagés par le président de l’APCAM pour la campagne 2015-2016 repartis entre vingt-neuf (29) adjudicataires. Nous ignorons si Bakary Togola savait à cette période que les engrais étaient de mauvaises qualités. En revanche, nous savons qu’aussitôt après les adjudications, une querelle éclata entre Toguna Industrie piloté par Seydou Toguna et certaines sociétés importatrices notamment SOMADECO qui a bénéficié de part de marchés importantes lors du partage effectué par Bakary Togola. Le président de Toguna industrie et le président du Conseil National du Patronat du Mali (CNPM) mécontent décident d’agir.
    L’adjudication en chiffre.
    209 000 tonnes d’engrais pour la fourniture de complexe coton ; 99 000 tonnes, celle de céréales avec 37 000 tonnes, enfin 73 000 tonnes pour la d’urée. Seize (16) sociétés ont exécuté le marché du complexe coton ; 8 ont fait celui des céréales et 22 autres ont gagné « la bataille » de l’urée. La distribution s’est faite comme suit : D’abord pour le complexe coton, 4000 tonnes ont été octroyés à Afrique-Auto, 25 310 tonnes à Toguna Agro-industrie, 21 000 tonnes à la Somadeco, 400 tonnes à Agro Tropic, 1500 tonnes à la société, 11 000 tonnes à DPA, 17 325 tonnes à GDCM, 2386 tonnes à Mamadou Simpara. Le Partenaire agricole s’est contenté de 4000 t, Sad 1500 tonnes, Sangoye 1060 tonnes, la Sotracom 600 tonnes, Smias 500 tonnes, Sogefert 5569 tonnes, 500 tonnes pour la Sopam et 2340 tonnes octroyés à Souad Distribution. Ensuite, pour la fourniture en céréales, l’adjudication s’est faite comme suit : 500 tonnes à Agro Tropic, 5000 tonnes au GDCM , 500 tonnes à Mahamadou Simpara , 500 tonnes à Sad, 4000 tonnes à Sangoye , 5000 tonnes à Sogefert, 7000 tonnes à Somadeco et 14 000 tonnes à Toguna Agro-industrie. Enfin quant au marché de l’urée l’attribution à suivis cet ordre : 699 tonnes à Afrique-Auto, 5000 tonnes à Alfarouk Service, 1000 tonnes à Arc-en-ciel, 1000 tonnes à Ciwara, 4344 tonnes à GDCM, 2000 tonnes à Hydrochem-Mali, 1074 tonnes à Kaos, 700 tonnes à Mamadou Simpara, 574 tonnes à Olam, 8000 tonnes à PKM, 4000 tonnes à Sad, 3500 tonnes à Sangoye, 641 tonnes à Sedicom, 7000 tonnes à SFD, 500 tonnes à Sicodit et à Sim Trading, 1500 tonnes à Smias, 1645 tonnes à Sodafi, 10 000 tonnes à la Somadeco, 3500 tonnes à Sopam, 695 tonnes à la Société Haïdara et fils et 15 129 tonnes à Toguna-SARL.
    Fin 2014, le groupe Toguna se procure des échantillons d’engrais de Somadeco et les faire analyser à l’insu de ce fournisseur. Le résultat est sans appel ; les engrais fournis par Somadeco sont de mauvaises qualités. Ainsi, le 12 décembre 2014, les présidents du groupe Toguna et du CNPM saisissent à travers un courrier, Moustapha Ben Barka, d’une part, par rapport à d’éventuelles irrégularités constatés dans l’exécution de l’appel d’offres relatif au marché susvisé. D’autre part, ils alertent ce dernier sur la qualité douteuse des engrais fournis par la société SOMADECO. Bien entendu, les résultats sont contestés et ouvre la porte à une polémique basée sur des accusations émanant de chaque partie des protagonistes. Interpellé donc, la Direction Nationale de l’Agriculture rompt le silence et commandite un contrôle de qualité de ces engrais. Cette tâche est confiée au laboratoire Sol-Eau-Plantes avec des numéros de codes sans aucune mention de noms des fournisseurs, ni des marques…du Centre Régional de Recherche Agronomique de Sotuba. Le nombre d’échantillons prélevés pour analyse est de 73 pour le complexe coton, 49 pour la céréale et 41 pour l’urée. Soit un total de 163 échantillons d’engrais pour toutes filiales confondues CMDT et l’Office de la Haute Vallée du Niger (OHVN). Les analyses chimiques ont été conduites en conformité avec le Manuel d’Analyses des Engrais (CDEAO, 2012) pour la détermination de l’azote (N), du phosphore (P2 05) et du potassium (K2O) etc.

    Resultats des analyses.
    Pour le coton, 32 sur 73 échantillons sont hors normes, soit 44%. La céréale 1 sur 49 est détecté mauvais soit 2% hors normes. Quant à l’urée, ce sont 24 sur 41 qui sont déclarés hors normes soit 58%. Après synthèse, il est admis que 40% des engrais fournis son de mauvaise qualité. Ce sont 20 sur 29 fournisseurs d’engrais qui ont été épinglés lors de ce contrôle de qualité. Il est admis qu’une quantité de 3 404 tonnes a été mise en cause alors que toutes les quantités adjugées n’ont pas pu être livrées intégralement. Les résultats d’analyses effectuées en Côte d’Ivoire et par le député de la commune VI abondent tous dans le même sens que celle effectuée par la direction nationale de l’agriculture. Les engrais sont à base d’une roche phosphate non règlementaire. Leur taux de calcium, très élevé, atteint 15-35ppm. Quant au taux de plomb, il est également élevé par rapport aux normes : 10-20ppm. Pour ce qui est du chrome, l’on note un taux de 120-160ppm, largement au-dessus des normes admises.
    Ben Barka dans sa lettre avait donc soumis à l’appréciation de Moussa Mara les propositions suivantes : la suspension temporaire de la livraison des engrais incriminés fournis par la société Somadeco. Le prélèvement d’échantillons sur les quantités livrées sous la supervision de deux huissiers de justice désignés par l’ordre des huissiers et enfin l’analyse des échantillons prélevés par trois laboratoires internationaux accrédités. A ces propositions, Moussa Mara à Bokary Treta en li invitant à prendre les dispositions suivantes : d’abord, à instruire à toutes les administrations impliquées le suivi du respect scrupuleux par tous les fournisseurs de l’ensemble du cahier des charges afin que les quantités et qualités livrées soient strictement conformes aux marchés. Ensuite à diligenter un audit technique et financier du processus et qui couvrira la procédure de sélection des attributaires, le dispositif de distribution, les livraisons, le respect des cahiers de charges en terme de qualité, le circuit du paiement. Enfin à engager une réflexion pour proposer avant la fin du second trimestre 2015 des mesures d’améliorations du dispositif de gestion des intrants subventionnés par l’Etat afin d’en améliorer la transparence, la pertinence et l’efficacité. Il semble que les recommandations du premier ministre n’ont point été respectées encore moins mises en œuvre. Ainsi, entre mars et avril 2015, ce sont 40 000 tonnes d’engrais frelatés qui atterrissent malgré les alertes sur le sol malien parce que le département en charge de l’agriculture n’a pas voulu considéré les avertissements de son homologue ivoirien Mamadou Sangafowa Coulibaly et celles de son chef de gouvernement. Alors même que ces engrais sont déjà utilisés dans des régions telles que Sikasso, rien n’est concrètement fait pour arrêter et punir les responsables…
    Moussa MAGASSA
    http://magassamuss.mondoblog.org/2015/06/22/mali-engrais-frelates-quand-un-ministre-cautionne-la-souffrance-du-peuple/

  24. Ce n’est pas les journalistes qui changent le gouvernement mais le PM en accord avec le président de la république.
    Laisser le président et son PM faire leur travail dans la plus grande tranquillité sans influence et sans interposition de la part de qui que ce soit.
    Le président a fait confiance à son PM parce tout en se rassurant de sa dignité, son honneur, son dévouement, son patriotisme et en un mot de sa capacité à conduire les actions du pays.
    Le PM à son tour a fait confiance aux autres hommes composants le gouvernement et sur la base de leur compétence et leur bravoure. Tous les ministres, y compris le PM lui-même, sont désignés sur le principe d’intuitu personae. En cas de dérogation à ce principe votre qualité de ministre sera mis en cause et vous serez expulser. C’est pour vous dire qu’aucun ministre ne sera changé sous la demande ou l’influence d’un malheureux journaliste.

  25. DRAMANE est un ministre qui a fait déjà prison, si le résultat de ses actes donnent une suite de confusion comme telle, ne doit pas étonner personne. IBK doit se débarrasser de ses sales têtes.

  26. Baliverne, le régime d’IBK est loin et même très loin de battre les records de mauvaise gérance. Plutôt le régime bat les records en bonne gouvernance. Si les autres régimes avaient fait comme le régime d’IBK, je suis sûre que le Mali ne serait pas plonger dans une crise multidimensionnelle.

  27. Livraison des Engrais aux exploitants agricoles par GNOUMANI- SA : Qui protège réellement l’Opérateur Diadié Bah ?
    Interdit de livrer des engrais aux exploitants agricoles dans la zone office du Niger par le ministère de l’Agriculture depuis la campagne 2011-2012 suite à une plainte du Président Directeur Général de l’époque, Kassoum Denon le 23 juin 2011, suivie de la direction nationale de l’Agriculture , la société GNOUMANI-SA dirigée par l’opérateur économique Diadié Bah continue de défier l’Etat malien.

    Malgré la décision No1158 du ministre de l’Agriculture adressé au PDG de l’office du Niger et au Directeur Général de l’Office Riz Ségou le 16 juin 2011, il ressort que l’homme continue de narguer l’office du Niger et les sociétés autorisées en continuant de livrer des engrais de mauvaise qualité aux exploitants agricoles. La question qui se pose est de savoir qui protège réellement l’homme, un récidiviste notoire ? Dans quel pays sommes-nous ? Diadié Bah est-il au dessus de la loi ? Bénéficie t-il de la complicité au cœur même de l’Etat ? Voilà autant de questions qui méritent explication et réponse. En plus de ces magouilles à ciel ouvert, il s’est avéré que les engrais sont de mauvaise qualité et traités à Koutiala et non en Côte-D’ivoire mais emballés dans des sacs importés dudit pays.

    Les vraies raisons de la suspension de Diadié Bah
    Depuis la campagne 2011-2012, la société GOUMANI-SA appartenant à Diadié Bah avait été interdite de livrer des engrais et la délivrance des cautions techniques aux exploitants agricoles de la zone office du Niger depuis le 24 juin 2011 par le Président Directeur Général d’alors de l’Office du Niger. Dansa cette correspondance les exploitants agricoles ont été priés de prendre contact avec auprès des fournisseurs retenus qui sont Arc en ciel, Faso Djigui et SMIAS. Cela fait suite aux investigations relatives à la demande de paiement de la subvention des engrais au profit de Gnoumani-SA dans le cercle de Kati(Koulikoro) menées par la direction nationale de l’Agriculture. En effet il ressort des irrégularités constatées, qu’il y a eu une tentative de fraude à travers une mauvaise gestion des cautions techniques au niveau d’un seul agent à savoir le chef du sous-secteur agriculture de Kati central. Après une vérification judicieuse de 463 cautions techniques fournies par la société Gnoumani-SA pour une demande de remboursement de la subvention d’un montant de 2. 236.577.555 FCFA, il se trouve que 314 cautions sont fictives (les bénéficiaires inscrits sur les cautions n’existent pas dans les villages cités ; le fournisseur Gnoumani-SA n’est même pas connu dans les villages). La quantité portée sur ces cautions incriminées s’élève à 21. 125 tonnes. Or cette quantité est presque égale au volume d’engrais consommé dans toute la région de Sikasso, la plus grande région agricole du Mali (22.700 tonnes). A noter que la valeur de la subvention à payer pour ces 314 cautions fictives est de 2.114.849.046 FCFA contre un montant réel à verser à Gnoumani-SA au titre de la composante saison d’hivernage (campagne agricole 2010-2011), de 121.723.510 FCFA pour la région de Koulikoro, au lieu de 2.236.577.556 FCFA. Autres irrégularités furent relevées dans la zone d’intervention de l’office du Niger toujours dans le cadre de la livraison d’engrais effectuées par Gnoumani-SA et qui font ressortir un écart de soixante onze(71) sacs de surfacturation par rapport aux livraisons effectuées. La valeur de la subvention correspondante à ces 71 sacs est de 380.061 FCFA. En réalité en zone office du Niger sur 700.166.421.FCFA de subvention demandée, l’Etat doit à Gnoumani-SA la somme de 699.786.360.FCFA. Cette attitude peu catholique de la société Gnoumani-SA n’est pas une surprise car elle s’est avérée comme une récidiviste notoire. On se rappelle que cette même société avait porté un coup pareil au niveau du PACEEM, pour lequel les partenaires Canadiens avaient demandé une procédure judiciaire dans le cadre de l’initiative Riz lors de la campagne 2008-2009.

    http://fr.afrikinfos.com/2013/05/28/livraison-des-engrais-aux-exploitants-agricoles-par-gnoumani-sa-qui-protge-rellement-loprateur-diadi-bah/

  28. Ce n’est pas dans les journaux qu’on peut influencer l’esprit d’un homme fort comme IBK et Modibo Keita.

  29. Qui sème le vent récolte la tempête, dit un proverbe. Les victimes de Souleymanebougou ont semé la démolition de leurs concessions en s’appropriant des parcelles illégales en complicité avec certaines autorités malhonnêtes de l’époque. Je n’ai aucune intention de me moquer d’eux. Je partage leur désolation. 😀 😀 😀

  30. Mr. Le journaliste dire que le ministre M. Baby a transformé son département en un bureau de placement pour parents, amis, cousins et cousines sonrhaïs est faux et archi faux. Un journaliste doit savoir ce qu’il dit et ses mots ne sont pas dignes d’un véritable journaliste.

  31. Pour qui ce monsieur se prend ?
    Depuis quand les journalistes se prononcent sur le changement des ministres?

  32. Moi je suis pour la condamnation des coupables dans cette affaire d’engrais frelaté surtout s’il se trouve qu’ils sont dangereux pour la santé de la population. Mais je trouve que la procédure à suivre n’est pas la bonne. Il est en train de forcer le président de condamner quelqu’un qui n’est pas forcément coupable d’une chose.

  33. Le ministre Sada tourne toujours autour du pot. Un grand homme doit toujours être en mesure de répondre aux questions qu’on lui pose. Mais lui il fuyait les questions comme s’il avait quelque chose à cacher.

  34. La responsabilité de cette démolition incombe aux autorité communales de Kati de l’époque en complicité avec les bénéficiaires qui ont activement sollicité ces attributions, ont investi la zone au prix de graves atteintes aux lois et règlements sur
    le foncier, l’urbanisme et la construction ainsi qu’au droit de propriété. Ils ont ignoré la dénonciation des attributions et occupations illicites et ont refusé d’obtempérer aux sommations adressées pour arrêter les travaux… »,a expliqué Me Bathily en rappelant que « le gouvernement de la République du Mali, qui réalise sans cesse des programmes de logements sociaux, a souci du peuple malien dont il s’emploie à améliorer les conditions de vie »(selon un article d’aujourd’hui : https://www.maliweb.net/immobilierdomaines-fonciers/demolition-a-souleymanebougou-le-ministre-bathily-persiste-et-signe-1076712.html ), est pire que le génocide.
    Ces autorités ont porté atteinte à la propriété privée de notre ex-frère le Guide Mohammad Kadhafi de Libye et aux servitudes du cours d’eau.
    En toute honnêteté, je partage la douleur des victimes de Souleymanebougou. Mais, surtout mais, il faut reconnaitre que leurs concessions étaient illégalement acquises. Sur ce point il ne pouvait pas y avoir de préavis, selon les dits de la loi.
    😀 😀 😀 😀

  35. La question de pénurie des CI et passeports ne datent pas d’aujourd’hui. Heureusement pour nous de dire enfin OUF !!! Chaque citoyen savait comment se procurer d’une nouvelle CI à hauteur de 10 000f, d’un passeport à 100 000f. Le ministre n’a rien de fait de coupable, il y avait un réseau déjà mis en place pour s’enrichir par le chemin des CI et passeports. IBK n’a rien à faire ou dire à ce propos, son ami comme vous le dites n’a pas à s’en aller.

  36. Prrrrrrr !!!!! Le droit est une matière digne et noble, soit on connait soit on ne connait pas. Encore un faux journaliste qui se prend comme un véritable juriste, un connaisseur du droit. On dit « Dura Lex, Sed Lex » La loi est dure mais c’est la loi. Comme « Lux Mea Lex » la loi est ma lumière.

  37. Vous avez raison, IBK doit limoger Treta car il a montré son incompétence, et sa traitrise au grand jour. Il devrait même démissionné de lui-même, s’il a encore un peu de dignité.

  38. Les ministres incompétents doivent très vite quitter le gouvernement d’IBK sinon ils risquent de porter atteinte au régime d’IBK. Un régime qui est sur de bonne voie, un régime qui arrive lentement mais surement à redresser son pays. 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡

  39. « Seul IBK le premier magistrat de la République pourra répondre à cette question. » Un journaliste qui se prend comme un juriste. Vous savez pourquoi, on dit que le président est le premier magistrat ? C’est parce qu’il se trouve à la tête de l’Etat, mais s’il tend à rendre un jugement donc il se prend pour un juge et cela est manifestement contraire au principe de la séparation des pouvoirs. Le pouvoir du président se classe dans la catégorie de l’exécutif, les journalistes veulent toujours orienter l’opinion publique vers le mensonge. Celui qui ne connait pas le droit dira que c’est à IBK qu’il faut s’en prendre.
    Vous êtes vraiment malhonnête en disant cela, en mentant aux lecteurs, en orientant le peuple malien dans le mensonge rien que pour assouvir vos désirs politiques.

  40. Vue l’insécurité grandissante. 😥 😥 😥 😥 😥 😥
    La pénurie des passeports. 😳 😳 😳 😳 😳 😳
    La pénurie des cartes d’identités. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
    Ça en n’ait de trop, Sada doit simplement partir. Nous ne sommes pas satisfaire de ses résultats, il n’est pas à la hauteur des attentes. Il a failli à ses responsabilités.

  41. LE CONSTAT EST AMER
    DEPUIS QUAND LE LEGISLATIF EXERCE DES OBLIGATIONS SUR LE PRESIDENT ?
    Quelle traitrise de la part de ce monsieur ?
    Quelle indignité de la part de ce monsieur ?
    Quelle Ignorance de la part de ce monsieur ?
    Quelle pyromanie de la part de ce monsieur ?
    Je m’explique :
    – Etant membre d’un parti politique, on doit être à mesure d’honorer les principes, de dignifier et de sauvegarder la réputation ce parti en toute mesure.
    Je disais la dernière que les maliens ne s’attache à la politique par conviction et par respect mais par intérêt. Sinon dans ces genres de situation le gars doit jouer avec harmonie de sorte que le coupable soit justifié et puni s’il le mérite.
    – En second plan, tout de suite Bafotigui nous révèle son ignorance vis-à-vis du principe de la séparation des pouvoirs qui demeure la règle fondatrice de la démocratie. C’est dans le souci de ne pas tomber dans la monarchie ou dans l’autoritarisme ou aristocratie que les pères de la nouvelle civilisation ont conçu et imposé ce nouvelle politique de gouvernance.
    Le principe de la séparation des pouvoir veut que l’immixtion ne soit faite d’aucun niveau.
    – S’il avait un droit de pétition, il devait l’exercer sur le ministre de la justice, et non sur la personne du président, ou précisément sur la section administrative de la cour suprême compétente pour juger les affaires impliquant les membres de l’administration dont les ministres font partie.
    – L’heure où nous sommes n’est pas l’heure de rédiger une pétition, une pétition dans laquelle sera exigée la signature de 100 mille personnes.
    Le pays vient de traverser une période de crise qui reste ineffaçablement encré dans notre souvenir. Alors faut-il pousser encore les gens à aller dans une révolte aussi massive ? Non, il faut plutôt appeler 100 mille personnes à signer un pacte favorisant le soutien et l’accompagnement de l’accord portant sur la paix et la réconciliation au Mali. Un pacte favorisant le développement du Mali.
    Bref, que l’exécutif ne s’immisce pas dans les compétences du législatif et que le législatif ne s’attribue guère des compétences du pouvoir judiciaire.
    La corruption ne doit pas être tolérée ni être soutenue et la démagogie non plus dans un pays comme la nôtre. Mais il y a une manière et une procédure pour faire les choses dans la vie. Il faut combattre la corruption dans la légalité et dans la justice pour ne pas punir la victime à la place du fautif.
    IBK, en punissant directement le présumé Tréta sans preuve irréfutables et sans une décision de justice.
    QU’EST-CE-QUE BAFOTIGUI VEUT VRAIMENT D’IBK ET PAS TRETA?

  42. DRAMANE DEMBELE a même baiser nos jeunes rappeurs, ce monsieur est un bandit et il a choisi dans la ségrégation, c’est pour cela que les journalistes ont transformé cela en disant qu’IBK a boycotté l’événement de la remise des clés des 1552 logements, IBK a découvert tout cela. IBK connait maintenant tous les sales têtes.

  43. Une simple supervision de la commission de désignation du DG de son ancienne structure ne peut pas être un scandale, vous n’avez pas à vous plaindre de la misérable somme qu’il perçoit !!!

  44. Si le journaliste met tout cela sur le dos, quel sera le rôle de la haute cour de justice ? Le journaliste ne connait-il pas l’existence de cette juridiction ? Ce n’est pas parce qu’il se trouve au sommet de l’Etat qu’il doit obligatoirement résoudre tous les problèmes et juger tous les coupables

  45. IBK doit vraiment se débarrassé de tous ceux qui visent à ralentir son train de travail. Il doit les éloigné de son pouvoir.

  46. Le Ministre Sada Samaké interpellé plusieurs fois à l’assemblée n’a pu avancer des arguments très convaincants. Les problèmes dépassent ses compétences. Le ministre Sada Samaké a apporté plusieurs arguments mais nous remarquons que ce problème prend de l’ampleur tous les jours.

  47. TRETA et ses partisans, cherchent juste à nuire au pouvoir d’IBK. Il cherche à salir IBK et à le décrédibiliser devant la population.

  48. IBK doit vraiment se débarrassé de tous ceux qui visent à ralentir son train de travail. Il doit les éloigné de son pouvoir.

  49. Le problème des passeports et des cartes d’identité était devenu une affaire critique. Les choses ont échappé son contrôle. S’il avait fait très attention, tout cela n’allait pas arriver. Il doit quitter.

  50. Concernant l’affaire des passeports, le gouvernement veut rétablir l’ordre dans le secteur de distribution des passeports, mais le problème est que le Ministre Sada Samaké a mal géré la situation. La gérance lui a échappé, les problèmes augmentent de jour en jour sous l’œil incompétent du Ministre chargé.

  51. Tout porte à croire que Treta est complice dans cette affaire, il ne devrait en aucun cas cacher la vérité au PM à fortiori le président IBK. S’il l’a fait ce qu’il est lui-même coupable, sinon quelle raison avait-il de plus pour le dissimuler.

  52. Treta est un incapable et un traitre, IBK doit l’éloigné de son pouvoir, car c’est un criminel qui était prêt à sacrifier, la vie de toute un peuple pour assouvir sa vengeance.

  53. Ce n’est pas le Président IBK qui nomme les ministres, c’est le Premier Ministre qui le fait. Donc je pense que le PM doit faire très attention dorénavant car Sada est cas précis.

  54. Bathily est un homme droit. Jamais il ne peut procéder à la démolition des maisons sans fondement sur et juste. Ces constructions sont toutes érigées sur le site ACI de Souleymanebougou. Maintenant que cette opération n’a épargné aucun propriétaire installé irrégulièrement, toute personne détentrice de faux titre foncier est avertie. 😀 😀 😛 😛

  55. IBK se décidera-t-il enfin à se séparer de son vieil ami ? ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓
    Bien sûr qu’IBK peut séparer de son vieil ami et il le fera. Le MALI d’abord est et restera son slogan, les intérêts du MALI passent avant tout. IBK a fait confiance à son ami Sada Samaké, celui si n’a pas pu être à la hauteur de ses attentes.

  56. Le Ministre Treta est le seul indexé dans cette affaire d’engrais frelatés, il a été informé depuis janvier 2014 par son homologue ivoirien mais il a préféré se taire. Il n’a informé ni le PM Modibo Keita, ni le président de la République IBK. La seule raison qu’on doit se poser est la suivante : Quelle raison avait le Ministre Treta en abritant cette affaire ? N’est-il pas un complice palpant dans cette affaire ?

  57. Depuis qu’il était directeur de la géologie et des mines il a bouffé des millions DRAMANE DEMBELE. Ce n’est pas surprenant que cette affaire soit tranchée ainsi, ce monsieur a toujours été dans les sales coups.

  58. Sada Samaké ne mérite aucunement un poste de ministre. Ce n’est pas un travailleur. Il est habitué à bouffer de l’argent sans donner un résultat satisfaisant. A croire que c’est lui qui dit que tant qu’il est là, il n’y aura pas de coup d’Etat. Quelqu’un qui n’a même pas pu prendre des dispositions pour gérer le problème de passeport c’est la sécurité du président qu’il va pouvoir gérer.

  59. Le gouvernement d’IBK n’est pas une garderie de Ministre incompétent. Les Ministres incompétents comme Sada Samaké et tant d’autre doivent quitter le gouvernement. Je suis sûr qu’ils n’attendent que le remaniement pour faire leurs bagages.

  60. Dramane Dembélé doit partir, car avec IBK, c’est la transparence. Il ne faut pas, que des incompétents comme lui, porte atteintes à sa gouvernance.

  61. Le Ministre Sada Samaké doit quitter son poste. Il n’est pas à la hauteur. Il ne se fiche pas mal de la sécurité du pays. Si on regarde bien, l’insécurité ne fait que prendre une grande ampleur chaque jour que Dieu fait. Des boutiquiers se font braquer en plein jour, le vol des motos etc. Il faut qu’on songe à le remplacer par quelqu’un de sérieux et qui connait la raison de sa nomination.

  62. DRAMANE DRA n’est pas à sa première fois de se comporter ainsi. Il a trahi son parti pour se rallier à IBK en profitant de payer ses dettes. DRAMANE DRA est un traître, il doit quitter le gouvernement.

  63. Le ministre Choguel est naturellement dans ses droits de superviser la commission de désignation. Aucune loi au Mali n’interdit à un ministre de superviser les travaux d’un département, d’une agence qui dépend de son administration.

  64. IBK a peut-être fait une erreur en l’introduisant Dramane Dembele dans le gouvernement, mais nous avons complètement confiance en IBK, il ne travaille pas avec des traitres et des incompétents. On se rappelle que quand, Boubeye Maiga a failli à sa mission, il a été immédiatement retiré du gouvernement.

  65. IBK se base sur la diversité politique pour construire son équipe afin de travailler dans la communion. Ses choix ne sont pas forcément irrévocables. Le fait que Dramane Dembélé ne tient pas parole, ne tient pas promesse de sa nomination, n’engage en rien la responsabilité du président. Si les logements sociaux ne sont pas attribués aux yeux de la loi, Dramane doit des explications à la nation mais sans accuser IBK.

  66. De nombreuses affaires ont jailli depuis que Sada Samaké est devenu Ministre, les résultats ne sont pas convaincants. L’insécurité grandissante, l’affaire des passeports et des cartes d’identités civiles, le scandale est de trop et sur différentes secteurs. Le Ministre Sada a failli à ses responsables, les résultats ne sont toujours pas au rendez-vous, alors qu’il cède la place à d’autre.

  67. IBK doit vraiment se débarrassé de tous ceux qui visent à ralentir son train de travail. Il doit les éloigné de son pouvoir.

  68. Les journalistes ont la rancœur de détester Choguel. Dès son arrivée au ministère, il réduit le budget de la presse de 200 000 000 à 90 000 000f par an. Cette somme est destinée à la bonne de la maison de la presse. Au temps d’ATT, avec les 200 millions, la maison de la presse n’avait même pas une bonne apparence à plus forte raison un bon fonctionnement. Mais avec 90 millions et la forte pression de Choguel, les gros caïmans de la presse malienne, se voient couper les vivres.

  69. Choguel a toujours été un homme sans reproche dans le gouvernement malien. Il a été dans le régime d’Alpha, d’ATT et maintenant de IBK. A lire cette article, on s’aperçoit de la haine du mépris que les journalistes ont à l’égard de IBK et son gouvernement, il y a certainement des fautifs dans l’équipe mais plusieurs qui sont cités ici sont dans leur droit de respecter et de faire respecter la loi au nom de la république.

  70. On est dans un Etat de droit, alors tout acte fondé sur le droit n’est pas un acte illégale, les victimes ont étés avertis avant de procéder à l’acte, alors le journaliste fait des reproches inutiles. Pourquoi peut-on accusé le gouvernement d’être coupable de tel acte ? Quel honte de la part du journaliste.
    On sait réellement que vous êtes envoyés spécial des opposants comme TIEBILE et ceux qui voulaient nuire le gouvernement.

  71. Les journalistes sont à bout de souffle sous la pression du ministre Choguel, c’est la raison qui les pousse à écrire de n’importe quoi sur lui. Ils veulent que IBK le remplace pendant le remaniement. La presse malienne est remplie de faux journalistes, des hommes aux grandes gueules qui ne trouvent plus leurs parts du gâteau dans la somme budgétaire octroyée à la maison de la presse. Les députés devraient penser à régulariser le domaine de la presse, poser une régulation juridique aux agents de la presse.

  72. DRAMANE DEMBELE n’a pas commencé ses bêtises maintenant, il a ce comportement dans sa nature. Même les simples rappeurs ont été bernés par ce faux type DRAMANE DEMBELE.

  73. IBK doit faire un sérieux balayage autour de lui, qu’il soit impitoyable comme il l’a su bien dit. Qu’il éloigne de son pouvoir tous les faux amis, les ennemis et les incompétents comme Dramane, qui cherchent à le faire plonger.

  74. Vue la montée en flèche de l’insécurité et aussi de l’incapacité du Ministre Sada Samaké vis-à-vis de la situation. Le Ministre doit prendre ses responsabilités et céder sa place à un Ministre compétent.

  75. Tous les conflits fonciers qui existent actuellement sont l’œuvre des élus locaux qui veulent seulement satisfaire l’intérêt personnel. Ce fut le cas de DJANEGELA en 2006 dont l’Etat avait avertis les victimes avant de procéder la démolition.
    La démolition de 150 maisons de SOULEYMANE BOUGOU est due au non-respect de loi, c’est le DJANEGELA à l’ouest de MAGNAMBOUGOU, qui faisait la même chose comme les habitants de SOULEYMANEBOUGOU dont le ministre du domaine et des affaires foncières qui avait donné l’ordre pour bémoliser les maisons qui sont illégalement construit.

  76. Plus mafieux que les maliens eux-mêmes ; il n’y a pas. Ceux qui traitent IBK de bandit et de voleur sont eux même bandits et voleurs. Les maliens sont eux même responsable de la crise au MALI. Quand ça va, personne n’en parle, mais quand c’est pour distraire et revenir sur les mêmes choses, les journalistes se jettent dans la diffamation à outrance.

  77. Ce comportement malhonnête de Dramane DEMBELE n’est guère une surprise. En effet, les gestions antérieures de l’intéressé, notamment à la Direction de la géologie et des mines ont été catastrophiques jusqu’à son emprisonnement.

  78. On sait réellement que les victimes, n’ont pas en règle vis avis de la loi car, l’Etat a fait ce qu’il devrait faire, car avant d’acheter les parcelles il y a des procédures à suivre, cela trouve que les victimes n’ont pas remplis conditions du code domanial et foncier, ces parcelles faisaient partie des domaines classés. Alors tous ceux que tous ceux le journaliste dit est loin d’être une réalité.
    EN plus un article kilométrique qui n’a pas vraiment pas d’importance., quel pauvre journaliste, il fait la honte de la honte de la presse Malienne. 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  79. Cher journaliste, le Problème n’est pas IBK. IBK a plutôt bien fait d’intégré tout le monde dans le Gouvernement. Le problème c’est la mauvaise volonté des maliens pour le développement du Mali. IBK a eu confiance en ces gens, il les a responsabilisé, mais ils ont tous montré au grand jour leurs traitrises et leurs incompétences. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    On se rappelle que lors du forum de la maison de la presse, le Ministre Dembélé a dit que, le système d’attribution sera transparent de A à Z et se fera sans état d’âme. Ce ne fut pas le cas malheureusement. L’on cite parmi des bénéficiaires des ministres ou leurs parents ou des proches à de gros bonnets de la République qui ont été bien servis dans cette affaire. L’on signale d’autres irrégularités comme celles portant sur des numéros ayant bénéficié de plus d’une maison, des maisons ayant chacune plus d’un bénéficiaire, etc. Sans compter les cinq frères et sœurs (les Baldé) de l’épouse du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    Le Ministre Dramane a toujours été un homme sans parole. Selon les artistes du groupe FDR ( Milmo, Foukendji, Pensy), lors de sa campagne présidentielle, il les a demandé de composer une chanson pour lui et qu’après il va régler la facture et jusqu’à présent, ceci n’a pas été fait. On se rappelle aussi qu’il a détourné une grosse somme quand il était Directeur Général de la mine d’or de Morila. 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    C’est un incompétent, il ne mérite pas le poste de Ministre. Il doit quitter le Gouvernement car, on ne veut plus revivre les mauvaises scènes d’attribution de logements sociaux, auxquelles on a assisté sous le régime ATT. Il faut qu’IBK fasse un sérieux balayage autour de lui. Qu’il éloigne de lui tous ceux qui se sont montré incompétent. 👿 👿 👿 👿

  80. C’est trop facile de considérer qu’IBK est l’unique responsable de ce qui arrive au pays. La gestion d’un pays est avant tout une affaire de tous. Le président à certes des devoirs vis-à-vis du peuple, mais ce peuple a aussi des devoir vis-à-vis de la nation elle-même.

    Vous reprochez à IBK de s’être entouré des membres de sa famille. Cela est tout en votre honneur, mais quand ce même IBK prend les Dembélé, les Bathily et les autres qui n’ont rien avoir avec sa famille encore moins avec son parti politique, vous lui criez dessus, mais finalement, vous voulez quoi du président ?

  81. Monsieur le journaliste, le problème ne se situe pas au niveau du gouvernement, mais celle des autorités locaux c’est-à-dire les maires.
    Le ministre BATHILY a raison de procéder a la démolition des maisons de SOULEYMANEBOUGOU, à cause de non-respect de la loi, plus précisément les dispositions du code domanial et foncier en république du Mali.
    Suite à l’opération de démolition des 60 concessions à SOULEYMANEBOUGOU le jeudi 23 juillet 2015, le ministre des domaines et des affaires foncières, BATHILY a animé un point de presse hier lundi 27 juillet 2015. Le ministre BATHILY persiste et signe, toute maisons illégalement construites seront détruites et démolies. Il a fait savoir que les constructions érigées sur le site de SOULEYMANEBOUGOU obstruent les servitudes publiques et portent atteinte au domaine fluvial. Un avis partagé par les victimes. Inutile de critiquer le gouvernent car les seuls responsables sont des autorités locaux.

  82. Un journaliste qui divague dans tous les sens n’est plus quelque chose de nouveau. Ils nous ont souvent gratifiés de l’usage des mots qu’ils ne maitrisent pas, maintenant, ils utilisent les expressions latines qui dépassent leurs entendements. Vive le journalisme au bled !!!!!! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
    C’est devenu un classique, quand un journaliste veut décrire la gestion du pouvoir par IBK, il utilise l’hyperbole. On a comme l’impression que le journalisme au MALI est programmé pour dire du mal du président IBK.
    Je pense que le président actuel donne la possibilité à tous les maliens de participer au développement de ce pays. Qu’on ne vienne pas lui reprocher d’être la chute de la République. 😥 😥 😥
    Les maliens eux même n’aiment pas ce pays, ils se servent une fois qu’ils sont aux affaires, et c’est le PR qui endosse les responsabilités. IBK ne peut rien faire tout seule. C’est l’occasion d’interpeller la conscience populaire sur le mode de fonctionne de nos autorités, pas juste de NOTRE AUTORITE. 😯 😯 😯

    C’est également le moment d’attirer l’attention des maliens. Ce qui prouve que ceux qui souhaitaient nous diriger ne sont pas des enfants de cœur. Dramane Dembélé par exemple. C’est trop facile d’accuser IBK a tout de champs. 8) 8) 8) 8)

  83. Le président de la république est venu au pouvoir pour le bonheur des Maliens, alors tous ceux qui cherchent à rendre la situation plus difficile vont tous payer selon les degrés de leurs actes.
    On sait que tous les anciens ministres d’ATT avaient des maux intentions envers le Mali, l’acte de TRETA est un exemple de cela.
    Malgré tout cela IBK reste toujours le meilleur.

  84. Le ministre du Développement Rural Bocary Tréta, le président de l’Assemblée Permanente de la Chambre d’Agriculture du Mali (APCAM), Bakary Togola et le PDG de la Compagnie Malienne du Développement des Textiles (CMDT), Kalifa Sanogo sont solidairement incriminées dans l’affaire dite des engrais frelatés. Cette information a défrayé la chronique des médias nationaux et internationaux jusqu’aux élus de la Nation qui s’en sont saisis pour en faire une question d’intérêt national. Le jeudi 18 Juin 2015 que le ministre du développement Rural était à l’Assemblée pour répondre aux questions orales de deux députés RPM à savoir l’honorable Bafotigui Diallo, élu en commune VI du District de Bamako et Bakary Koné, élu à Koutiala en troisième région. Cette interpellation qui avait été annoncée depuis plus d’une semaine était attendue par bon nombre de maliens sur une question qui a fait et qui continue encore de faire couler beaucoup d’encre et de salives. La question à laquelle, le ministre était censé éclairer la lanterne des Maliens était simple : les engrais importés pour la campagne 2015-2016 sont-ils de bonne qualité ? Face à une question toute simple, M. Tréta a crée la confusion et le doute même chez ses partisans comme en atteste la mine des observateurs venus nombreux assistés à ce grand oral. Il a, dans un mépris et une incompétence notoire, évacué d’un revers de main toutes les questions posées par l’honorable Koné et s’en est pris aux députés interpellateurs qu’il pense être à la solde des opérateurs économiques dont les dossiers n’ont pas été retenus. M. Tréta a pointé un doigt accusateur sur un opérateur en particulier qui lui a adressé une correspondance dans laquelle il dit avoir fait analyser des échantillons de l’engrais en cause. Et qu’il ressort des conclusions de ces analyses que l’engrais n’est pas de bonne qualité. En réponse à cette lettre et devant les élus de la Nation le ministre du développement Rural a rejeté non seulement les conclusions de ces analyses, mais a aussi tenté d’apporter la preuve que les engrais incriminés étaient de bonne qualité donc ni frelaté ni mauvais. Le ministre du développement Rural a poussé l’outrecuidance jusqu’à dire qu’il ne répondra pas aux questions du député Koné parce qu’elles sont inspirées du seul document qu’il a qualifié de faux. Les propos et l’attitude de M. Tréta prouvent à suffisance qu’il a une grosse part de responsabilité dans cette sulfureuse affaire. Et pour n’avoir pas été capable d’apporter des arguments convaincants, il lui revient en toute honnêteté intellectuelle de rendre le tablier pour préparer sa défense en vue de son procès.

  85. Tout acte causé par TRETA l’ors de l’exercice de ses fonctions sont punissables, il ne méritait pas un poste au sein du gouvernement, il mérite d’être dernier le Barros.
    Depuis le temps d’ATT jusqu’à présent, il continu de commettre des actes qui peuvent mettre en péril le gouvernement. Quel honte, quelle surprise.

  86. Monsieur le journaliste, je te rappel qu’on est dans un pays de droit et IBK est un homme de droit car il est le chef suprême de la magistrature, alors il sait ce qu’il fait.
    Le président est un homme véridique, mais malgré tout cela, certains cherchent à rendre la situation beaucoup plus compliqué.
    TRETA est le seul responsable dans l’affaire d’engrais frelaté, il est obligé de réparer toutes actes devant la justice.
    On sait réellement qu’IBK est entouré par des éminents ministres capables de satisfaire tous les besoins quotidiens du peuple Malien, mais certains voulaient nuire son gouvernement.

  87. Membre fondateur du Rassemblement Pour le Mali (RPM) et de l’ADEMA-PASJ, Ministre de l’élevage et de la Pêche sous Amadou Toumani Touré et du Développement Rural sous IBK, longtemps pressenti à la Primature après la signature de l’accord de paix et de réconciliation le 20 juin par la CMA, Bocary Tréta puisque c’est de lui qu’il s’agit, est dans l’œil du cyclone. Embourbé dans une rocambolesque affaire dite des engrais frelatés, le puissant Secrétaire Général du parti majoritaire, quelque soit l’issue de cette affaire, ne sortira pas indemne de ce combat à l’allure politico judiciaire. Cette affaire va-t-elle sonnera-t-elle la fin prématurée de sa carrière politique ? IBK a-t-il finalement fait son choix entre Abdoulaye Idrissa Maiga et Bocary Tréta en sacrifiant le second pour faire émerger politiquement le premier? Pourquoi M. Tréta crie-t-il à l’acharnement politique de ses camarades ? Quelques questions qui méritent d’être posées au regard de la tournure que prend cette affaire.

  88. L’achat de l’avion a permis de garantir la sécurité du pays, il permet aussi de faciliter le déplacement du Président en dehors du pays. D’ailleurs, le Mali n’avait pas d’avion à son nom. Il a été prouvé par l’ex Premier Ministre, Moussa MARA lors de la déclaration de sa DPG, que l’ancien avion n’avait ni papier, ni immatriculation, alors il serait- important d’avoir un nouveau. 😀 😆 😀 😆
    IBK est un homme véridique, il est la solution à nos problèmes.
    Pauvre journaliste l’avion présidentiel est un patrimoine public, le clavier est devenu le jouet de certains journalistes, ils se baladent avec sans savoir ce qu’ils doivent écrire ou pas. Vous devez déplorer les 20 ans passés sans avion au lieu d’ouvrir vos grandes clapettes. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    • Cette sortie du ministre du développement Rural est un appel pressant adressé au président de la République IBK pour qu’il siffle la fin de la longue récréation en se débarrassant de tous les cadres véreux du gouvernement et de son entourage. Il évitera ainsi de prêter le flanc à ses détracteurs. IBK, contre toute attente, décidera-t-il de donner suite à cette affaire, toute réaction qu’il n’a pas eue dans le scandale de l’achat de l’avion présidentielle et du contrat d’armement des FAMA ? Il est temps M. le Président de la République de redorer le blason de votre gouvernance et de soigner votre image fortement écornée par des scandales à répétition depuis votre accession à la magistrature suprême. Le Kankelentigui n’a pas d’autre choix que de se racheter auprès du peuple malien.

  89. DRAMANE DEMBELE avait pourtant rassuré les journalistes lors de son arrivé à ce poste que les gens qui méritent les logements sociaux seront les bénéficiaires de don du gouvernement. Mais la semaine passée on a assisté à une flagrante ségrégation lors de la remise des 1552 clés des logements.

  90. Les maisons démolies à Souleymanebougou, selon les dits du Ministre malien des domaines de l’Etat et des affaires foncières, toutes ces maisons sont dotés des faux titres fonciers. Des sources dignes affirment que le préfet de Kati de l’époque, Ibrahima Mamadou Sylla, par lettre n°88/CKTI-Dom demandait à l’ACI de lui fournir des informations « sur une parcelle longeant le marigot Farakoba ». En réponse à cette demande, il a été indiqué que « cette bande empiète sur le lotissement de l’ACI. Cette situation a été confirmée par une nouvelle expertise. Ainsi, le site a été aménagé et des parcelles ont été créées pour être vendues. Malgré la réponse claire qui lui a été donnée, le préfet de Kati a procédé à la création de ses propres parcelles qu’il a cédées à plusieurs personnes. Ainsi fut le départ d’une occupation illicite des lieux.
    Si après avoir commencé la démolition, l’opération a été interrompue par une décision du chef de l’exécutif, c’est par ce que ce dernier, par sagesse, voulait éviter l’amalgame que l’opinion publique pourra faire à propos de cette opération de démolition. Cela n’a aucun sens sur l’activité de Bathily. Et le monsieur ira au bout de ses projets d’application de la loi, rien que la loi.
    Personne n’est à l’abri de la nouvelle gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta. Il va joindre l’acte à la porte en ce qui concerne le discours qu’il a tenu à l’occasion de l’Aïd-el-Fitr, «je serai désormais impitoyable».

    • Poutine, les maliens veulent que la corruption soit banni mais personne ne veut payer les pots cassés. Bathily a sanctionné les propriétaires de constructions illicites. Je ne vois aucun problème à l’application stricte de la loi qu’a fait le ministre Bathily. 😀 😀 😆 😆

  91. Fourniture d’engrais à hauteur de plus de 2milliards:DiadiéBah persiste dans le faux et usage de faux
    Malgré les nombreuses preuves qui l’accablent, l’opérateur économique de Niono, Diadié Bah, qui réclame, à tord et sur la base de faux documents, plus de 2 milliards de FCFA, continue de défier l’Etat.
    Du Pôle Economique au ministère des Finances en passant par celui de l’Agriculture, et ses réseaux politiques, au plus haut niveau de l’Etat, Diadié Bah, un grand notable de Niono, opérateur économique de son état et baron du PDES, a essayé de transformer la vérité des chiffres en faux. En vain.
    En effet, depuis la découverte, en mai dernier, de la grosse magouille, Diadié Bah n’a pas hésité à frapper toutes les portes. Après s’être livré en spectacle devant les siens, à Niono, il a contacté l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture du Mali (APCAM). Lors d’une de ses nombreuses rencontres, le président de cette institution, Bakary Togola, qui n’a pas toujours sa langue dans la poche, aurait laissé entendre que «si le ministère se montre très intransigeant sur ce dossier, c’est qu’il a des arguments solides».
    Sa deuxième démarche a été de faire intervenir son nouveau parti, le PDES. Le président de cette formation politique et non moins ministre de l’Equipement et des Transports, Ahmed Diané Séméga, s’est, en personne, déplacé pour rencontrer son collègue de l’Agriculture, Aghatam Ag Alhassane. A la fin de leur entretien, nous ont confié nos sources, le président du PDES a trouvé que le dossier était indéfendable.
    Ultime démarche de l’opérateur économique-magouilleur, Koulouba. Mais, le Président de la République, qui est assez informé sur les tenants et les aboutissants du dossier, a fermé sa porte au visiteur Diadié Bah. Pour être encore plus explicite dans sa quête de faire jaillir la vérité dans cette sale affaire, le Président de la République n’a pas hésité à limoger, la semaine dernière, le Chef de le Brigade du Pôle économique et financier de Bamako. Celui-là même qui, selon nos investigations, aurait tenu des propos «partiaux», lors des interrogatoires concernant ce dossier. Il était revenu au Chef de l’Etat que cet Officier-enquêteur voulait étouffer l’affaire en faveur, bien sûr, de Diadié Bah.
    Depuis, celui-ci erre de bureaux en bureaux pour clamer son innocence et pour tirer sur lui les grâces de certains hauts cadres de l’administration, à coût d’espèces sonnantes et trébuchantes.
    Ce que Diadié bah ignore, c’est que le dossier ou plutôt les traces qu’il a laissées derrière lui pendant les sales opérations sont indélébiles : 314 cautions signées de sa main, plusieurs fausses factures et autres faux documents. De plus, nos investigations nous ont permis de savoir qu’entre toutes les 314 livraisons et les signatures des cautions, il n’y avait que deux jours d’intervalle. Impossible, aux dires de certains techniciens du secteur agricole que nous avons rencontrés.
    Rappelons surtout que le pot-au-rose a été découvert, lorsque le Directeur national de l’agriculture, Daniel Kéléma, a fait vérifier sur le terrain toutes les informations qui lui ont été parvenues. C’est ainsi qu’il a, par exemple, constaté que « Gnoumani-Sa» de Diadié Bah a produit deux factures d’un montant total de 2 223 754 443 CFA pour la seule Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) de Koulikoro. Directement, il a saisi son ministre qui, à son tour, en a informé son collègue des Finances. C’est ainsi que l’étau s’est refermé sur lui. Résultat : A la demande du ministre de l’Agriculture, son homologue des Finances a décidé de suspendre le paiement. Surtout que des informations provenant de la DNCC affirment qu’en deux campagnes agricoles, Diadié Bah n’a importé que 75 000 tonnes d’engrais. Alors, comment a-t-il pu faire entrer et livrer plus de 700 000 tonnes d’engrais sur le territoire malien. C’est une autre paire de manche que les services de l’assiette entameront bientôt avec lui.
    En attendant, pour avoir décelé la magouille, la Direction nationale de l’agriculture a reçu les félicitations de sa hiérarchie. Le ministre des Finances, lui, a salué l’action entreprise par son collègue pour éviter à l’Etat une hémorragie financière.
    Diadié Bah est donc sérieusement averti : le gouvernement malien a désormais l’œil sur lui. C’est une véritable chape de plomb qui s’abat sur cet opérateur économique véreux. Après l’affaire du PACCEM à Ségou dans laquelle les Canadiens sont à ses trousses et celle du PASAOP, ce baron du PDES (il avait milité à l’ADEMA, au RPM…) se retrouve dans une autre sale affaire. A la différence que cette fois-ci, il a à faire à des «durs à cuir». A suivre.
    Paul Mben
    Le 22 Septembre
    25/07/2011
    http://www.diasporaction.com/actualite-presse-ecrite/44-22-septembre/3847-fourniture-dengrais-a-hauteur-de-plus-de-2milliardsdiadiebah-persiste-dans-le-faux-et-usagede-faux

  92. IBK n’était pas présent à la cérémonie de remise des clés des 1552 logements, parce qu’il a su que cette affaire n’est pas du tout claire et elle n’a pas atteint un niveau de crédibilité. Toutes ces têtes doivent quitter le gouvernement.

  93. Ici la question qui doit se posée est de savoir si réellement l’histoire de trois milliards FCFA qui à bloquer par le par le ministre du développement rural dans la campagne agricole 2010-2011 sont en rapport avec celui de 2015 ?
    La réponse à cette question va nous permettre de savoir la réalité concrète concernant l’histoire de l’engrais frelaté.
    L’affaire de l’engrais est plus politique que technique.
    Le cas de BAFOTIGUI DIALLO est un exemple.
    Prenons le cas de BAFOTIGUI DIALLO députe élu à commune VI de BAMAKO, il fait également du parti RPM.
    On sait que BAFOTIGI vient de la même localité que TIEBLE DRAME et IBK.
    Pourquoi un membre de même parti puisse critiquer le régime en place dont il faisait partie du même de parti ?
    Il montre sa colère concernant le dossier de l’engrais frelaté en accusant le gouvernement, et plus précisément le ministre du développement rural, TRETA.
    Pour BAFOTIGUI « c’est le RPM qui a fait élire IBK comme président du Mali. Ce parti est obligé de soutenir toute action allant dans le sens de l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens C’EST CE PARTI QUI A PROPOSE IBK CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE.C’EST LE RPM QUI A SIGNE LA PLATEFORME AVEC LES PARTIS POLITIQUES ALLIES PENDANT LES ELECTIONS. ».
    La question est de savoir pourquoi BAFOTIGI fait des reproches des reproches concernant l’histoire d’engrais frelaté ?
    Pourquoi il se mit à la place des autorités judiciaires.
    On pense qu’il fait tout cela pour son intérêt personnel.
    Sachant aussi qu’on a un doute sur lui dans cette affaire.
    LE CAS DE DIADIE BAH
    Prenons aussi le cas de DIADIE BAH qui était le fournisseur d’engrais sous l’ancien régime.
    Lors de l’appel d’offre sa compagnie a été regrettée de la liste des fournisseurs, c’est pour cela qu’il entrain de salure le gouvernement d’IBK.
    Il faut aussi retenir qu’il a été candidat malheureux aux élections législatives dernier. Cela fait plus de trois ans que les Trois milliards Francs CFA sont bloqués par le ministère du Développement Rural.
    Ce sont tous des raisons qui montrent son intention envers le gouvernement.
    LE CAS DE TIEBILE
    Le cas de TIEBILE DRAME, qui est l’ancien ministre de la diplomatie au régime d’ATT.
    TIEBILE DRAME voulait seulement nuire le gouvernement d’IBK.
    En un mot BAFOTIGI, TIEBILE DRAME, DIADIE BAH, SEYDOU NANDOUME, sont tous des individus qui cherchent a compliqué la situation concernant les dossiers d’engrais frelaté.
    C’est seulement à cause d’une simple somme d’argents, quel pauvre député.
    BAFOTIGI, fait la honte du RPM, un homme de mauvaise foi.
    DE TOUT COMPTE FAIT LA JUSTICE SERAIT RENDU, ET LES COUPABLES SERONS PUNIS CONFORNEMENT A LA LOI EN VIUEUR.

  94. Est-ce que le fait de superviser la commission de désignation du DG de son ancienne structure est un crime ? Ou bien c’est parce qu’il est ministre qu’il ne doit pas faire cela ? Ce que vous dites est insensé !!!

  95. HA HA HA HA HA HA, pauvre journaliste reproches que vous faites sont inutiles car le régime d’IBK a été extraordinaire. L’art de gouverner n’est pas facile, mais la meilleure façon de gouverner est la patience, c’est cela qu’IBK est en train de faire. Le Mali a connu la paix et le développement sous le régime d’IBK.
    La question est de savoir pourquoi les gens critiques IBK et son gouvernement ?
    Le président IBK, est un président légitime et légalement élu avec 77,61% de voie, cela prouve que la population est avec lui.
    Depuis l’indépendance jusqu’à nos jours aucun président n’a eu un tel pourcentage lors des élections et n’a jamais été comme IBK.
    IBK est venu au pouvoir moins de deux ans, il est parvenu à maintenir la paix et la sécurité au pays.
    La population Malienne sait réellement que la paix est plus efficace que la lutte contre la corruption, car le pays vivait à une situation très dangereuse, alors le peuple voulait la paix et rien que la paix.
    Le Mali vivait dans cette crise depuis 20 ans, mais malgré tout cela IBK a fait tout ce qui est à son pouvoir pour que le pays ne tombe pas dans le KO, soutenons IBK pour son geste.
    Le Mali a toujours besoin un président comme IBK qui voulait le bonheur des Maliens.
    Sous IBK, on a assisté à une véritable paix durable, et c’est grâce à lui que le Mali a tourné la page de 20 ans de corruption, de vol, de détournement du fond public.
    Merci infiniment MAANDEN MASSA.
    De toutes les façons les coupables seront traduits devant la justice, car la justice est faite pour protéger les innocents et juger les coupables.
    Tous ces ministres cités dans l’article a part BATHILI les autres sont incapables et compétents de satisfaire le besoin de la population.
    La deuxième question est de savoir pourquoi tant de critique sur IBK, et son gouvernement?

  96. J’ai un dossier sur la démolition de certaines constructions de Souleymanebougou.
    Voilà le dossier :

    Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Me Mohamed Bathily a rompu le silence dans l’affaire de démolition des constructions anarchiques sur le patrimoine de l’Agence de cession immobilière (ACI) au quartier de Souleymanebougou. « Je ne vois pas la raison d’un tollé autour de notre acte administratif. Tant que la nécessité s’impose, le département le fera demain. Si je dois gérer le bien de l’Etat, je le ferai au repère de la loi », a-t-il rappelé au cours d’un point de presse tenu hier après-midi.
    Pour informer l’opinion nationale et internationale sur les bien-fondés de l’opération de démolition enclenchée jeudi dernier des maisons « illégalement érigées sur le site de Souleymanebougou ACI en
    Commune I, le ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a confié hier lundi les journalistes au département. D’entrée de jeu, Mohamed Aly Bathily a précisé que les maisons ciblées sont « celles construites dans l’emprise des marigots, du fleuve et sur le site de la zone ACI de Souleymanebougou ». « L’utilisation des domaines public et privé de l’Etat obéit aux règles et principes fixés par la loi, qui ont pour objet d’assurer aussi bien la sécurité publique que la protection des biens des personnes physiques et morales. J’ai été investi de la mission d’appliquer le code domanial et foncier », a souligné le ministre dans son intervention préliminaire, avant de préciser que son département avait effectué une visite le 30 juin 2015 pour « le constat ». Et aux dires du ministre, « la délégation qui l’accompagnait, a relevé l’occupation des servitudes du cours d’eau et le morcellement du terrain de 4 ha de ladite zone attribuée en son temps par l’Etat du Mali au Frère Guide de Libye ».
    « Les autorités locales et communales, en complicité avec les bénéficiaires qui ont activement sollicité ces attributions, ont investi la zone au prix de graves atteintes aux lois et règlements sur
    le foncier, l’urbanisme et la construction ainsi qu’au droit de propriété. Ils ont ignoré la dénonciation des attributions et occupations illicites et ont refusé d’obtempérer aux sommations adressées pour arrêter les travaux… », a expliqué Me Bathily en rappelant que « le gouvernement de la République du Mali, qui réalise sans cesse des programmes de logements sociaux, a souci du peuple malien dont il s’emploie à améliorer les conditions de vie ».
    Le rappel de Bathily !
    Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a rappelé que le 13 octobre 1947 le titre foncier n°1368, d’une superficie totale de 85 ha 13 a 97 ca a été créé à Souleymanebougou, Commune rurale de N’Gabakoro-Droit. Ce titre foncier mère a donné naissance au TF 0050 du Cercle de Kati. Le reliquat a été mis à la disposition de l’ACI par le gouvernement, suivant un mandat en date du 12 janvier 2002. Il fait une superficie de 63 ha 26 a 10 ca entièrement aménagée par l’ACI en exécution de son mandat. Le 9 juin 2008, le préfet de Kati, Ibrahima Mamadou Sylla, par lettre n°88/CKTI-Dom demandait à l’ACI de lui fournir des informations « sur une parcelle longeant le marigot Farakoba ».
    En réponse à cette demande, il a été indiqué que « cette bande empiète sur le lotissement de l’ACI. Cette situation a été confirmée par une nouvelle expertise. Ainsi, le site a été aménagé et des parcelles ont été créées pour être vendues. Malgré la réponse claire qui lui a été donnée, le préfet de Kati a procédé à la création de ses propres parcelles qu’il a cédées à plusieurs personnes. Ce
    fut là le point de départ d’une occupation illicite des lieux. L’ACI s’est adjoint les services d’un huissier de justice afin de constater l’effectivité de la cession de ses terrains par le préfet Ibrahima
    Sylla. Elle a également porté plainte auprès du commissariat du 12e arrondissement de Bamako, suivant la lettre n°000210 du 8 juin 2010 ».
    Avant cette procédure, la direction régionale des Domaines et du Cadastre, par la lettre n°08-0395/DRDC-Koulikoro, a saisi le gouverneur de région pour lui indiquer, notamment le 27 octobre 2008 que le programme immobilier de l’ACI est bien contenu dans les limites du TF 1368 », a-t-il fait savoir.
    Pour le ministre, la réclamation des droits coutumiers formulée par le collectif des autochtones de Titibougou est devenue sans objet dans la mesure où la procédure d’immatriculation a été engagée et close sans opposition depuis 1947. Les espaces, objet de convoitise par diverses personnes, situées le long du marigot Farakoba, constituent en réalité la servitude prévue lors des opérations de délimitation du TF 1368. « L’ensemble de ces précautions n’a pas empêché les bénéficiaires des parcelles illégalement attribuées de poursuivre leurs occupations des lieux. De nouvelles sommations d’interpellation leur ont été faites le 6 mai 2014 par l’huissier de justice Maître Aliou Traoré. Face à cette situation d’inégalité, le ministère était obligé de mettre de l’ordre pour la bonne application de la loi. Puisque l’Etat une construction juridique. Il est inadmissible d’entretenir une la situation d’inégalité. L’Etat ne cédera pas aux groupes de pression qui agissent contre la loi. Les travaux vont continuer et l’Etat a déjà porté plainte contre les acteurs. Si je dois gérer le bien public, je le
    ferai au repère de la loi. Et nous n’avons pas regretté de notre acte administratif », a-t-il dénoncé.
    Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a saisi l’opportunité pour appeler au sens des responsabilités des autorités administratives et à l’esprit patriotique des administrés.
    Bréhima Sogoba
    🙄 🙄 🙄 🙄 😳 😳 😳

  97. Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Me Mohamed Bathily a rompu le silence dans l’affaire de démolition des constructions anarchiques sur le patrimoine de l’Agence de cession immobilière (ACI) au quartier de Souleymanebougou. « Je ne vois pas la raison d’un tollé autour de notre acte administratif. Tant que la nécessité s’impose, le département le fera demain. Si je dois gérer le bien de l’Etat, je le ferai au repère de la loi », a-t-il rappelé au cours d’un point de presse tenu hier après-midi.
    Pour informer l’opinion nationale et internationale sur les bien-fondés de l’opération de démolition enclenchée jeudi dernier des maisons « illégalement érigées sur le site de Souleymanebougou ACI en
    Commune I, le ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a confié hier lundi les journalistes au département. D’entrée de jeu, Mohamed Aly Bathily a précisé que les maisons ciblées sont « celles construites dans l’emprise des marigots, du fleuve et sur le site de la zone ACI de Souleymanebougou ». « L’utilisation des domaines public et privé de l’Etat obéit aux règles et principes fixés par la loi, qui ont pour objet d’assurer aussi bien la sécurité publique que la protection des biens des personnes physiques et morales. J’ai été investi de la mission d’appliquer le code domanial et foncier », a souligné le ministre dans son intervention préliminaire, avant de préciser que son département avait effectué une visite le 30 juin 2015 pour « le constat ». Et aux dires du ministre, « la délégation qui l’accompagnait, a relevé l’occupation des servitudes du cours d’eau et le morcellement du terrain de 4 ha de ladite zone attribuée en son temps par l’Etat du Mali au Frère Guide de Libye ».
    « Les autorités locales et communales, en complicité avec les bénéficiaires qui ont activement sollicité ces attributions, ont investi la zone au prix de graves atteintes aux lois et règlements sur
    le foncier, l’urbanisme et la construction ainsi qu’au droit de propriété. Ils ont ignoré la dénonciation des attributions et occupations illicites et ont refusé d’obtempérer aux sommations adressées pour arrêter les travaux… », a expliqué Me Bathily en rappelant que « le gouvernement de la République du Mali, qui réalise sans cesse des programmes de logements sociaux, a souci du peuple malien dont il s’emploie à améliorer les conditions de vie ».
    Le rappel de Bathily !
    Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a rappelé que le 13 octobre 1947 le titre foncier n°1368, d’une superficie totale de 85 ha 13 a 97 ca a été créé à Souleymanebougou, Commune rurale de N’Gabakoro-Droit. Ce titre foncier mère a donné naissance au TF 0050 du Cercle de Kati. Le reliquat a été mis à la disposition de l’ACI par le gouvernement, suivant un mandat en date du 12 janvier 2002. Il fait une superficie de 63 ha 26 a 10 ca entièrement aménagée par l’ACI en exécution de son mandat. Le 9 juin 2008, le préfet de Kati, Ibrahima Mamadou Sylla, par lettre n°88/CKTI-Dom demandait à l’ACI de lui fournir des informations « sur une parcelle longeant le marigot Farakoba ».
    En réponse à cette demande, il a été indiqué que « cette bande empiète sur le lotissement de l’ACI. Cette situation a été confirmée par une nouvelle expertise. Ainsi, le site a été aménagé et des parcelles ont été créées pour être vendues. Malgré la réponse claire qui lui a été donnée, le préfet de Kati a procédé à la création de ses propres parcelles qu’il a cédées à plusieurs personnes. Ce
    fut là le point de départ d’une occupation illicite des lieux. L’ACI s’est adjoint les services d’un huissier de justice afin de constater l’effectivité de la cession de ses terrains par le préfet Ibrahima
    Sylla. Elle a également porté plainte auprès du commissariat du 12e arrondissement de Bamako, suivant la lettre n°000210 du 8 juin 2010 ».
    Avant cette procédure, la direction régionale des Domaines et du Cadastre, par la lettre n°08-0395/DRDC-Koulikoro, a saisi le gouverneur de région pour lui indiquer, notamment le 27 octobre 2008 que le programme immobilier de l’ACI est bien contenu dans les limites du TF 1368 », a-t-il fait savoir.
    Pour le ministre, la réclamation des droits coutumiers formulée par le collectif des autochtones de Titibougou est devenue sans objet dans la mesure où la procédure d’immatriculation a été engagée et close sans opposition depuis 1947. Les espaces, objet de convoitise par diverses personnes, situées le long du marigot Farakoba, constituent en réalité la servitude prévue lors des opérations de délimitation du TF 1368. « L’ensemble de ces précautions n’a pas empêché les bénéficiaires des parcelles illégalement attribuées de poursuivre leurs occupations des lieux. De nouvelles sommations d’interpellation leur ont été faites le 6 mai 2014 par l’huissier de justice Maître Aliou Traoré. Face à cette situation d’inégalité, le ministère était obligé de mettre de l’ordre pour la bonne application de la loi. Puisque l’Etat une construction juridique. Il est inadmissible d’entretenir une la situation d’inégalité. L’Etat ne cédera pas aux groupes de pression qui agissent contre la loi. Les travaux vont continuer et l’Etat a déjà porté plainte contre les acteurs. Si je dois gérer le bien public, je le
    ferai au repère de la loi. Et nous n’avons pas regretté de notre acte administratif », a-t-il dénoncé.
    Le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières a saisi l’opportunité pour appeler au sens des responsabilités des autorités administratives et à l’esprit patriotique des administrés.
    Bréhima Sogoba
    🙄 🙄 🙄 🙄 😳 😳 😳

  98. Diadié Bah et les deux milliards de l’Etat : Un présumé délinquant financier récidiviste qui veut plumer l’Etat
    « Laissez mouton courir, Tabaski viendra. » a dit l’adage. C’est ce qu’on aimerait dire de cet opérateur économique, conseiller du président ATT et un présumé délinquant financier de classe exceptionnelle. Diadié Bah, puisque c’est de lui qu’il s’agit est l’un de ceux qui se cache derrière ce statut d’opérateur économique et de conseiller à présidence pour mieux profiter de l’argent du pauvre contribuable. Le voilà depuis un certains temps réclamant à l’Etat 2 milliards 900 millions avec la complicité de la justice malienne.
    Diadié Bah
    Usant de son influence de conseiller spécial à la présidence, cet opérateur économique ne recule devant rien. Il s’est longtemps joué de la justice malienne dans l’affaire des exonérations en s’octroyant les faveurs de certains juges contre espèces sonnantes et trébuchantes. L’on se rappelle de l’ascension fulgurante de sa société Nioumani.SA, qui s’est vu du jour au lendemain imposée sur le plan national comme l’une des plus grandes sociétés importatrices d’engrais au Mali. Il est d’ailleurs le seul opérateur ayant bénéficié de toutes les campagnes d’exonération et son quota du lot global. Qui pouvait refuser un marché au tout puissant conseiller spécial du président ATT et non moins membre du fameux Pdes ?
    Ainsi, Diadié Bah aidé de son influence de membre du Pdes a pu hisser sa société à un niveau incroyable avec un chiffre d’affaires important, un parc automobile des plus fournis après Gdcm, acquis en l’espace de quelques années.
    Ne reculant devant rien, il vient de réussir à l’aide de faux documents à faire condamner l’Etat à travers des agents du ministère de l’Agriculture à la dernière session de la cour d’assises, par l’arrêt n°192 du 13 décembre 2013 à lui payer la somme d’un milliards neuf cent douze mille cent trente huit Francs CFA à titre de dommages et intérêts, car il accuse ces agents de faux en écriture, corruption et complicité. Nioumani.SA estime avoir été lésé par ces agents dans le cadre de leur fonction et que leurs actes lui auraient causé, tenez-vous bien, un préjudice moral.
    Sachant que l’Etat malien à travers le Ministère de l’Agriculture est civilement responsable des agents incriminés, il est le véritable condamné.
    Le rappel des faits
    Les faits remontent aux années 2008 et 2009 où le gouvernement dans le cadre de l’initiative riz a décidé de subventionner les engrais et semences certifiées en les faisant parvenir aux producteurs agricoles à travers des opérateurs économiques sur la base de cautions techniques délivrées par les services compétents du Ministère de l’Agriculture.
    C’est ainsi que pour couvrir la campagne agricole 2010-2011, la société Nioumani.SA affirme avoir fourni aux producteurs de la région de Koulikoro des quantités d’intrants dont le montant s’est élevé à 3.431.065.251 FCFA, alors même que les besoins de la région en cette campagne sont estimés selon les structures d’Agriculture à 1.800 000 000 FCFA. A l’époque, les services techniques du ministère des finances et le ministre de l’agriculture en personne avaient condamné le montant hors norme de la Société Nioumani-SA.
    Selon les explications qui nous ont été fournies, les travailleurs de la société, qui devaient exécuter le marché de livraison d’engrais, étaient bien au courant que plus des deux tiers des cautions étaient fausses. Ils savaient aussi que les informations y figurant (superficies, tonnages d’engrais, d’urée…, dates de livraisons et de réceptions…) étaient incorrectes. Malgré cela, ces travailleurs ont acheminé les documents jusqu’à la Direction de Gnoumani SA. Laquelle n’a pas hésité à présenter les cautions aux ministères de l’Agriculture et des Finances pour être payée par le Trésor public. Pour résumer la thèse des techniciens, si certains agents des services agricoles ont fauté, c’est naturellement avec la complicité des travailleurs de Gnoumani SA, y compris la Direction.
    Mais le scandale financier a été évité à l’époque de justesse, grâce à la vigilance de la Direction nationale de l’agriculture, à quelques encablures de la tenue du Conseil Supérieur de l’Agriculture. Depuis, on sait que c’est sur le cercle de Kati que Diadié Bah et ses acolytes avaient jeté leur dévolu. D’ailleurs, c’est dans la même zone que la suspension de Gnoumani SA court toujours, pour ce qui concerne la livraison d’engrais.
    Appelé à la barre à l’audience de la cour d’appel du 05 mars 2013, Moussa Camara, Directeur national adjoint de l’agriculture a répliqué en soutenant qu’il ne connait pas cet employé de commerce encore moins le rencontrer pour traiter une quelconque affaire de cautions » On a constaté un surplus de production de cautions techniques en dehors des zones ciblées. La quantité d’engrais annoncée n’a pas été fournie. Nous sommes formels », a-t-il ajouté.
    Sur la même lancée, Daniel S. Kelema, Directeur National de l’agriculteur a indiqué qu’il « s’est rendu compte d’un dépassement de 175% de la facture de Gnoumani-SA de la subvention d’engrais de l’Etat. Selon lui, dans le rapport de mission portant sur 8 fournisseurs, des anomalies ont été décelées au niveau de la Société Gnoumani SA. » Le problème se situe au niveau de Kati avec 314 cautions qui sont fausses. Cependant, 143 cautions sont bonnes parce que la quantité d’engrais a été fournie. Le montant à payer est évalué à 121 Millions 700.000 FCFA. Les cautions sont délivrées en fonction de la superficie déterminée. Sur les 463 cautions, 314 ont été remises à qui de droit, a expliqué le Directeur national de l’agriculture.
    Le représentant du Contentieux de l’Etat a, pour sa part, demandé à la Cour de mettre l’Etat hors de cause dans cette affaire de surfacturation de consommation d’engrais. Pour lui, il s’agit d’une entreprise frauduleuse. Et que la moralité de la société Gnoumani SA reste douteuse.
    L’ultime démarche de l’opérateur économique-magouilleur fut en direction de Koulouba. Le Président de la République, Amadou Toumani Touré, très conciliateur, dont il était le conseiller, mais bien informé de la gravité du dossier, lui a fermé sa porte. Dans les jours qui suivirent cette rencontre avortée, ATT a démontré qu’il voulait faire jaillir la lumière dans cette sale affaire, en limogeant le Chef de la Brigade du Pôle économique et financier de Bamako. Celui-là même qui, selon nos sources, aurait tenu des propos « partiaux », lors des interrogatoires dans ce dossier. Il serait revenu aux oreilles du Chef de l’Etat que cet Officier – enquêteur voulait étouffer l’affaire, en faveur, bien sûr, de Diadié Bah.
    Un pot aux roses bien déguisé
    « A malin, malin et demi », dit l’adage. C’est au cours d’une inspection de routine portant sur les subventions de l’Etat que la société Gnoumani SA de Diadié Bah a été épinglée par les services techniques du Ministère de l’Agriculture qui ont découvert une importante fraude en procédant au recoupement des factures concernant les subventions. Ils ont découvert que « Gnoumani-Sa » du puissant conseiller du président ATT, Diadié Bah a produit deux factures d’un montant total de 2.223.754.443 CFA pour la seule Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) de Koulikoro. Or il se trouve que l’ensemble des besoins de cette région ne dépasse pas 1, 8 Milliard CFA. Alors que plusieurs sociétés ont livré pour couvrir les besoins de la Région de Koulikoro, notamment : Somadeco, Société Mali Paysans sarl, Toguna, Smci sarl et « Gnoumani-Sa » de Diadié Bah qui réclame 2,2 milliards. Pendant qu’il n’a pas livré plus de 20% des engrais dans la région de Koulikoro.
    Sur la base des informations qu’il a publiées, « Gnoumani-Sa » a plutôt livré dans les régions de Sikasso et Ségou. Et l’Etat, selon Diadié Bah, lui doit la somme de 3,4 milliards CFA. Si pour Sikasso et Ségou, les services techniques du ministère de l’Agriculture n’ont pas décelé d’anomalies à la date d’aujourd’hui, ce n’est pas le cas pour la région de Koulikoro. Ce qui fait dire aux autres fournisseurs que Diadié Bah monte les enchères en parlant de boycott afin de faire oublier ses fraudes dans la région de Koulikoro. Et si l’on sait que dans ce milieu tout le monde se connaît, c’est une peine perdue pour lui.
    Diadié Bah récidive
    Avec ce scandale financier dont il est le seul à avoir le secret, notre fameux opérateur économique n’est pas à son premier coup d’essai. L’on se rappelle volontiers les démêlées du même Diadié Bah dans les affaires du Paccem à Ségou et même du Pasaop. Dans ces deux affaires, il a toujours réclamé quelque chose qui ne lui est pas dû à tel point que sa société est mise sur la sellette de ces projets et programmes. Après ces affaires sulfureuses Paccem, Pasaop, c’est autour de l’Etat de se faire plumer par les soins de Diadié Bah.
    Ne se limitant pas aux scandales financiers qui risquent de le bouffer avec sa société, Diadié Bah a longtemps été aussi cité dans l’affaire de l’assassinat de Moriba Yattassaye. Un jeune opérateur économique de Niono dont le corps a été retrouvé à quelques encablures des bureaux du sous préfet de la ville l’année dernière. Même si sa culpabilité n’a pas encore été établie, nombreux sont ceux qui voient sa main derrière cette ignominie.
    Aujourd’hui, cette société on ne sait pas trop comment est arrivée à faire condamner l’Etat à travers des agents pour avoir été exclus de la fourniture des intrants agricoles dans le cadre de la subvention accordée par l’Etat aux producteurs aux motifs que les cautions techniques présentées étaient entachées de graves irrégularités. Mais pour qui connait, la moralité de certains robeux de notre pays, cette condamnation de l’Etat n’est pas surprenante. D’ailleurs, il y a à peine quelques semaines les pratiques peu orthodoxes de nos braves magistrats furent mises à nu et les intéressés sont sous les verrous.
    Que l’Etat soit condamné s’il est coupable, mais de là à le condamner à cause d’individus malintentionnés qui ne pensent qu’à leur propres « panses » au détriment du pauvre contribuable est écœurant.
    Cet homme a tellement de casseroles qu’il traine, qu’il a tout fait pour s’arroger une immunité parlementaire heureusement que les 9 sages de la cour constitutionnelle n’ont pas perdu le sens du devoir comme certains l’ont fait.
    Ibk a dit que nul ne serait au dessus de la loi, qu’il en soit ainsi, afin que nul ne s’enrichisse plus impunément sur le dos de l’Etat.
    Harber MAIGA
    Le Prétoire du 6 janvier 2014.

    http://www.afribone.com/spip.php?article54340

  99. Le ministre Tréta qui, au sein même de son parti, le Rpm, ne parvient pas à avoir le soutien qu’il faut. Mais qu’est-ce que l’homme a pu faire pour se faire aide ? Rien ! Sinon, la lenteur par laquelle il a traité le dossier laisse présager de la légèreté. Surtout pour un cadre du parti au pouvoir qui ambitionne de succéder au président de la République à la tête du RPM. Mieux, Bocary Tréta ne cache plus sa volonté de siéger à la Primature.

  100. Monsieur le journaliste le régime d’IBK est venu trouver le Mali émergé de corruption par les régimes précédents à commencer par GMT à ATT. Ils ont pillé ce pays avec leurs compagnons, ils ont permis tout au Mali. IBK ne peut pas mettre un terme final à ce fléau en un clin d’œil. Donnons lui le temps qu’il stabilise le pays d’abord. C’es nous les maliens même qui sont à la base de notre malheur, nous perturbons trop le régime avec nos diffamations insensées.

  101. zambougou toto
    331 commentaires
    3 août 2015 à 10:17
    “Nul n’est et sera au déçu de la loi” IBK l’a toujours dit, Le remaniement ministériel prochain donnera raison a IBK et aussi la justice. Les Ministres incompétents ne siégerons pas dans son gouvernement. Tous ces actes ne restera pas impunis.

  102. Bravo 😀 😀 😀 à monsieur le ministre IGOR 😀 😀 😀 nous avions besoin des travailleurs comme vous 😀 😀 . Le Mali voit maintenant les jours 😀 😀 😀 et du courage, 😀 😀 😀 nous sommes fiers de vous. 😀 😀 😀

  103. Mais détrompez vous, il n y aura jamais de sanctions pour la simple raison que le Président IBK est sale et n’ a pas su donner l’exemple de probité morale et intellectuelle en laissant les caciques et cadres de son entourage voler à ciel ouvert dans les différents scandales qui endeuillent la nation malienne.
    Soumeylou Boubeye Maiga a dit ceci dans l’affaire d’avion pendant le congrès de son parti ASMA” Est ce qu’un chien peut s’attaquer à un hérisson ?. Cela voudrait dire que IBK a beau être président de la Rep- il ne pourrait rien contre lui dans cette ingénierie d’essence maffieuse où le gâteau fut partagé entre tous les membres de la Confrérie.

    • Toto den!!! c’est ton père qui est sale en plus c’est un sale voleur de ce pays. pourquoi tu es idiot jusqu’à ce point?

    • Si le Mali a toujours fabriqué des voleurs à la tête de l’Etat, ce n’est pas la faute à IBK. Il fait confiance à des responsables et eux aussi trahissent sa confiance en volant l’Etat. C’est à toi de te détromper parce que Ibk n’est pas le président de la haute cour de justice, ni le juge.

    • Attendons encore les résultats du quinquennat pour le juger, il a faits de son mieux enfin ressembler ou être diffèrent des autres il y aura des cons pour critiquer.
      Qu’est-ce que sa aurai changé si IBK était resté sur place ?ou est ce qu’il devrait rentrer de maison par maison, ou prendre la main de malien par malien pour les consoler ? Vous allez étouffer IBK avec vos critiques débiles.

  104. Mr Le journaliste. le ministre Baby a commencé cette discrimination dès son arrivée avec la nomination de BACHAR au FAPFA( son cousin) au détriment des cadres de ce service qui ont cadré et formé le » petit ». C’est au nom du sectarisme et le régionalisme que BABY agit. L’article 16 de l’Accord D’Alger leur donne l’occasion inouïe » d’apothéoser »

  105. Le ministre Maha-mare Babouin doit partir! Pense-t-il que seuls les sonrails sont les cadres valables au Mali?

  106. Mr Le journaliste. le ministre Baby a commencé cette discrimination dès son arrivée avec la nomination de BACHAR au FAPFA( son cousin) au détriment des cadres de ce service qui ont cadré et formé le” petit”. C’est au nom du sectarisme et le régionalisme que BABY agit. L’article 16 de l’Accord D’Alger leur l’occasion inouïe ” d’apothéoser”

    • L’avis d’appel d’offre en question était tout sauf juste et ouvert, car l’un des gros fournisseurs de la place, Djadié Ba, PDG de Gnoumani -sa, a été exclu du marché. Des consignes fermes auraient été données là où il faut pour empêcher Djadié Bah d’acquérir le dossier d’appel d’offre.
      En affaire, c’est comme à la guerre (il n’ya pas de pitié). Furieux de sa mise à l’écart d’un marché très juteux, on le sait, l’opérateur économique n’est pas resté assis en croisant les doigts, il a informé qui de droit et a mis ses relations en contribution jusqu’à l’extérieur du pays.
      Lorsque les premières commandes d’engrais, de pesticides et de semences sont arrivées sur le sol malien, Djadié Ba a passé le relais aux députés Bafotigui Diallo du Rpm, ensuite Bakary Koné de l’Adéma (un allié du Rpm). La suite est connue car, dès le vendredi 28 mai 2015, dans le N°167, votre bihebdomadaire préféré, Le Tjikan, a vu juste en titrant à sa une « le ministre Tréta bientôt dans un champ d’épines… »
      Les dessous politiques d’un scandale financier
      En interpelant le ministre du Développement Rural devant l’Assemblée Nationale pour qu’il s’explique des tenants et aboutissants de l’affaire d’engrais de mauvaise qualité importé, le député Bafotigui Diallo du Rpm attira l’attention de l’opinion sur les dessous politiques de cette affaire en ces termes : « quand il s’agit des intérêts du pays, le parti passe en second plan… » « Je ne veux pas que l’image de notre parti et du président IBK soient associées à des actions qui puissent les porter préjudice un jour… ».

      Il faut rappeler que lors des législatives de 2013, le Pdg de Nyumani-sa, Djadié Ba sous les couleurs de l’ADP-Maliba a été un candidat sérieux contre celui du Rpm dans la circonscription électorale de Nionon. Au second tour, le Rpm l’emporta après que la Cour Constitutionnelle ait annulé de nombreuses voix favorables à Djadié Ba pour cause d’irrégularités. Après cet 1er affrontement dans les urnes, le Rpm ne voudrait plus faire cadeau à Djadié Ba. Et, lui accordé un marché juteux comme celui des engrais, même s’il répond aux critères, équivaut à financer un adversaire politique.

      De tout ce qui précède, le ministre du Développement Rural apparait dans l’opinion publique, comme le principal suspect dans l’affaire d’importation à coût de milliards, d’engrais de mauvaise qualité et en grande quantité au titre de la campagne agricole 2015/2016. Va-t-il tomber seul ?

  107. Mr le journaliste on écrit ” DURA LEX, SED LEX ” et non ” DURALEX, CED LEX ” c’est une locution latine qui signifie que ” la loi est dure, mais c’est la loi “

  108. JE NE SUIS PAS POLITICIENNE ET AUCUNE RELATION AVEC SES MINISTRES CITES.
    Moi j’ai apprécié la communication de Choguel k Maiga. je suis pas d’accord avec les nordistes mais lui il è bien.
    BATHILY fonce encore .Les maliens ne respecte pas la loi parceque
    ils ses basent tjrs sur les relations .le mali est devenu un cercle tant que tu n’est pas ds ce cercle tu n’avancera pas. les lois ,les codes s’appliquaient seulemt aux pauvres mais avec ce régime ce st les riches qui pleurent. REgarde le salaire malien que tous les fonctionnaires ont des champs et des gros cylindris avec une mode de vie impeccable dans ces 20 ans (régime de A O K ET ATT). c’est pourquoi Alapha o k ne peut pa parlé.

  109. Mr le journaliste on écrit ” DURA LEX, SED LEX” et non ” DURALEX CED LEX” c’est une locution latine qui signifie que ” la loi est dure mais c’est la loi ”
    .

  110. Ce n’est pas facile de répondre en si peu de temps aux nombreuses et légitimes aspirations des populations maliennes. Le Président IBK a hérité d’une situation extrêmement détériorée. Cette situation est alimentée par un système et des mentalités qui ont commencé à se développer depuis le coup d’Etat contre le Président Modibo Keïta. Depuis ce moment l’affairisme à tous les niveaux est devenu la règle du jeu. Ceux qui doivent être juges sont eux mêmes très impliqués dans le jeu. Le Président de la République ne peut être partout. Je pense que compter exclusivement sur IBK pour résoudre tous les maux n’est pas réaliste. Le mal est trop profond, le système est trop solidement implanté. Que faire ? Aucun individu isolé, à mon avis, ne détient la solution. Ce sont tous les Maliens, de toutes les couches sociales, qui doivent ensemble décider de comment ils souhaiteraient que leur pays soit. Peut-être qu’il faut rapidement aller dans ce sens. Autrement demain, ce sera encore plus difficile.

  111. Ce n’est pas facile de répondre en si peu de temps aux nombreuses et légitimes aspirations des populations maliennes. Le Président IBK a hérité d’une situation extrêmement détériorée. Cette situation est alimentée par un système et des mentalités qui ont commencé à se développer depuis le coup d’Etat contre le Président Modibo Keïta. Depuis ce moment l’affairisme à tous les niveaux est devenu la règle du jeu. Ceux qui doivent être juges sont eux mêmes très impliqués dans le jeu. Le Président de la République ne peut être partout. Je pense que compter exclusivement sur IBK pour résoudre tous les maux n’est pas réaliste. Le mal est trop profond, le système est trop solidement implanté. Que faire ? Aucun individu isolé, à mon avis, ne détient la solution. Ce sont tous les Maliens, de toutes les couches sociales, qui doivent ensemble décider de comment ils souhaiteraient que leur pays soit. Peut-être qu’il faut rapidement aller dans ce sens. Autrement demain, ce sera encore plus difficile.

    • Madou, je suis tout d’accord avec toi, il faut savoir que seuls les maliens sont pâtissiers de leur pays. personne ne viendra construire le Mali a notre place.

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