Le Président du parti ‘’Apdm-équité’’, Bandiougou Diawara, s’est rendu au siège du journal « Le Prétoire », jeudi 2 janvier 2014. Ce, pour présenter au personnel dudit journal les vœux du nouvel an.
Le Prétoire : Qu’est-ce qui justifie cet honneur que vous nous faîtes à travers cette visite?
En tant que Président d’un parti politique, j’ai souhaité être aujourd’hui le premier à venir dans votre rédaction pour vous apporter tout notre soutien pour que le Mali soit véritablement un Etat de droit. Ma démarche dans les salles de rédaction de déférents organes de presse de la place est pour dire que nous Apdm-équité, nous vous soutiendrons dans le combat que vous mener.
En tant qu’acteur politique, que pensez-vous du Mali nouveau ?
Le Mali nouveau de 2014 est un Mali d’espoir. Nous sommes membres de la coalition « IBK le Mali d’abord». Nous avons soutenu le Président Ibrahim Boubacar Keïta et aujourd’hui je le dis haut et fort que nous soutenons toutes les actions entreprises par le Président Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis son installation au pouvoir, nous avons soutenu sans aucune réserve l’ensemble de ses initiatives et actions. Tout simplement parce que nous avons choisi ce monsieur. Nous l’avons plébiscité à 77% et nous n’avons aucune raison que ce monsieur ne réussisse son premier quinquennat.
Quelles sont les leçons que vous avez tirées après votre participation aux élections législatives ?
Nous regrettons tout simplement que l’argent ait été le maitre du jeu électoral. L’achat de conscience de façon massive est un phénomène qui a encore malheureusement de beaux jours devant lui si nous ne prenons pas de mesures rigoureuses afin de mettre fin à ces pratiques qui n’honorent aucunement la démocratie malienne. Effectivement, nous avons participé aux élections législatives en commune VI et j’ai été personnellement candidat. Nous sommes fiers d’avoir participé au retour du Mali. Les municipales également nous allons y participer et nous présenterons des candidats dignes de confiance pour pouvoir justement mettre en œuvre la bonne politique de décentralisation dont le Mali a tant besoin.
Propos recueillis par Ibrahim M.GUEYE
