Le week-end dernier, à l’occasion de l’anniversaire des 30 ans de démocratie au Mali, 26 mars 1991-26 mars 2021, Renouveau TV et la Plume ont organisé un cadre de débat public entre les acteurs politiques et la société civile, à la Maison de la Presse. Si le premier panel animé par Alexis Kalambry s’est passé sans incident, le second animé par Chahana Takiyou et les hommes politiques a connu de fortes turbulences. Seul l’hymne sauva après toutes les tentatives.
La Maison de la Presse a refusé du monde la semaine dernière lors du débat tant annoncé entre les démocrates et des partisans du régime de Moussa Traoré. Le débat bilanciel était basé sur les 23 ans du règne de la dictature de Moussa Traoré, défendus par Dr. Choguel Kokala Maïga, président du (MPR) et les 30 ans de la démocratie soutenus par Moustaphe Dicko et Tiébilé Dramé respectivement de l’Adema-PASJ et du Parena. Choguel Maïga, dans ses avancées en défendant, le général Moussa Traoré, estimait que toutes les libertés étaient déjà acquises avant le 26 mars 1991, et qu’il restait juste le multipartisme. A l’en croire, le processus du multipartisme était déjà en place et demandait juste du temps. Il soutenait un climat social apaisé, des projets en cours et une vie plus ou plus moins tranquille. De l’autre l’Adema se revendiquait constructeur d’un Mali de paradis.
C’est dans cette discussion un peu tendue entre un ancien de l’UDPM (parti unique et constitutionnel), à travers Choguel Maïga et Moustaphe Dicko de l’Adema, des boudes et cris commencèrent à l’endroit des Ademistes. Certains jeunes qui se revendiquaient de Choguel se mirent à bouder Moustaphe Dicko et Tiébilé Dramé. Certaines personnes telles que le président de la Maison de la Presse, Bandiougou Danté, Mohamed Cherif Haïdara du CSDM, Oumar Sidibé de Renouveau TV, le modérateur Chahana Takiyou et autres prirent l’initiative de calmer le jeu. Toutes les tentatives se vouèrent à l’échec et souvent aggravaient la situation. Une scène déplorable. Des cris par là ! Des injures par-ci ! La Démocratie prise pour démon du malheur par les jeunes fans du président du MPR, Dr. Choguel Kokala Maïga.
Soudain, le jeune Dr. Mamadou Konaté s’approcha du modérateur et lui siffla de chanter l’hymne national. Chose dite, chose faite. A ce chant d’honneur, tous les belligérants se sont stoppés et ont répondu en chœur. « A ton appel Mali. Pour ta prospérité. Fidèle à ton destin. Nous serons tous unis… ». Les mains sur le cœur, debout comme un seul homme, les débateurs et leurs défenseurs ont fait front à la mésentente et l’ont vaincue. Le reste du débat a pu continuer tel un tribunal accusatoire, où Choguel accusé des péchés des 23 ans du général Moussa et l’Adema et la Démocratie du calvaire actuel.
Koureichy Cissé
La nouvelle génération mal formée est facilement manipulable.
CHOGUEL MAIGA A PU CONVAINCRE CETTE GÉNÉRATION QUE L’ÈRE DE LA DICTATURE MILITAIRE ÉTAIT MEILLEURE SANS QUE LUI-MÊME EN SOIT ACTEUR.
Il est plutôt acteur de la présidence AMADOU TOUMANI TOURÉ qui fait partie de la période de l’ère démocratique.
On pense souffrir plus que la génération qui a vécu la période de la dictature militaire par le fait d’un perroquet qui a décidé d’être le défenseur d’une période à plusieurs facettes pendant laquelle il était soit etudiant,soit jeune fonctionnaire un des animateurs de la structure de jeunesse de L’UDPM pendant que le pouvoir était concentré entre les mains d’un clan autour de la femme du président après l’arrestation de la bande des quatres.
DICKO de L’ADEMA PASJ a été un acteur majeur de la période de L’ADEMA PASJ.
Il ne répéte pas ce que ceux qui ont animé le pouvoir lui dit de dire comme le fait exactement CHOGUEL MAIGA.
Ce dernier doit plutôt defendre le pouvoir D’ATT et celui D’IBK dont il a été le porte parole.
AUCUN DES CADRES MAJEURS DE L’UDPM,NI DU CLAN FAMILIAL N’A TROUVÉ NÉCESSAIRE DE DÉFENDRE LE POUVOIR CRIMINEL DE MOUSSA TRAORÉ.
Ce dernier,de son vivant,était seul sur la ligne appuyé par CHOGUEL MAIGA contre même ATT qui lui a fait confiance pendant une décennie.
CHOGUEL MAIGA N’EST RIEN D’AUTRE QU’UN SUIVEUR.
Il ne défend aucune conviction.
Il ne parle jamais du bilan économique de L’UDPM alors que le bilan d’un régime est axé sur l’économie.
Sans elle rien ne peut fonctionner.
CHOGUEL MAIGA se nourrit de l’insécurité en proclamant des CONTRE-VÉRITÉS sur la qualité de L’ARMÉE que son patron a laissé.
La vérité finira par lui détruire car il se fait trop de mal en défendant un régime honni.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
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L’ autocritique manque à ces deux camps ! Ils sont tous des fossoyeurs du Mali ! Honte à ces acteurs politiques égoïstes et assoiffés de pouvoir !
Tu te classes où toi?🤷♂️
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