Après 30 ans d’indépendance, la situation socio-politique malienne reste et demeure dégradante à cause de la mauvaise gouvernance de la classe politique. Avec l’arrivée de ce duo Assimi-Choguel en mai dernier au pouvoir, les jalons de la refondation du Mali-Kura pointent à l’horizon.
Sur le plan sécuritaire, on peut le constater à travers les opérations des FAMa. Le développement passe par la sécurité des personnes et de leurs biens. C’est pourquoi les équipements de l’armée restent au cœur de son projet afin de ramener la stabilité sur toute l’étendue du territoire national.
Si le régime précédent avait pris l’initiative d’une loi d’orientation de la programmation militaire qui a coûté 1230 milliards de FCFA au budget national, la population reste dans l’insécurité totale. Assimi et Choguel redonnent l’espoir au peuple désespéré de la gestion de ces hommes politiques.
Aujourd’hui, le résultat est là avec l’acquisition des matériels de lutte de la dernière génération. La classe politique durant ces trois décennies, a été incapable d’assurer la sécurité des Maliens à plus forte raison de relancer le développement économique.
Le favoritisme, le clientélisme et l’oligarchie furent leur principe de gouvernance. Aujourd’hui, cette classe politique incapable de répondre aux aspirations du peuple malien au lieu d’apporter son soutien à la transition pour mettre un terme au calvaire que vit le peuple, tente de noyer le poisson dans l’eau en réclamant les élections. « A partir du 25 mars 2022, nous ne reconnaîtrons plus les autorités de la transition », affirme le Cadre d’échange des partis politiques pour une transition réussie.
Le Mali a besoin des réformes politiques institutionnelles pour fixer les directives. Dans une nation où les hommes à double tête se retrouvent hors du pays. Il y a sans doute des manquements à revoir. La nouvelle République doit tenir compte des situations de double nationalité par rapport à la gestion des postes clés de la nation.
Siriki KONE
Good point is made concerning trustworthiness of some dual nationality politicians. They should be obligated to hold only Malian nationality to hold high political positions plus their every political or/ plus governing action should receive utmost scrutiny. It is impossible for person to have d
equal loyalty to dual nationality where those nationalities are not aligned. Therefore that person is not trustworthy. Nation of Liberia is filled with untrustworthy politicians from president downward. If I was to ” hunt would would you you” interview them all I would conclude virtually all need be replaced. We do not want same for Mali therefore should not go same passage as Liberia concerning dual nationality. Liberia have taken passage of coward searching for way out plus all of Negroid Africa know it. It’s entire governing disposition must be restructured. We do not need or want that for Mali. A few important changes need be made in Mali but not much more.
Political class intended actions on March 25 for them is self destructive. It will be good to get rid of their national security violating butts.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Choguel n’est il pas de la classe politique ?
N’a t’ il pas été au moins 2 fois ministre de la classe politique ? De grâce …
Si la classe politique a été incapable d’assurer la sécurité des populations, où était l’élite militaire pendant ce temps ? Si depuis dix ans une demi-douzaine de motocyclistes peuvent mettre en déroute une garnison militaire avant de la dévaliser, cela aussi est l’incompétence des politiques ?
Le camp militaire d’Amachach, à Tessalit était défendu par 800 soldats maliens commandés par AssimI Goita, 1 500 personnes en majorité des femmes et des enfants s’y étaient également réfugiées1. Le Comité international de la Croix rouge devait effectuer une mission pour évacuer les civils et des familles des militaires, cependant malgré l’accord du MNLA, l’opération est retardée par les autorités maliennes et ne fut jamais exécutée selon une source humanitaire1. Les autres forces militaires maliennes présentes dans la région de Tessalit étaient commandées par les colonels Didier Dakouo, El Hadj Ag Gamou et Ould Meydou. Celles-ci tentèrent en vain lors de la bataille, de briser l’encerclement du camp par les rebelles8.
Les 18 janvier, la ville de Tessalit est attaquée par les rebelles indépendantistes du MNLA et les salafistes d’Ansar Dine1. Selon les soldats maliens, des combattants d’Al-Qaida au Maghreb islamique sont également présents9.
Le 22 janvier, les indépendantistes affirment que : « Les combattants du MNLA encerclent actuellement le camp militaire de Tessalit et attendent que les formateurs militaires étrangers évacuent les lieux. Le MNLA déplore deux blessés, ainsi que la perte d’un véhicule à la suite d’un accident10. »
Le 6 février, les rebelles font évacuer les populations de la ville de Tessalit (environ 4 000 personnes) vers des campements en brousse, à Abamco, Savohak, Efali (Terist) et Assowa afin d’éviter qu’elles ne soient victimes des conflits. La situation sanitaire est préoccupante et fait l’objet d’une mission de la Croix-Rouge le 7 février11.
Le 11 février, des renforts et un convoi maliens venus de Kidal et d’Anéfis et se porte en direction de Tessalit et affronte les rebelles en chemin, lors du combat de Tinsalane. Les bilans sont contradictoires et la victoire est revendiquée par les deux camps12,13.
Les combats se poursuivent les 13 et 14 février, l’armée malienne affirme être parvenu à entrer dans Tessalit, puis à ravitailler le camp d’Amachach, ce que les rebelles démentent14.
Les 28 et 29 février, une nouvelle contre-offensive est lancée par 300 soldats des forces maliennes commandés par les colonels Didier Dacko, El Hadj Ag Gamou, Abderahmane Ould Meydou et Mohamed Ag Bachir, un ancien de l’armée libyenne, à la tête de miliciens maures et touaregs. Cette attaque en périphérie de Tessalit est cependant repoussée par des troupes du MNLA commandées par les colonels Abdelkim Kojak, Assalat Ag Habi et Ibah Ag Moussa, dit Bamoussa15,2. Cependant, Ibah Ag Moussa, s’il combat initialement pour le MNLA, rejoint ensuite Ansar Dine16.
Le 29 février et le 1er mars, des avions et des hélicoptères de l’armée malienne mènent des raids contre les positions rebelles17.
Le 2 mars, Bakaye Ag Hamed Hamed, porte-parole du MNLA déclare que les affrontements des deux semaines précédentes ont fait 36 morts et 20 blessés chez les Maliens, plus trois véhicules détruits, contre 7 tués et 7 prisonniers pour les indépendantistes5.
Le 4 mars, les colonels Dacko, Gamou et Meydou envoient des renforts sur Tessalit, les Maliens sont appuyés par des hélicoptères pilotés par des mercenaires ukrainiens, cependant ceux-ci sont repoussés après douze heures de combats depuis la nuit jusqu’à l’après-midi. Un petit hélicoptère arrive à Amachach pour récupérer les Maliens tués ou blessés maliens pendant les affrontements7.
Le 10 mars 2012, en début de soirée, les rebelles lancent un assaut sur le camp d’Amachach18.
Le 11 mars 2012, la ville de Tessalit tombe aux mains des rebelles d’Ansar Dine et du MNLA. L’armée malienne affirme avoir effectué un repli stratégique. En revanche, selon le MNLA, il y a eu plusieurs assauts et des combats3.
Selon Soumaïla Boubèye Maïga, ministre des Affaires étrangères du Mali :
« Il n’y a pas eu de conquête car c’est nous mêmes qui avons décidé de faire évacuer le camp qui était assiégé depuis le 17 janvier. Nous avions tenté à plusieurs reprises de le ravitailler sans parvenir à nos fins… La situation humanitaire se dégradait… Il fallait faire l’économie de pertes humaines inutiles d’autant plus que même si nous abandonnons le camp aujourd’hui, nous pourrons toujours le reprendre plus tard… Les militaires se sont mis en ordre d’évacuation, avec le matériel essentiel et les familles, et qu’ils sont sortis du camp sans combats… les forces adverses ayant constaté cette évacuation, elles n’ont pas engagé de combat… pour éviter les pertes humaines inutiles3. »
D’après Baye Ag Diknan, officier du MNLA :
« Nous avons pris le camp suite à des assauts successifs, le dernier a eu lieu samedi soir… Les officiers du camp ont fui et nous les avons poursuivis… on a engagé près de 600 hommes (dans la bataille)… il y a eu des morts du côté de l’armée… (on a) une quarantaine de prisonniers… et une quarantaine de familles (de militaires)… on a saisi des centaines d’armes : des mortiers, lance-roquettes, mitrailleuses et même des blindés3. »
Les soldats maliens se replient sur Gao, selon une source militaire du quartier général de l’armée à Gao, les rebelles « ont donné 48 heures au commandant du camp Kassim Goita, pour quitter les lieux avant de lancer un nouvel assaut. Nos 800 éléments, dont 30 Touaregs, ont alors quitté Amachah avec armes, voitures et bagages pour nous rejoindre1. »
Bilan
Le ministère malien de la Défense affirme que les combats des 17 et 18 janvier à Tessalit, ont fait 1 mort et 3 blessés dans l’armée contre 10 tués chez les rebelles4,19,20.
Le matin 10 février, un 4×4 des combattants du MNLA est renversé lors d’un accident, un de ses occupants est tué et 3 autres sont blessés blessés. Le lendemain, c’est au tour d’un camion de transport de l’armée malienne, il y a 3 morts et plusieurs blessés1.
Selon un communiqué officiel du MNLA rédigé le 4 mars par Bakay Ag Hamed Ahmed, 2 Chars, 2 Camions-BM-porteuses de missiles, 6 véhicules équipés de 12,7 mm et plusieurs autres équipements ont été capturés par les combattants du MNLA7.
Entre le 4 et le 8 mars, 8 combattants du MNLA meurent de leurs blessures à In Khalil, un neuvième blessé est évacué en Algérie dans l’hôpital de Bordj Badji Mokhtar, puis celui de Reggane21.
Le 12 mars, à la suite de l’assaut du camp d’Amachach, le MNLA, dans son communiqué officiel rédigé par Bakaye Ag Hamed Ahamed, affirme que les pertes maliennes sont les suivantes : 5 officiers capturés (2 commandants, 2 lieutenants et 1 capitaine), 57 soldats maliens capturés, 10 Véhicules récupérés, 2 BRDM récupérés, 1 BRDM détruit et important arsenal militaire saisi6.
Dans son communiqué, le MNLA promet de traiter les prisonniers selon les Conventions de Genève de 1949, il affirme qu’un soldat malien malade a été remis aux autorités algériennes pour recevoir des soins et que 20 familles de militaires ont été remises au Comité international de la Croix-Rouge6.
Dans une vidéo publiée le 11 juillet par Ansar Dine, le mouvement islamiste affirme avoir fait prisonnier 560 soldats maliens lors des batailles d’Aguel’hoc, de Tessalit et de Kidal. Ceux-ci ont été libérés après avoir « donné leur parole de ne plus jamais combattre la charia de l’islam. » La vidéo montre notamment une soixantaine de prisonniers maliens après les combats de Tessalit22. » Ce nombre de 560 prisonniers est peut-être exagéré, mais le 14 avril 2012, les islamistes d’Ansar Dine relâchent 169 prisonniers militaires maliens, ainsi que 14 civils appartenant à des familles de soldats23,24,25.
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TOUTE CETTE CLASSE POLITIQUE N EST POINT COMPARABLE À IBK SEULE, PARTI, MORT, DONC POUR NOUS MALIENS! LA CLASSE POLITIQUE DE CE TEMPS RÉVOLU EST M O R T E. ET. E N T E R É E AVEC IBRAHIM BOUBACAR KEITA! IL EST TEMPS MAINTENANT D ENTERRER LE CLERGÉ ET LIBERER LES HOMMES ET FEMMES DU MALI LIBRE DE CREATIVITÉE ET DE THÉORIE!
😊
VIVE L HOMME NOIR LIBRE! LE FARAHOUN LIBERÉ À NOUVEAU, LE CRÉATEUR NOIR LIBRE, LE FERMIER NOIR LIBRE ET FORT! L HUMAIN LIBERÉ PUIS QUE L HOMME NOIR EST LE VRAI HUMAIN, PARMI D AUTRES! LIBRES DU FAUX ET DU MENSONGE ÉCRIT DANS DES LIVRES À MENSONGES, PAR INDIVIDUS DÉLIRANTS😊
“…Après 30 ans d’indépendance, la situation socio-politique malienne reste et demeure dégradante à cause de la mauvaise gouvernance de la classe politique…”
Siriki KONE, C’ EST DÉJÁ 61 ANS…!
MERCI
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