La Maison des Aînés de Bamako a abrité, le samedi 17 décembre 2022, les travaux de la 18ème Conférence Nationale du Parti Africain pour la Solidarité et la Justice (Adéma-PASJ). Les travaux étaient présidés par le Président du parti, Pr. Marimantia Diarra, en présence du président d’honneur du parti, Pr. Dioncounda Traoré ; de l’ex- président de l’Assemblée nationale du Mali, Pr. Ali N. Diallo ; des cadres de l’Adema-Pasj ; des responsables des partis amis de l’Adema-Pasj et d’autres personnalités. Au cours de la cérémonie d’ouverture des travaux, le Président de l’ADEMA PASJ, Pr. Marimantia Diarra, a fait savoir que la présente «conférence nationale se tient dans un contexte marqué par la généralisation des difficultés de tous ordres dont l’insécurité, la cherté et le coût de la vie, tous facteurs d’approvisionnement de nos populations et de notre pays, l’ébullition du climat social, la détérioration des relations diplomatiques avec certains pays voisins et du monde ».
Dans son discours d’ouverture, le Président de l’ADEMA-PASJ, Pr. Marimantia Diarra, a fait savoir qu’au cours des assises, les participants vont se pencher sur le rapport d’activités du Comité Exécutif ; les rapports des Commissions spécialisées ; les rapports des Coordinations régionales des Sections et des Mouvements affiliés.
Avant d’ajouter que les prochaines élections doivent servir de tremplin à l’Adéma-PASJ pour confirmer son leadership sur l’arène politique et reconquérir le pouvoir. « Au moment où se tient cette Conférence nationale, des tentatives sont en cours pour mettre sous l’éteignoir notre Démocratie acquise au prix du sang des martyrs, pour dénigrer et détruire les partis politiques. Il n’y a pas de démocratie sans partis politiques. Il appartient aux forces progressistes, démocratiques et républicaines de se mobiliser, de mieux s’organiser autour d’un projet commun, fondateur pour notre nation en péril, afin de contrer ces entreprises malveillantes », a-t-il dit.
Selon lui, la Transition en cours devrait dessiner le futur d’un Mali nouveau, dans le cadre d’une vraie inclusivité, par la participation de toutes les forces vives. «Ai-je besoin de vous rappeler que la présente conférence nationale se tient dans un contexte marqué par la généralisation des difficultés de tous ordres dont l’insécurité, la cherté et le coût de la vie, tous facteurs d’approvisionnement de nos populations et de notre pays, l’ébullition du climat social, la détérioration des relations diplomatiques avec certains pays voisins et du monde. C’est pourquoi, j’invite une fois de plus, les autorités de la Transition à privilégier, en toutes circonstances, un dialogue constructif et apaisé avec la communauté internationale, particulièrement avec tous les voisins du Mali, dans le strict respect de sa souveraineté », a déclaré le Pr. Marimantia Diarra.
Par ailleurs, au regard des défis posés par le terrorisme, le parti des abeilles est convaincu que la réponse à la menace terroriste ne peut être que collective. « Pour ce faire, nous estimons que notre pays doit réfléchir à une grande coalition anti-terroriste dans laquelle ses intérêts fondamentaux seront pris en charge et protégés, où il sera traité comme partenaire respecté et non un subordonné. Dans ce contexte particulièrement difficile pour notre pays, l’Adéma-PASJ tient à réaffirmer son accompagnement sincère au Président de la Transition, Colonel Assimi GOÏTA, en vue de faire face aux multiples défis politique, socio-économique et sécuritaire auxquels le Mali est confronté », a conclu le président de l’Adema-Pasj.
Après l’allocution du Pr. Marimantia Diarra, les responsables des partis et mouvements invités comme Dr. Modibo Soumaré du cadre d’échange des partis politiques, Boubacar Touré du RPM, Sidi El Moctar Kounta du PARENA, Alhassane ABBA de la CODEM, Youssouf Mohamed Bathily (Ras Bath), Pr. Akory Ag Iknane du parti APM-Maliko, Cheick Oumar Coulibaly du PS Yelen Kura et bien d’autres se sont penchés sur la situation sociopolitique, économique et sécuritaire du Mali. En outre, ils ont souhaité plein succès aux travaux de la conférence de l’Adema-Pasj.
Aguibou Sogodogo
Des partis comme ADEMA qui ont mis le Mali à terre.
ADEMA est compable de tous les maux actuels du Mali.Ecole, armée , santé , insécurité , corruption…tout.
lès cadres ADEMA préféraient investir dans lès cimenterie et usines de filature à Dakar, Abidjan, Lome au lieu d’investir au Mali.
Toute la pourriture actuelle ADEMA est comptable .
Bien sûr que le changement, le Malikura prôné par la transition n’arrange pas ADEMA.
Les charognards parlent encore, DES NEGRES DE SERVICE POUR LA MAUDITE FRANCE, ils sont tous faim, mais le partage du ‘Gateau-Mali’ est fini mais souvenez-vous de KAKOBE KE KAKOBE KE MALI BAN NA DJON GNA MA.
Il y a plus charognards qu’ASSIMI GOITA et ses camarades COLONELS associés à CHOGUEL MAIGA le plus opportuniste des opportunistes politiques maliens???
Ils sont tellement charognards qu’ils sont incapables de nous communiquer les sommes affectées aux achats d’armes,que les proches ont envahi les allées du pouvoir asséchant encore plus le trésor public,donc participant à l’appauvrissement de notre pays.
ON PEUT TOUT DIRE DE L’ADEMA PASJ SAUF QU’IL N’A PAS LARGEMENT PARTICIPÉ AU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE DE NOTRE.
Les chiffres sont disponibles.
Il suffit de s’y référer.
On ne peut pas contester qu’il a hérité d’un pays exsangue hérité de deux décennies de dictature militaire,qu’il l’a élevé haut avant de passer le témoin à un élu qui s’est fait entourer par les opposants à l’ADEMA PASJ pendant ses deux quinquennats.
Ont ils fait mieux que l’ADEMA PASJ?
C’est à partir des réformes économiques très impopulaires faites par l’ADEMA PASJ que leurs successeurs ont pu diriger le pays sans souffrir véritablement comme l’a connu ADEMA PASJ à partir de 1992.
Mais n’ont pas tardé à liquider les avantages acquis par une connexion mafieuse au terrorisme international expliquant la situation actuelle de notre pays.
L’ADEMA PASJ AURAIT CONTINUÉ DIX ANS ENCORE AVEC À SA TÊTE ALPHA OUMAR KONARE,LE MALI SE PORTERAIT MIEUX.
Accuser l’ADEMA PASJ d’avoir profité pour placer ses cadres dans l’administration publique en ignorant ses performances économiques,c’est pratiquer l’opposition stérile comme elle en a été victime durant ses deux quinquennats.
C’EST NOTRE SYSTÈME DÉMOCRATIQUE QUI FAVORISE UN PARTI ÉTAT.
Autrement dit,un autre parti politique autre que l’ADEMA PASJ aurait fait exactement,peut-être encore plus grave quand on jette un regard sur la gestion des partis politiques qui ont accompagné ATT et même les clans autour de ce dernier ,son successeur IBK et actuellement ASSIMI GOITA.
À la fin de ses deux quinquennats,l’ADEMA PASJ,sous le leadership d’ALPHA OUMAR KONARE a voulu faire des réformes politiques inspirées des insuffisances constatées durant ses mandats,il n’a pas été soutenu.
Vingt deux ans après avoir perdu le pouvoir,non pas qu’il a été rejeté par le peuple,mais du fait de la soif de pouvoir de ses différents cadres,ses réformes politiques n’ont pas été exécutées expliquant une multiplication de coup d’Etat.
La démocratie malienne doit rependre pieds sur terre avec un grand parti politique démocratique comme l’ADEMA PASJ.
Si les COLONELS sont incapables de cette réforme souhaitée et nécessaire favorisant véritablement la séparation des pouvoirs,l’ADEMA PASJ ou tout autre parti politique reviendra dupliquer le PARTI ÉTAT.
La démocratie ne peut se faire sans les partis politiques.
Mais il faut les encadrer car c’est dans leurs gènes de favoriser leurs cadres.
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