Quand l’opinion est sceptique quant à sa capacité à bien manager un département à lui confié, c’est en ce moment que le fils de Moussa Balla Coulibaly engrange des succès.
Ce fut le cas, quand au pire moment de la crise malienne, en 2013, lorsque le président intérimaire, Pr Dioncounda Traoré l’a nommé ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale dans un Mali qui avait plus jamais besoin de se battre pour retrouver sa respectabilité dans le concert des nations. A la surprise (agréable) de tous, le jeune leader de l’UDD et de l’AFD-Mali a relevé le défi devenant même le principal acteur de la fabuleuse mobilisation financière internationale au chevet du Mali en février 2013…. La suite, on peut s’en féliciter !
Nommé plus tard dans le gouvernement Oumar Tatam Ly au portefeuille des Domaines de l’Etat et des affaires foncières, Tiéman a encore comblé les attentes du président IBK. Il s’est vigoureusement attaqué à mettre de l’ordre dans un domaine aussi infecté que le foncier malien. Travail qu’il a bien poursuivi dans le gouvernement Moussa Mara. Ce qui lui a valu la grande promotion d’IBK qui l’a propulsé à la tête du département stratégique de la Défense. Ici encore, les détracteurs de Tiéman avaient pronostiqué l’échec pour ce diplômé en communication et gestion des entreprises de l’Université de Saint-Etienne. Mais, apparemment, l’homme est en train de réussir sa mission.
Lors de la récente adoption de la loi d’orientation et de programmation militaire, le ministre Coulibaly a assuré les députés que plus rien ne serait comme avant au sein des FAMA. “Les recrutements dans l’armée auront un nouveau visage désormais. Désormais, l’armée ne sera plus le déversoir de nos désespoirs sociaux” a-t-il déclaré.
Parlant de la gestion des plus de 1000 milliards de F CFA pour la mise en œuvre de cette loi, Tiéman a ajouté que les fonds seront gérés par des commissions mixtes qui seront mises en place par les états-majors. Il a rappelé que les FAMA comptent actuellement un effectif d’un peu plus de 31.000 hommes et qu’il y a encore un besoin d’environ 20.000.
L’on annonce qu’un contrôle physique est en cours, sur son instruction, pour établir l’effectif réel des hommes aptes à servir dans l’armée. Pour ce faire, Tiéman vient de proposer qu’un fichier biométrique soit mis en place. Histoire de réussir à donner un nouveau visage à la Grande muette du Mali.
Bruno D S
Que c’est dur le metier de journaliste ces temps çi surtout pour les quotidiens , leur solution ? faire feu de tout bois . Dans le lot il y a des mercenaires , des affabulateurs , des plajeurs , et des nuls . Parlez ns de la santé avec la floraison des cliniques privée et des ecoles de santé ainsi que de EDM .
C’EST UN GRAND PARLEUR RIEN D’AUTRE .
C’EST DU BLUFF
IL CONNAIT TRÈS BIEN SANOGO POUR AVOIR SÉJOURNÉ A KATI.
ON SE CONNAIT DANS CE PAYS
ON SAIT QUI PEUT FAIRE QUOI
ET QUI EST QUI
LE MIEUX EST D’ALLER MOLLO MOLLO SINON IL AURA UN GRAND DEBALLAGE
Bruno D S ? un pseudo ? La honte de faire le lêche-botte ?
Pourquoi se fatiguer à nous sortir des tournures alambiquées ?
Si vous voulez faire la gloire de Tiéman en faisant le griot, vous pouviez simplement écrire:
Tiéman le magnifique, le superman, le suprême, le plus fort, le plus beau, le plus grand, le plus doué de tous les Maliens d’ici et d’ailleurs. Et rajouter: si le Mali existe encore, nous le devons au brillantissime Tiéman et demander aux Maliens d’invoquer le nom de Tiéman durant la prière.
Et vous appelé ça le journalisme..??? TOUUU !!!
Comment éclairer l’opinion si le journalisme du ventre est érigé en modèle.
Tiéman Chaiman ?
ça veut dire quoi Chaiman ? Vous voulez dire Chairman ?
Savez vous ce qu’est un chairman ?
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