Le Front pour la Sauvegarde de la Démocratie (FSD), signataire de l’Accord politique, a tenu une journée de réflexion sur les termes de référence du Dialogue politique inclusif ce samedi 31 août 2019, à la Maison des aînés de Bamako. Une journée qui s’inscrit dans le cadre des préparatifs du dialogue politique inclusif (DPI).
A cette occasion, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération international, M. Tiébilé Dramé, et non moins président du parti Parena, a invité ses camarades politiques à ne pas manquer ce rendez-vous important qui se tiendra pendant ce mois de septembre.
Pour M. Dramé, ce dialogue national est une occasion pour les filles et les fils du Mali de se retrouver pour dire ce qu’ils pensent du Mali, faire le diagnostic de la crise malienne et proposer des solutions dans le cadre des institutions de la république. Ce dialogue, selon Tiébilé Dramé, se fera dans le respect des institutions comme la conférence nationale de 1991 qui n’a pas procédé à de chamboulement institutionnel. Pour ce faire, toutes les forces vives de la nation sont invitées à y contribuer, ajoute-t-il.
Aux dires de Dramé, après la signature de l’accord politique, le président de la République a adressé une lettre à toutes les parties prenantes pour faire une proposition de termes de référence. C’est sur cette base qu’il y a eu une synthèse, donnant lieu au projet de termes de référence. Pour lui, ceux qui pensent que c’est insuffisant, qu’ils le disent d’autant plus qu’il est prévu un atelier pour prendre en compte les amendements. Car, c’est le présent et l’avenir du pays qui se jouent aujourd’hui, indique M. Dramé.
En ce qui concerne ses camarades non signataires de l’accord politique de gouvernance, Tièbilé Dramé leur a rafraîchi la mémoire et les invite à prendre part à cette occasion de réunification des forces vives de la nation. « Quand il y a eu la crise post-électorale, 19 candidats ont publié un document pour demander des réformes politiques et institutionnelles sans lesquelles la démocratie ne passera pas », rappelle M. Dramé. Maintenant il y a l’occasion d’avoir ces réformes politiques à l’occasion du dialogue. Alors, est-ce qu’on peut faire la file gauche à ça, s’interroge-t-il.
Pour terminer, il a lancé un appel aux acteurs politiques. « Le dialogue national est un grand moment. Je dis très clairement à nos camarades qui n’ont pas signé l’accord politique : il ne faut pas qu’ils commettent l’erreur de rater le rendez-vous du dialogue national. J’appelle les acteurs politiques à ne pas bouder le dialogue, à ne pas faire file gauche ».
Oumar SANOGO
il ya une chose qui devient de plus en plus insupportable, ce les sorties des grande phrases creuses qui sont d’une autre époque , personne n’a le monopole de l’amour de la nation pour en faire une confrontation de conscience ! On ne peut plus continuer à gouverner ce pays avec une certaine condescendance ,les problèmes de gouvernance et ses pratiques sont connus . Pr de la rep qui est le grand parrain de ce grd dialogue connait parfaitement les problèmes auxquels il est confronté , et connait également les objectifs qu’il veut atteindre et c’est la moindre des choses , en lui accordant le bénéfice du doute , l’esprit dialogue c’est la mise en condition politique de sa révision constitutionnelle , et par la même occasion tiré un trait sur certains scandales , le tout sous couver de la réconciliation nationale !
Comment Tieblen peut avoir confidence a Boua qui vient de nous acheter a coup de milliards de CFA des helicopteres militaires qui ne volent pas, de grace Tieblen tu decois!
EH OUI VRAIMENT TIEBILE AVAIT FAIM ET SOIF DEPUIS QU’IL A EU CE QU’IL VOULAIT, IL EST DEVENU DOUX COMME L’AGNEAU LE RIDICULE NE TUE PLUS AU MOINS UN PEU DE CONSCIENCE ET DIGNITE A BON ENTENDEUR SALUT QU’ALLAH NOUS FASSE MISERICORDE ET NOUS EN PROTEGE YARABI
Bonsoir
Comment dialoguer avec des AGR€$$IFATLANTI$T€$ ?
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