Tenue de la convention nationale: Les Bamakois se prononcent / Moussa Touré, leader de jeunes: «La junte a un langage de vérité et d’intégrité»

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D’abord, je tiens à préciser que cette junte, contrairement à ce que certains tentent de faire croire, a un langage de vérité et d’intégrité. A l’entendre, on comprend qu’elle veut le bien de ce pays. Je pense que la personne la mieux indiquée pour remplacer Dioncounda à la tête de cette transition, c’est une personnalité civile respectée, dont l’intégrité ne fait l’ombre d’aucun doute. Je demande à la classe politique de faire preuve de retenue et de mettre l’intérêt supérieur de la nation au dessus de tous les intérêts partisans. Tout autre comportement doit être sévèrement sanctionné par les autorités. Il vaut mieux se battre pour la stabilité du pays que pour des places. Je lui demande d’avoir pitié de ce peuple car quelqu’un qui a faim, qui a peur, qui n’est pas en sécurité, ne peut en aucune manière aller voter.

Ibrahim Fomba, enseignant
«Je crains que la classe politique ne se divise»
Si la convention nationale devait parvenir au choix d’un président consensuel pour le bonheur de ce pays, je crois que ce serait une bonne chose. Mais je crains que la classe politique ne se divise encore, comme elle l’avait fait à Ouagadougou ou comme elle le fait depuis les évènements du 22 mars. Je ne vois pas d’inconvénient à la tenue de cette convention. Mais je dis que notre pays doit être dirigé par un civil. Le temps des régimes militaires est révolu. Le Mali ne peut pas être une exception. Je demande à la classe politique de songer, ne serait ce qu’un temps soit peu, à cette population, qui récolte à chaque fois les conséquences des tiraillements entre les hommes politiques. Le Mali est à un tournent décisif de son histoire et l’union de tous ses fils est nécessaire pour franchir ces moments difficiles. A chaque fois, on tente de nous faire croire qu’ils ne défendent que l’intérêt de la nation. Quelle honte!

Sory Bérété, ancien secrétaire général des jeunes volontaires de l’APEJ
«Elle est la bienvenue»
Le Mali traverse une crise sans précédent. La convention nationale est la bienvenue à mon avis. Parce qu’elle est censée permettre aux couches sociales de se rencontrer et de dégager des pistes pouvant nous permettre de sortir de cette crise et de choisir un président consensuel. Moi, je préfère qu’on ait un président civil. Parce qu’il faut le reconnaitre, nous avons clairement acquis notre démocratie en mars 1991. Pourquoi ce civil, parce que, non seulement, on peut difficilement dire la vérité à quelqu’un qui a une arme pointée sur toi, mais aussi parce que le contexte international ne s’y prête pas. Je pense qu’après cette convention il faudra mettre en place deux commissions. Une première de réconciliation nationale, pour réconcilier les Maliens avec eux-mêmes, qui sera dirigée par les différents leaders religieux. Car vous n’êtes pas sans savoir qu’il y a eu trop de dégâts après les évènements du 22 mars. De plus, s’il faut faire l’audit de la gestion de ces 20 dernières années, je crois que cela peut entrainer d’autres problèmes. La seconde commission s’occupera de la reconquête du Nord.

Daharamane Aboudjé, secrétaire aux relations extérieures du PJD
«Si telle est la solution…»
Par rapport à la convention nationale, au niveau du PJD, nous pensons que si toutefois la solution pour le Mali passe par elle, c’est vraiment la bienvenue, parce que, comme l’a dit Dioncounda, «on fera tout pour sauver le Mali». Et j’espère que c’est l’idée, car il y va l’intérêt du peuple malien. Si elle est la solution, nous allons y participer et nous invitons l’ensemble du peuple à prendre part à cette rencontre, pour dire nos points de vue et discuter des préoccupations de la population. Cela pour qu’un autre 22 mars n’ait pas lieu dans notre pays, parce que le peuple a trop souffert. Franchement, je souhaite de tout cœur que tous les partis politiques se mettent à réfléchir pour qu’on puisse aboutir à une solution satisfaisante.

Boubacar Sidiki Kanté, directeur de l’école Konaté A
«Une très bonne chose»
Je pense que la convention proposée par la junte est une très bonne chose. Pour la simple raison que ce serait donner la parole d’au peuple. Notre pays, de tradition très séculaire, a toujours donné la parole aux populations. Nos bonnes décisions ont toujours été prises au cours des discussions dans les vestibules, dans nos villages. Cette fois-ci, c’est tout le peuple qui aura à s’exprimer. On ne va pas dire que ça a été imposé et que c’est la volonté d’une seule personne. Avec la convention, je pense que c’est redonner la parole au peuple. J’appelle massivement les gens à adhérer à cette convention.

Ousmane Diawara, enseignant
«Une bonne initiative»
La convention nationale est une bonne initiative, dans la mesure où le peuple aura le temps de s’exprimer par rapport aux besoins réels des populations. Cela vaut mieux que de nous imposer une décision venue d’autres personnes. Parce qu’entre nous les gens se connaissent et ce sera très fiable par rapport à une autre décision. Il y aura beaucoup d’opinions, après la synthèse, on trouvera ce qui est le mieux.

Moussa Diarra, étudiant
«Ce que nous attendions»
Je crois que la convention nationale est tout ce que nous attendions. Si on s’était retrouvé entre Maliens, actuellement nous aurions déjà dépassé cette situation. Il faut que les politiciens arrêtent leurs jeux d’intérêt pour faire face à la situation. Ceux qui disent qu’ils ne veulent pas participer à la convention, je m’interroge sur leurs motivations réelles. Je pense que si tout le monde agit pour le Mali, on doit se retrouver et discuter entre Maliens, comme l’a dit le Capitaine, pour trouver une solution malienne.

Augustin Kalifa Cissoko, pionnier, proche collaborateur de feu Modibo Kéita
«Je suis entièrement d’accord avec Sanogo »
Je suis entièrement d’accord avec le Capitaine Sanogo. Ce n’est pas la CEDEAO qui va décider en lieu et lace des Maliens. Il y a deux choses qui nous ont mis dans la situation qu’on se retrouve aujourd’hui, la base militaire de Tessalit et le sous-sol du Nord, qui font l’objet de toutes les convoitises. Pourquoi je suis d’accord avec le Capitaine? Parce que le Mali a beaucoup fait pour l’Afrique en termes de médiation, en commençant par la paix entre le Maroc et l’Algérie. Mais, loin d’une médiation de la part de la CEDEAO, tout porte à croire qu’on veut tout faire pour pousser le Mali au banc des accusés de la communauté internationale.
Depuis le coup d’Etat du 22 mars, je n’ai jamais douté de son patriotisme. Mais quand j’ai appris que les responsables maliens s’étaient transportés au Burkina Faso pour débattre de la crise du Nord, j’ai failli piquer une crise. Cette situation a été rendue possible depuis 1968, à cause des milliers de Maliens qui, du jour au lendemain, sont devenus milliardaires et, de ce fait, ont réduit l’Etat maliens à une abjecte pauvreté, à tel point qu’il est aujourd’hui obligé à tendre la main. Raison pour laquelle nos voisins s’arrogent le droit de décider en lieu et place des Maliens.

Mamadou Doumbia, étudiant à l’ENSUP
«Oui à une solution malienne»
A mon humble avis, la solution malienne préconisée par le Capitaine Sanogo est la bienvenue pour le choix  de celui qui va diriger la transition. Il faut bien que les religieux, les politiciens et la société civile se mettent ensemble pour choisir le président de la transition. Seulement, aucun politicien ne doit diriger cette transition. Si cela ne dépendait que de moi, je préfèrerais un militaire ou, à la rigueur, un membre clean de la société civile.

Hamadoun Touré, gestionnaire
«Le discours du capitaine m’a soulagé»
Le discours du Capitaine Sanogo m’a vraiment soulagé. Cela montre qu’il est animé par une fibre patriotique. Le destin des Maliens est entre nos mains, nous devons nous comprendre. La société civile, les politiciens et la junte doivent œuvrer ensemble pour le choix du président de la transition. Si la CEDEAO veut vraiment aider le Mali, elle doit nous laisser forger notre propre destin et attendre calmement les résultats de la convention nationale. Avec l’espoir que cette solution va enregistrer l’adhésion de tous.

Mamadou Tounkara, étudiant USJPP
«Dioncounda pour diriger la transition»
Je pense que la meilleure solution serait de laisser Dioncouda présider la transition, si jamais on veut vraiment bénéficier de l’aide de la CEDEAO. Je ne suis pas d’accord avec la proposition du Capitaine Sanogo. La convention nationale va inutilement nous faire perdre du temps, alors que les rebelles ne font que fortifier leurs positions dans le Nord du pays.
Propos recueillis par Pierre Fo’o Medjo, Youssouf Diallo et Yaya Samaké

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17 COMMENTAIRES

  1. ce serait amoral et immoral que de voir tous ces de placés du nord qui ont tout abandonner et certains làbas hissent le drapeau malien grâce à des jets de pierres après la fuite d’une soit dit on armée et osez dire que le CNRDRE tient un langage de vérité. c’est vraiment honteux et vous savez pas de quel œil on vous voit de l’extérieur quand vous autre parlez d’intégrité territoriale.

  2. pour L’amour du ciel! Diancouda dégagez, on ne veut pas de toi? si tu veux le bonheur du Mali partez, il ya encore beaucoup d’homme intégre dans ce pays qui pourrait bien être le président de la transition. si tel est le prix a payer pour que la CEDEAO nous aide? qu’elle ne le fasse pas! de toute les façons elle ne compte pas nous aider,vous n’avez encore compris le jeu de la CEDEAO!

  3. Une convention suppose la participation de toute la nation cher ami!!!!!gao kidal tombouctou comment ces villes participeront elles?????vous les avez oublier?????si sanogo a les pouvoirs d’organiser une convention autant qu’il organise des elections!

  4. « Peut-on laisser ses ses attributs (t..es. ti..cu..les) dans la machoire du caiman et continuer a pecher du poisson? ».
    Je pense que tout homme sense penserait d’abord a « liberer ses attributs » avant toute chose.

    EH BIEN B.R.D.L DE M.R.D. LIBERONS D’ABORD LE NORD. NOTRE ATTRIBUT C’EST LE NORD! NOTRE DIGNITE, C’EST LE NORD!NOTRE HONNEUR, C’EST LE NORD!!!!

    Nous aurons tout le temps de venir nous quereller pour pouvoir. Il ne va pas fuir, il serait toujours la.

    AUTANT IL EST *****URGENT**** POUR LES POPULATIONS DU NORD DE COMMENCER LA *****RESISTANCE(les militaires du CNRD+E ont abdique)****** CONTRE AQMI ET LES AUTRES CAFARDS, AUTANT IL EST IMPERIEUX QU’A BAMAKO , KATI ET « AU SUD », ON ENTAME LA **** »DESOBEISSANCE CIVILE »***** JUSQU’AU JOUR OU LA JUNTE NOUS LAISSERAIT RESPIRER.

    Tant que la population dans les villes (Bamako, Kati, Segou Sikasso ect…) ne fait pas pression sur les politiques et les militaires, CEUX-CI NE VONT PAS BOUGER.

    IL EST TEMPS QUE LA CEDEAO COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS « DONNER AUX ANSAR DIENS, INDEPENDANTISTES DOMINES, AQMIENS ET AUTRES CAFARDS DE SE FECONDER INVITRO’LEMENT » ET DE S’INSTALLER.

    « HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
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  5. SI LA CEDEAO ET LE FDR NE VEULENT PAS QUE LA CONVENTION SE TIENNE, QU’ILS ACCEPTENT LE CAPITAINE AMADOU HAYA SANOGO EN TEMPS QUE PRESIDENT DE LA TRANSITION.

    SI M DIONCOUNDA DIT QUE LA TENUE DE LA CONVENTION NATIONALE N’EST PAS LA SOLUTION, C’EST QU’IL EST PRET A PARTIR APRES SES 40 JOURS D’INTERIM.

    SI M DIONCOUNDA S’ENTETE A RESTER A LA TETE DE LA TRANSITION, NOUS ALLONS LE METTRE AUX ARRETS AU SOIR DU 22 MAI 2012.

    SI M DIONCOUNDA VEUT QUE LE PEUPLE MALIEN LUI FASSE CONFIANCE A L’AVENIR, QU’IL REFUSE LA PRESIDENCE DE LA TRANSITION.

    PERSONNE NE LE VEUT ICI AU MALI EN DEHORS DE SES AMIS DU FRONT DU REFUS.

    M DIONCOUNDA, RETENEZ UNE BONNE FOI POUR TOUTE QUE LE DEPART S’IMPOSE A VOUS MEME SI LA CEDEAO LUTTE POUR VOTRE MAINTIENT PARCEQUE CE SONT LES MALIENS QUI CHOISISSENT LEURS DIRIGEANTS.

  6. dioncounda DEGAGE !
    OUI A LA CONCERTATION ENTRE FILLES ET FILS DU MALI POUR LE MALI .

    CEDEAO LES TEMPS ONT CHANGE . ET VOTRE RESPONSABILITE EST ENGAGE . TOUS VOUS VOIENT VENIR DANS CE DOSSIER MALIEN .

    OUI A JACOB ZUMA PATRIOTE AFRICAIN , NON A JEAN PING GRAND PANTIN DE L’ UA .

    NON A OUATTARA , FIER ET JOYEUX THURIFERAIRE DE NICOLAS SARKOZY .

    NON A YAYI BONI , IDIOT PARMI LES IDIOT .

    OUI A SEM COMPAORE !

    OUI A HOLLANDE LE SOCIALISTE ! OUI A FABIUS !

    NON A DIONCOUNDA GRAND COMPLICE DE TOUMANI DANS NOTRE TERRIBLE SITUATION .

  7. Tout patriote devrait accepter d’aller à la convention qui aura l’avantage de rassembler la majorité du peuple malien. Les gens qui refusent d’aller à la convention pensent que le Mali se limite à eux seuls.Accepter de discuter ensemble veut -il dire capituler ? Je me rends compte à l’évidence que ces politicards n’aiment pas le bonheur du Mali, ils ne pensent qu’à leurs intérêts sordides. Nous laissons leur sort entre les mains de Dieu qui connait le coeur de chacun.
    Je dis bien au maliens que personne ne fera le bonheur du Mali à la place des maliens. Donc, que ceux qui pensent que la cedeao va libérer le Nord qu’ils se détrompent. Cette cedeao était là quand le Mali a été attaqué, quand il y eu le massacre de Aguelhoc etc. et cette Cedeao est arrivée au Mali au moment où le fameux att était au pouvoir pourquoi elle n’a pas moblisé ses troupes après leur réunion ?
    C’est pas pour demain que ses troupes viendront, les maliens n’ont qu’à se convaincre de là.Une nation divisée contre elle même ne peut jamais aller de l’avant et ces ennemis ne feront que l’enfoncer davantage.
    Que Dieu sauve le Mali

  8. j’ai une question pour tous les maliennes et maliens. Pourquoi les maliens et maliennes vont à l’école? et même avoir le niveau supérieure. Vous savez pourquoi j’ai posé cette question. Je m’adresse à tous les lettrés de ce pays, regarder comment l’école malienne est pendant ces 20 dernières années. Et d’autres maliennes,maliens veulent ces même personnes aux pouvoir encore. Mais c’est vraiment de la honte. On doit tuer tous ces hommes politiques. Et puis ils se disent des leaders politique qui a jamais vu un leaders politicien intellectuelle encore qui fait du mal à sa nation.

  9. Tout frais patiote est pour une concertation autour d ùn probleme pose, avant de se prononcer pour ou contre le resultat. je me demande si une malediction n`est pas entraint de tomber sur notre Pays. si non pourquoi refuser une convention si ce n`est pas de vendre son hame au diable. je pense que ceux qui ont peurs pour avoir geré l`Etat dans le passe doivent changer de strategie, cherchez plutot une mediation. Car je vous le confirme cette situation est une sanction Divine, donc cherchez plutot a vous faire pardonner par le Dieu et le peuple malien par rapport a votre gestion passe du pouvoir.si non je vous le garanti conprenez les signes je n`est rien contre vous, accepter passe ce temps et attander la volonte de Dieu si vous ête croyants

  10. blabla blabla blabla. laissez cela aux femmes. l’urgence, c’est la libération du Nord. Sanogo, au lieu de s’occuper de politique (conférence nationale,concertations nationale et je ne sais quoi), il a mieux à faire. Son armée est en déconfiture, et s’il est réellement capable de quelque chose, c’est à cette tache qu’il doit s’adonner: réorganisation de l’armée, remonter le moral des troupes, ect…
    Il n’a ni la compétence ni la carrure d’un chef d’état et même pas celles d’un chef d’état-major.
    Toutfois, s’il pense le contraire il n’a qu’à se présenter aux prochaines élections présidentielles. Là ils saura qu’il est honni par les maliens.

  11. le capitaine s’est trahi lui même, nul part il n’est dit dans l’accord cadre qu’il faut une convention nationale, j’ai des doutes sur le nationalisme soudain du capitaine sinon pourquoi il a accepté envoyé des émissaires au Burkina pour décider de l’avenir du pays (nomination du PI et du PM) avec l’ensemble des partis politiques et leaders de la société civile.
    Qu’il saisisse inopportunité qui lui a été offert avant qu’il soit trop tard (amnistie pour lui et ses compagnons du CNRDE)

    • Tjoumi bonne analyse le capitaine a commis des erreurs et des erreurs
      1 il a accepté de restaurer la constitution de 92 or une fois cette constitution retablie je vois plus le cnrdre ‘cest fini logiquement,
      2 Il ordonne au president par interim et au PM d’organiser une convention: il dispose de quel droit pour donner un ordre à un président en tant que qui?
      3 Il veut evoluer parallèlement au gouvernement en place tout en ayant un certain pouvoir pour suivre de pret la mission du gouvernement en place et cela après avoir accepter ce gouvernement de plein pouvoir.
      4 il doit savoir que l’etat est different d’une famille; Un homme peut avoir deux idées mais jamais deux tetes donc il doit faire attention d’autant qu’il ne dispose d’aucun soutient international

  12. je ne pense pas si cette convention peut résoudre le problème. hier j’ai entendu sur kayra que la convention se prépare depuis longtemps au siège du CSTM et qui se tiendra les samedi dimanche et lundi. ça sera une convention de la copam pas pour le mali.

  13. TOUS CES VOLEURS ONT PEUR DE LA CONVENTION JE CROIS QUE C’EST UNE BONNE CHOSE CE DIONCOUDA ET LE FROND DES DELEQUANTS NE PEUVENT PAS PARTICIPER A CETTE CONVENTION QU4ILS DEGAGENT ON VEUT UN FISL DIGNE DE CE PAYS POUR LA TRANSITION

  14. Malheureusement peut de maliens choisissent le camp en position de faiblesse qui est celui de sanogo.Car faire une concertation nationale et remettre Dionkouda pour la transition s’il le faut ce serais laver l’affront subit par le mali a travers le communiqué final de la réunion d’Abidjan.IBK, Zou,Michel Sidibé, et pleins d’autres cadres sont des personnalités bénéficiant de l’estime de leur compatriotes la réalités des relations internationale fait que Sanogo peut être garant mais pas président de la transition.

  15. C’est une tres bonne idee mais seulement une concertation avec toutes les classes sociales et les partis politiques. Cela doit se faire democratiquement et la voix de la majorite sera appliquee a la lettre car il y aura toujours des pros & cons.

  16. Des decisions admises sans discussion ont peu de chance de se traduire en action… 😳 😳 😳

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